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NAISSANCES

15/03/2023 – Jaimie de Tamara ZAMBRANO, contrôleuse qualité.
18/03/2023 – Mattia de Brice GASSIAT, ingénieur en génie biologique et de Célia PICCHIANTI, aide-soignante.
16/03/2023 – Maël de François REVENEY, agriculteur et de Aurélie LOMBARDOT, agricultrice.
18/03/2023 – Muhammed Ali de Sevki GÔDEK, charpentier et de Bûsra BÔLÛKBASI, employée.
18/03/2023 – Nahïl de Clément CAILLIER, opérateur horloger et de Sabrina GUERTIT, sans profession.
18/03/2023 – Matt de Donovoan BALIMANN, opérateur régleur et de Sophie KÜFFER, coiffeuse.
20/03/2023 – Nino de Thomas MOUGIN, bûcheron débardeur et de Elsa MOUREAUX, opérateur en horlogerie.
19/03/2023 – Maëlya de Dylan RONDOT, scieur et de Salomée GUY, agent de service hospitalier.
18/03/2023 – Axel de Alexandre STAB, agent de sécurité et de Léonie LONCHAMPT, ergothérapeute.
18/03/2023 – Armand de Antoine VIENNET, agriculteur et de Camille POZZA, professeur d’éducation physique et sportive.
20/03/2023 – Adnan de Muhammed KOKEN, opérateur et de Tugba KARDES, sans profession.
23/03/2023 – Sihanë de Qendrim UKZMAIL, technicien en bureau d’études et de Blertina SALIHU, vendeuse.

DECES

21/03/2023 - Jacques THÉOPHILE, retraité ouvrier horloger, domicilié à Villers-Le-Lac (Doubs) époux de Elisabeth MARCHOIS.
21/03/2023 – Khedidja BECHANE, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs) veuve de Hocine BEDJAOUI.
22/03/2023 – Lucienne PUGIN, retraitée ouvrière horlogerie, domiciliée à Montlebon (Doubs) épouse de Roger BOILLIN.
22/03/2023 – Gilles PANZA, retraité, domicilié à Vuillecin (Doubs) époux de Danielle THIEBAUD.
24/03/2023 – Michèle PETITJEAN, retraitée, domiciliée à Morteau (Doubs) épouse de Denis ROY.
24/03/2023 – Herminio RIBEIRO, retraité, domicilié à Morez (Jura) veuf de Adelina CASTANHEIRA RIBEIRO.

En cette journée mondiale de l’eau, Grand Besançon Métropole présentait la qualité de son eau de source, « La Bisontine Â». Installés dans plusieurs établissements de grande distribution alimentaire du territoire, à Besançon, Chalezeule, Saint-Vit et Saône, les agents de la collectivité locale sont venus sensibiliser le grand public sur la qualité de l’eau du robinet et la protection de la ressource en eau.

A Besançon, certains consommateurs ne cachent pas leur méfiance vis-à-vis de cette eau qu’ils peuvent consommer à la maison notamment. Si la qualité n’est absolument pas remise en cause, la Bisontine est un plus indéniable pour le pouvoir d’achat des consommateurs et l’environnement. D’une part, parce l’eau du robinet est beaucoup moins chère que les différentes eaux de boisson que l’on trouve dans les rayons des magasins, mais aussi parce qu’elle ne fait pas appel à l’utilisation du plastique pour sa consommation.

La Bisontine pétillante

Riche en oligo-éléments et sels minéraux, la Bisontine est distribuée commercialement dans une version pétillante. Provenant essentiellement de la ressource de Chenecey-Buillon, elle est traitée par décantation, filtration et désinfection finale aux ultra-violets. Puis elle est embouteillée et gazéifiée par adjonction de gaz carbonique à Besançon par la société Rieme Boissons. Précisons que sa vente est uniquement assurée en bouteilles de verre consignées. On peut aussi la commander à table chez les restaurateurs.

L'interview de la rédaction / Frank Laidié, maire de Pugey, vice-président de la régie eau et assainissement à Grand Besançon Métropole

Le conseil départemental du Doubs fait savoir que les travaux de restructuration du pont des Rosiers, à la sortie de Pontarlier, en direction de Oye-et-Pallet,  vont se poursuivre, à compter du 11 avril et jusqu’au 2 juillet. Une seule voie de circulation sera fermée.

