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Cette année encore, une partie des collégiens de Levier se transforment en jeunes entrepreneurs. Toujours très efficace dans ce domaine, la nouvelle génération de petits ados de 4è s’est lancée dans la création de lingettes réutilisables. Comme dans toute action entrepreneuriale qui se respecte,  différentes responsabilités ont été partagées. Chacun apporte sa pierre à l’édifice pour la pleine réussite de ce projet. Un duo d’enseignantes, composé de Mesdames Jeanningros et Salvi est présente, mais les jeunes sont pleinement acteurs.

En mai prochain, ils iront défendre leur initiative à Dijon devant un jury d’experts. La petite entreprise levitienne se porte bien. Grâce à la mobilisation des jeunes, de leur proches et des enseignantes, les différentes étapes ont été passées avec brio. Celle de la production a été convaincante, avec plus de 250 lingettes déjà confectionnées.

La protection de l’environnement

Au-delà de toutes les connaissances pédagogiques que peut apporter cette initiative dans le domaine du fonctionnement d’une entreprise, les jeunes ont voulu également défendre une valeur forte, qui semble être ancrée dans cette génération. Celle de la protection de l’environnement. C’est le domaine du recyclage des matières premières que ces futurs adultes ont envie de développer et inscrire dans les enjeux de demain.

Le reportage de la rédaction : Les jeunes et Mme Jeanningros

 

Dans le Jura, les élèves de classes de formation musicale, à partir de la 3è année, de l’école de musique Haut-Jura Arcade, vont très prochainement participé à l’enregistrement audio et vidéo d’une chanson co-écrite et mixée par deux des professeurs de l’établissement. Cette opération aura lieu le 5 avril dans un studio professionnel à Présilly. Une fois réalisé, le clip sera diffusé sur le site de l’école et les réseaux sociaux de la structure.

La troupe de théâtre du lycée Edgard Faure de Morteau, « les Egarés », remonte sur les planches en ce début de printemps. Le 31 mars, les 24 jeunes qui composent le collectif, présenteront leur tout nouveau spectacle baptisé « chewing-gum ». Cette pièce, digne d’un film de science-fiction, a été écrite et mise en scène par le comédien professionnel Romain Jaillet, à partir des idées déclinées par les jeunes lors des prémices du projet.

L’histoire vous fera voyager dans différentes réalités, découvrir de nouveaux mondes, en compagnie de personnages attachants et loufoques. Pour les jeunes acteurs, ce projet correspond à « une véritable aventure humaine », où chacun a apporté son expérience, ses idées et son enthousiasme.

A quelques jours du rendez-vous, les comédiens conjuguent stress et plaisir, avant de retrouver leur public. La semaine prochaine, ils joueront devant leurs camarades lycéens, avant de clôturer, en beauté,  ces représentations par un dernier passage devant le grand public, le 31 mars , à 20h30, au théâtre de Morteau. Entrée libre.

Le reportage : Pierre et Louane, deux jeunes comédiens amateurs

 

 

 

A compter de ce lundi 20 mars, et jusqu’au mercredi 22 mars, les 8.445 élèves de terminale de l’académie de Besançon, en voie générale et technologique, passent leurs deux épreuves de spécialités, avant l’épreuve de philosophie et le grand oral, qui se tiendront en juin prochain. Les notes obtenues par les candidats, qui leur seront communiquées d’ici le 12 avril, compteront pour l’obtention du diplôme et apparaîtront dans les dossiers d’inscription sur Parcoursup.

Pour la première fois depuis la mise en place de la réforme du baccalauréat, que la crise sanitaire était venue perturber, les épreuves peuvent se tenir en mars. Néanmoins, en 2023, elles se déroulent dans un contexte incertain, avec la contestation contre la réforme des retraites. Pour parer à d’éventuelles perturbations, le rectorat a fait appel à des surveillants supplémentaires. Des aménagements ont également été prévus pour les candidats en retard aux épreuves en raison d’éventuelles perturbations dans les transports.

Plus de 1000 enseignants mobilisés

Dans l’académie de Besançon, plus de 1.000 enseignants sont mobilisés. 852 d’entre eux assureront la correction des épreuves écrites. Ils sont 180 à participer aux épreuves orales. On recense également 42 centres d’examen, en plus de la maison d’arrêt. Rappelons que les épreuves finales se tiendront le mercredi 14 juin pour la philosophie et du 19 au 30 juin pour les oraux. Les résultats définitifs du bac seront connus le mardi 4 juillet 2023 à partir de 10h

Ce vendredi, de 16h à 19h,  et ce samedi, de 9h à 16h,  le lycée agricole LaSalle de Levier ouvre ses portes. Durant ces deux journées, le public aura l’occasion de venir découvrir les installations et les formations de l’établissement. Les professeurs et leurs élèves seront présents pour répondre à toutes les questions

Quels cursus de formation ?

A Levier, le parcours de formation se divise en :

  • Une voie professionnelle, qui s’organise en un CAP palefrenier et une seconde professionnelle, qui donnent accès à un bac professionnel « conduite et gestion de l’entreprise hippique ou agricole » et un BTS en scolaire ou en apprentissage « Analyse Conduite et Stratégie de l’Entreprise Agricole et Productions Animales ».
  • Une voie générale et technologique, qui accueille les élèves en seconde générale et technologique, puis en bac technologique « Sciences et Technologies de l’Agronomie et du Vivant », spécialités « Productions ou Services » ou bac général scientifique, permettant ensuite d’accéder au BTS précédemment cité.

