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Les quatre individus, des Kossovars et un Serbe, impliqués dans un cambriolage, survenu dans la nuit du 9 au 10 mai dernier à l’agence postale de l’avenue ÃŽle de France,  dans le quartier Planoise, à Besançon,  ont été présentés à la justice ce mardi soir. Ils avaient été aperçus sur des caméras de vidéosurveillance. Ils ont été interpellés dans une cage d’escalier de la rue de Savoie.

Ils sont âgés de 43, 31, 28 et 20 ans. Ces malfrats présumés, dont l’un d’eux disposait d’une affaire de revente de voiture à Pouilley-les-Vignes, pourraient également être impliqués dans une affaire similaire, enregistrée le 19 avril dernier, au préjudice de l’agence postale d’Ecole Valentin. Mais d’autres méfaits pourraient également leur être imputés.

Concernant le cambriolage de Planoise, le butin, dont le montant s’élève à près de 50.000 euros, n’a pas été retrouvé. Deux d’entre eux ont reconnu les faits lors de leur audition. A Ecole Valentin, le préjudice est estimé à 20.000 euros. Précisions également que la situation de ces individus sur le sol français reste à éclaircir.

 L'interview de la rédaction

Deux adolescents, âgés de 17 ans, ont été incarcérés mardi après-midi à Besançon. Le 9 mai dernier, lors d’un contrôle, il est apparu qu’ils étaient en possession de produits stupéfiants à l’intérieur de sacoches qu’ils portaient. Ils ont été placés en garde à vue. L’un d’eux était en possession de près de 5 grammes de résine de cannabis. Sur le second, plus de 60 grammes de résine cannabis et cent euros en numéraire ont été découverts. Chez ce même individu, une perquisition a permis de trouver 187 grammes d’herbe de cannabis.

C’est la maxime qu’a décidé de reprendre à son compte le service départemental et d’incendie du Doubs. Rappelons que le 1er mai dernier, un pompier avait agressé, à Paris, par une manifestante, en marge du rassemblement du 1er mai. Qu’en est-il dans le département du Doubs ? Quel est le quotidien des soldats du feu ? Sont-ils la cible de violences régulières lors de leurs interventions ? Nous avons posé la question au Commandant Charles Claudet, chef du cabinet du chef de corps des sapeurs-pompiers du Doubs.

Dans le département, les agressions de sapeur-pompier sont, heureusement, rares. Sur les 40.000 opérations que les secouristes mènent chaque année, une trentaine est répertoriée. Trente de trop, qui émanent le plus souvent de la victime elle-même ou de ses proches, à l’initiative de l’alerte. Par ailleurs, qu’on ne s’y méprenne pas, elles ne se produisent pas que dans les quartiers des grandes villes du département, mais dans tous les territoires, le milieu rural n’y échappant pas également.

Différents types d’infractions

Le SDIS du Doubs a répertorié plusieurs types d’infractions. Comme l’explique le Commandant Claudet, il y a des actes d’incivilité, d’intimidation et avec intention de blesser. « Aucun acte avec l’intention de tuer n’a pour l’heure a été recensé dans le département du Doubs Â». Rappelons que la plupart de ces violences émanent de la victime elle-même ou de ses proches. « Cela est d’autant plus incompréhensible pour les sapeurs-pompiers, qu’ils répondent à une demande exprimée par ces personnes Â» ajoute le Commandant Claudet. Et de poursuivre : « Il faut comprendre que les sapeurs-pompiers sont là pour porter secours et apporter une aide dans des situations qui sont parfois difficiles. Etre confrontés à cette violence, n’est pas toujours facile à admettre pour eux Â».

« On ne laisse rien passer Â»

Face à ces situations, les sapeurs-pompiers ne laissent rien passer. « La plupart des agressions et incivilités font l’objet de plaintes Â». En 2021, sur 37 agressions, 22 ont fait l’objet d’un dépôt de plainte. Et de conclure : « le service soutient nos sapeurs-pompiers. Nous les invitons à faire la démarche. Un acte d’incivilité envers un sapeur-pompier, c’est déjà de trop Â».

L'interview de la rédaction / Le Commandant Charles Claudet

 

Ce lundi 9 mai, deux jeunes gens, âgés de 18 et 25 ans, ont été interpellés après avoir tenté de jeter des colis contenant des denrées périssables par-dessus  l’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon. L’un d’eux a tenté de prendre la fuite, mais il a été rattrapé par les forces de l’ordre.

Un homme de 19 ans sera déféré ce vendredi matin devant la justice en vue d’une comparution immédiate. Mercredi matin, il a été contrôlé dans les communs d’un immeuble, situé 6 rue Van Gogh, en possession de stupéfiants et d’argent. Il avait sur lui 370 grammes de résine de cannabis, 22 grammes d’herbe, 26 grammes de cocaïne et 610 euros d’argent. Lors de son audition, il a invoqué le droit au silence. La perquisition menée à son domicile s’est révélée négative. Seul un téléphone portable a été saisi.