La circulation dans le sens Oye-et-Pallet – Pontarlier sera maintenue. L’autre sens sera dévié. Cette phase d’achèvement du chantier comprend la réalisation de l’étanchéité, la construction des trottoirs, la finalisation de la chaussée et des bandes cyclables et la mise en place de l’ensemble des équipements de l’ouvrage.

« Les amis des arbres Â», comme ils aiment se présenter, se sont réunis, ce dimanche matin, à Arçon, dans l’allée des tilleuls, où les quinze arbres qui animent les lieux sont désormais sous la menace d’un abattage. Vendredi, le tribunal administratif de Besançon faisait savoir que l’association « Arçon nature et patrimoine Â» était déboutée de sa demande d’annuler l’autorisation qui était accordée, par le préfet du Doubs, au Maire de la commune du Haut-Doubs,  pour abattre ces arbres remarquables.

Les manifestants, réunis autour de Christine Stumpf, la présidente du collectif, sont venus dire leur incompréhension.  Ils en sont convaincus « ces arbres ne représentent aucun danger Â». Les dernières rafales de vent sont venues confirmer ces dires. La perte de ce patrimoine naturelle déchire les cÅ“urs. « C’est somptueux. C’est une véritable cathédrale Â» explique Mme Stumpf. Elle s’interroge d’ailleurs sur le bienfondé d’une telle décision, alors que les périodes de sécheresse et les îlots de fraîcheur sont recherchés. « Je ne comprends pas qu’au 21è siècle, on bafoue ainsi l’environnement et la biodiversité. Je pense qu’il y a deux humanités. Une humanité qui respecte les arbres et l’ autre Â» conclut-elle.

L'interview de la rédaction / Christine Stumpf

 

Le week-end dernier, le JDD, le Journal Du Dimanche, publiait le top 500 des villes et villages de France. Là, où il fait bon vivre. 198 critères ont été définis pour départager les 35.000 communes françaises. Qualité de vie, sécurité, santé, transports et loisirs, commerces, protection de l’environnement, … ont été passés au crible. Dans le Doubs, Chalezeule, Pouilley-les-Vignes et Nommay apparaissent dans le palmarès des villages labellisés. Dans le Jura, on notera la présence de Perrigny, Choisey, Messia-sur-Sorne, Macornay, l’Etoile et Le Pin.

Jean-Marc Bousset, le maire de Pouilley-les-Vignes,, explique cette reconnaissance par la présence sur le territoire de la commune « d’une multitude de services pour la population Â». « Les gens ont tout sur place. Ils évitent dans la mesure du possible de se rendre sur Besançon. Le cadre de vie est également agréable. On n’est pas tout à fait à la campagne mais presque. Tout concourt à ce que Pouilley-les-Vignes soit un village où il fait bon vivre Â» argumente l’édile.

S’installer à la périphérie de Besançon

Cette commune périphérique de la capitale comtoise, qui compte 2.200 habitants, connaît un regain d’intérêts depuis plusieurs années. Des lotissements, émanant du privé, sont sortis de terre. D’autres sont encore en projet. M. le Maire reconnaît que les demandes d’installation se multiplient. L’envie de devenir propriétaire, de posséder son chez soi, à la campagne, trouve écho dans cette société. « On recherche des petites parcelles, proches de Besançon, pour s’y installer Â» explique M. Bousset.

Ne pas devenir un village dortoir

L’édile se bat au quotidien pour conserver cette qualité de vie. Le contexte financier actuel oblige les communes à faire des choix. Il faut également être aussi en capacité de proposer des initiatives favorisant le vivre ensemble. Autrement dit, faire en sorte que ces communes ne deviennent pas des cités dortoirs. Le maintien de cet état d’esprit est parfois fragile, tant, depuis le covid-19, l’engagement associatif est devenu moindre.