Apprendre autrement

Le jeune est au centre du projet pédagogique de l’établissement. L’objectif est de le placer dans les meilleures conditions et s’assurer que son projet est bien en adéquation avec celui de l’établissement et du contenu des formations dispensées. Sa maturité, ses envies, ses  besoins, … font l’objet de toutes les attentions, afin d’éviter une désagréable mise en échec. Le lycée agricole veut accueillir au mieux ces jeunes recrues, éviter à tout prix le décrochage scolaire et déployer les accompagnements nécessaires pour une pleine réussite et insertion professionnelle. Pour se faire, c’est toute une équipe éducative qui se mobilise. On prête bien entendu attention à la qualité de l’enseignement dispensée, mais aussi au cadre de vie. Des prises en charge indispensables pour former les professionnels de demain et contribuer à l’épanouissement, au bien-être et à la confiance de cette jeunesse passionnée et motivée.

L'interview de la rédaction / Béatrice Aubrée, directrice du lycée agricole LaSalle de Levier

 

Alors que les jeunes se cherchent actuellement un avenir, les 29 MFR de la région ouvrent leurs portes ce samedi. Ce qui permettra aux familles de découvrir ces établissements qui forment de très nombreux jeunes dans des secteurs d’activité très variés.  La pédagogie instaurée est plébiscitée par une jeunesse désireuse de pratiquer et de maîtriser des savoir-faire et des savoir-être  au contact du monde professionnel. En plus de ces compétences techniques, on y dispense aussi des valeurs éducatives, tournées vers le vivre ensemble, avec notamment un accueil en internat.

Durant cette journée portes ouvertes, de 9h à 17h, le public pourra découvrir le fonctionnement des différents établissements et le contenu des formations dispensés. Les apprenants sont accueillis dès la classe de 4è et peuvent y grandir et se former jusqu’à obtenir un CAP, un bac professionnel, un brevet professionnel ou un BTS. Les formations professionnelles dispensées forment à de nombreux métiers qui sont liés à l’agriculture, à la forêt, au paysage, à la santé, aux soins, à l’animation, au tourisme et à l’artisanat.

Alternance et débouchés professionnels  

L’enseignement propose des temps pratiques et théoriques. L’alternance y est en bonne place. « Elle facilite l’insertion professionnelle ». « Les jeunes et les adultes, que nous suivons, se forgent une bonne expérience. Cela leur permet de s’insérer plus facilement dans le monde professionnel » explique Philippe Joly, le directeur des MFR en Bourgogne-Franche-Comté. Et de conclure  : « il y a beaucoup de jeunes qui, à la suite de leur apprentissage ou de leur stage, sont embauchés par leur entreprise d’accueil ».

Pour de plus amples informations : https://www.mfr-bfc.fr/

L'interview de la rédaction : Philippe Joly, directeur des MFR en Bourgogne-Franche-Comté

 

 

Les inscriptions sont ouvertes pour participer au chantier de jeunes qui aura lieu du 8 au 22 juillet prochain à la Citadelle. Ces deux semaines de chantier sont organisées par la Ville de Besançon (Direction Citadelle et Direction Vie des quartiers) et par l’association le Club du Vieux Manoir, qui cordonne des chantiers depuis plus de 70 ans. Cette septième édition va permettre à des jeunes volontaires de découvrir les richesses de la Citadelle, du patrimoine de la Ville et de ses alentours.

Les préinscriptions sont possibles, jusqu’à fin mars, sur le site internet de la ville de Besançon (https://www.besancon.fr/actualite/camp-chantier-a-la-citadelle/). Il est également possible de contacter Gaelle Cavalli à la Citadelle de Besançon : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou 03 81 87 84 38

Les jeunes, lycéens et étudiants, ont animé le cortège bisontin ce mardi.  La réforme des retraites explique cette forte mobilisation, mais les jeunes sont également venus dénoncer une manière de faire de la politique qu’ils jugent désuète et  ne correspond plus aux exigences de la société. Ils veulent une démocratie plus large et une implication plus grande des citoyens dans les mesures qui les concernent. Sixième république ou pas, une partie de la jeunesse française veut être associée aux décisions qui dessinent son avenir.

Pour Paul, représentant local du syndicat UNL, l’utilisation du 49.3 à l’Assemblée Nationale, la réforme du bac et des lycéens professionnels et, plus récemment, la généralisation du Service National Universel  font partie de la liste des décisions prises sans concertation.  « Le peuple n’est pas consulté » lance le lycéen bisontin. « Il est important que les jeunes se mobilisent pour exprimer leur vision de la société et leur conception du débat public » déclare le jeune militant.

L'interview de la rédaction / Paul

 

Le rectorat de Besançon a enregistré près de 34% de grévistes dans l’académie ce mardi, sixième journée de mobilisation contre la réforme des retraites. Ce qui représente : près de 41% d’enseignants mobilisés dans le 1er degré et près de 33% dans le second degré.

Dans le cadre de la journée internationale des droits des femmes du 8 mars prochain, l’UNSS organise un grand rassemblement sur le site de la Malcombe à Besançon. Plus de 1000 participants sont attendus à l’occasion de la « lycéenne – collégienne UNSS ».

Cette manifestation s’adresse principalement aux jeunes filles de 14 à 18 ans afin de promouvoir l’égalité hommes-femmes et les droits des femmes. Les jeunes sportives auront doit d’inviter un garçon à condition qu’il signe une charte pour prouver son implication dans les valeurs défendues par cet évènement. Au programme : une course d’obstacles, des ateliers sportifs et un village, composé d’une trentaine de stands d’information.