Un jeune homme, âgé de 17 ans, devra s’expliquer prochainement devant la justice. Il est soupçonné d’avoir dérobé une voiture à Besançon. Son propriétaire a pu identifier l’auteur et le véhicule en consultant le réseau social « Snapchat Â». Ce dernier a convenu un rendez-vous avec le malfrat présumé dans la nuit de lundi à mardi.

Les policiers se sont également rendus sur place et ont appréhendé l’adolescent, qui a été conduit au commissariat. La palpation de sécurité a permis de constater qu’il était également en possession d’un opinel. En attendant de s’expliquer devant un juge, il a été remis à ses parents.

Un homme de 44 ans devra s’expliquer en novembre prochain devant la justice. Il est soupçonné d’avoir menacé de viol deux jeunes filles,  lundi soir, vers 22h15, quai Veil Picard à Besançon. Le quadragénaire, alcoolisé, aurait tenté de mettre des coups à l’une de ses victimes, qui s’est défendue.

Lors de la palpation de sécurité, un couteau de type Opinel a été trouvé sur lui. Au commissariat, son alcoolémie s’établissait à 1,66 gramme dans le sang. Il a nié les menaces de viol, mais a reconnu la possession de l’opinel, « sans aucune raison légitime Â», selon lui.

A Pontarlier, le commandant Trousseau appelle la population à la prudence et à la vigilance. Avec notamment le retour des beaux jours, les vols à la roulotte sont une réalité. Pour s’en protéger, il convient d’adopter les bons comportements. Cacher ses documents, papiers et sacs à mains dans son véhicule n’est sans doute pas la meilleure des solutions. Pensez également à faire des photocopies de vos documents les plus précieux.

Il en est de même si vous organisez un pique-nique ou laisser vos affaires quelques instants sans surveillance pour aller piquer une tête dans les beaux lacs naturels de la région ou les piscines franc-comtoises. « Des personnes mal intentionnées peuvent facilement repérer vos biens et s’emparer d’une partie de vos affaires Â» explique le policier.

En appliquant ces règles de bons sens, beaucoup de problèmes pourraient être éviter. En tout cas, n’hésitez pas à contacter les forces de l’ordre, si vous avez été victime de tels agissements. Le 17 ou le 03.81.38.51.10 ( pour le secteur de Pontarlier) sont à composer urgemment,  en évitant bien évidemment de toucher l’endroit violé.

L'interview de la rédaction

A Besançon. Un homme devra s’expliquer en octobre prochain devant la justice. Dimanche matin, une équipe de police secours s’est rendue au centre-ville, grande rue, pour un différend entre deux personnes dans un appartement.

Le requérant a expliqué aux policiers avoir reçu des coups de poing et de pied au visage par un individu qu’il avait hébergé pour la nuit. Une dispute au sujet d’un téléphone en serait à l’origine. L’agresseur a été interpellé et placé en garde à vue. Au cours de son audition, il a indiqué avoir été menacé avec un couteau de cuisine. Il a reconnu des échanges de coups réciproques avec son ami. Aucune ITT n’a été prescrite pour la victime.

C’est un fléau qui interpelle grandement la police de Pontarlier. Malgré la mise à disposition d’installations par les communes, le dépôt sauvage de déchets est récurrent. Il est également constaté que certains prennent de dangereuses libertés en  déposant  leurs détritus devant les portes des déchèteries. Une attitude qui ne passe pas et qui bien évidement conduit à une sanction lorsque les auteurs sont identifiés. La note est salée puisqu’elle peut s’élever à 1500 euros.

Des ressortissants suisses pas toujours respectueux de l’environnement

Ces infractions, observées sur le sol français, ne sont pas toujours à imputer aux locaux, mais parfois, des ressortissants suisses, peu scrupuleux, déposent leurs poubelles après avoir traversé la frontière. Tous ne passent pas à travers les mailles du filet. Bien au contraire. Les fonctionnaires des douanes veillent au grain et n’hésitent pas à sanctionner. Là aussi, les amendes sont bien réelles. Elles fluctuent avec le poids constaté.

Un jacuzzi en pleine nature

Dernièrement, un jacuzzi a été découvert  en pleine nature, sur un sentier. Pour l’heure, les indélicats n’ont pas encore été identifiés. Les investigations sont en cours et devraient rapidement mener aux auteurs. « Un acte que la justice saura sanctionner le moment venu Â» promet le Commandant Armand Trousseau.

L'interview de la rédaction / Le Commandant Armand Trousseau