L'interview de la rédaction : Jean Marc Bousset

 

Quel avenir pour le projet d’écoquartier des Vaîtes après la décision du tribunal administratif de Besançon ? L’instance annule l’arrêté du préfet du Doubs du 18 mars 2019 portant dérogation à l’arrêté de dégradation des espèces. Cette décision fait suite à la requête exprimée le 12 avril de la même année par les associations « Les Jardins les Vaîtes Â» et « France Nature Environnement 25-90 Â». Les autres points dénoncés par les associations n’ont pas été contestés par la justice. A savoir qu’il n’y a pas d’intérêt public majeur dans un contexte de vacances des logements sur le territoire bisontin et qu’aucune autre solution alternative n’a été étudiée. Claire Arnoux, une des responsables de l’association « Les Jardins des Vaîtes Â», ne cache pas sa satisfaction. Elle y voit l’aboutissement « de longs mois de travail et de détermination Â».

Pour la Ville de Besançon, cette décision n’annonce pas la mort du projet. Lors d’une conférence de presse, qui s’est tenue ce mardi soir, Anne Vignot, la maire bisontine a annoncé que le projet se poursuivra en déclinant la proposition établie  avec un collectif de citoyens, et présentée en 2021. « Une approche différente dans la  préservation du milieu naturel et l’occupation de  l’espace urbain Â» assure la maire de Besançon.

L'interview de la rédaction / Claire Arnoux

 

Naissances

10/02/2023 – Agathe de Dylan ROBIN, électricien et de Julia BOUQUEROD, secrétaire.
11/02/2023 - Élise de Jean-Charles MAILLOT, agriculteur et de Élia CHOGNARD, agricultrice.
12/02/2023 - Oulimata de Lamine DIOMPY, magasinier et de Aïcha DIAWARA, conseillère à l’assurance maladie.
13/02/2023 - Lyam de Alexis CHAMPREUX, technicien méthodes et industrialisation et de Océane VOUILLOT, esthéticienne.
11/02/2023 - Léonard de Mathias VITTE, artisan charpentier et de Marjorie JACQUIN, médecin généraliste.
13/02/2023 - Anna de Antoine BARIOD, agent polyvalent et de Mélanie DA SILVA, agent immobilier.
13/02/2023 - Alix de Benjamin PROST, agriculteur et de Manon MARAZI, infirmière.
14/02/2023 - Antoine de Adrien PELLEGRINI, commercial et de Laetitia BITARD, comptable.
11/02/2023 - Lou de Alex NAVARRO, technicien en chauffage et de Amandine CÔTE, kinésithérapeute.
14/02/2023 - Léonie de Augustin CAIREY-REMONNAY, tondeur de moutons et de Cynthia HOTONNIER, monitrice éducatrice.
15/02/2023 - Liv de Quentin MARTHEY, enseignant et de Céline DUPIRE, enseignante.
16/02/2023 - Léandre de Steve GRAND, technicien et de Emma MURINGER, aide-soignante.
16/02/2023 - Jahyan de Jean CADET, ouvrier et de Audrey BARRET, serveuse.
14/02/2023 - Marvin de Kevin JEANNEY-THOMANN, peintre plaquiste et de Manon VISENTINI, opératrice de fabrication.
16/02/2023 - Mathilda de André DE SOUSA BESSA, maçon et de Tânia PINTO CORREIA, employée de maison de retraite.

DECES

10/02/2023 – Monique CORDIER, 92 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de Pierre CORDIER.
13/02/2023 - Jean CALVI, 72 ans, retraité, domicilié à Doubs (Doubs), célibataire.
12/02/2023 - Luzia DE MELO MARTINS, 82 ans, retraitée, domiciliée à Villers-le-Lac (Doubs), veuve de José DE JESUS FERREIRA.
16/02/2023 - Jacques VUILLEMIN, 85 ans, retraité, domicilié à Ville-du-Pont (Doubs), époux de Joëlle GARDETTE.

Le SYDED, le Syndicat mixte d’énergies du Doubs,  poursuit le développement de son  réseau public de bornes de recharge électrique sur le département du Doubs. A ce jour, une quarantaine de bornes ont été installées. L’organisme vient de lancer une enquête, sous la forme d’un court questionnaire en ligne, à destination des élus locaux et des utilisateurs du service pour recenser les attentes et les besoins. La date limite des réponses est fixée au 2 mars prochain. Le Syded souhaite valider son schéma directeur pour la mi-2023. Ainsi toute personne intéressée ou concernée par la mobilité électrique peut contribuer à cette enquête via l’adresse mail suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

La nouvelle formule du Carnaval pontissalien a suscité de nombreuses réactions. Finalement, les maisons de quartier et la municipalité ont réussi leur pari.  Ce samedi après-midi, des centaines d’enfants sont venus participer, en famille, à ce carnaval new-look. Certes, comme toutes les premières, des ajustements devront sans doute être réalisés, mais dans l’ensemble, le pari a été relevé. Rappelons que faute de combattants, les élus pontissaliens ont dû se résoudre à annuler le traditionnel défilé pour proposer un moment festif différent.

 

L'interview de la rédaction / Témoignages d'enfants

 

carnaval pontarlier

 

Pour l’occasion, huit ateliers se sont tenus. Un stand gourmand animait également les lieux. Danses, bonne humeur et spectacles de magie étaient au programme. Tout le monde a joué le jeu  pour faire plaisir et mobiliser. Les élus pontissaliens, Patrick Genre, Bénédicte Erard et Philippe Besson, avaient sorti leurs plus déguisements. Les petits pontissaliens ont également répondu à l’appel. La salle des Capucins grouillait de héros en tout genre.

CARNAVAL PONTARLIER 3

La mise au point du Maire de Pontarlier

CARNAVAL PONTARLIER 4

L'interview de la rédaction / Bénédice Hérard

Comme chaque année, l’édile pontissalien était présent. Déguisé, il s’est, lui aussi,  prêté au jeu. Néanmoins, Patrick Genre  ne cache pas sa déception quant aux réactions très vives qui se sont manifestées sur cette nouvelle formule. « On peut critiquer l’initiative, mais laissons là vivre au moins une fois, et que l’on en tire les conclusion après Â» lance l’édile. Et de poursuivre : « Il faut essayer d’être  positif et ne pas toujours critiquer ce qui se fait. Essayons de ne pas casser avant de voir, de ne pas démolir avant de construire Â» ajoute-t-il. Pour Bénédicte Hérard, l’élue en charge de l’action sociale, malgré les difficultés, « il était important d’organiser un évènement festif, de ne pas rien faire Â». En quelques semaines, les différents acteurs ont su se mobiliser. Certes le défilé était absent cette année, mais la cité du Haut-Doubs a rebondi pour que petits et grands partagent un sympathique moment coloré, festif et convivial. L’ambiance de carnaval a su être préservée.

L'interview de la rédaction / Patrick Genre

D’ici la fin de l’année 2024, un nouveau complexe sportif devrait sortir de terre au lieu-dit « Le Pontot Â», situé à la limite des communes de Pirey et d’Ecole-Valentin. Pour Patrick Ayache, maire de Pirey et président du syndicat intercommunal qui porte ce projet, cette infrastructure répond à un véritable besoin sur le secteur de Grand Besançon Métropole. « Une étude, réalisée sur le territoire, confirme qu’en matière d’équipement sportif, celui qui manque le plus à notre territoire sont les gymnases Â» explique Mr Ayache.

Pour l’heure, le coût précis d’une telle infrastructure n’est pas encore connu. La réflexion est toujours en cours pour définir le projet le plus adapté aux besoins locaux. L’objectif étant d’accueillir les disciplines liées aux sports collectifs  et éventuellement des installations pour d’autres pratiques, telles que l’escalade, et des salles de réunion par exemple. Dans ce contexte, la superficie de l’infrastructure n’est pas encore définitivement connue.

Une consommation foncière divisée par deux

A ceux qui dénoncent une consommation foncière trop importante, Patrick Ayache rappelle que l’emprise au sol a été revue. Elle a été divisée par 2 par rapport au projet initial. « Au lieu de consommer 4 hectares de terrain, nous n’en consommerons que deux Â» explique-t-il. Et de poursuivre : « Je ne sais pas réaliser un gymnase en suspension dans l’air. Comme il n’y a pas de friches, ni à Pirey, ni aux alentours, il est forcément posé sur un espace qui n’est pas urbanisé, avec le moins de consommation possible au sol ».

A l’idéal, les travaux pourraient débuter fin 2024, pour une livraison en 2025.

L'interview de la rédaction / Patrick Ayache