En raison de travaux de maintenance sur les voies, la circulation des tramways sera interrompue ce mardi 4 octobre en soirée à Besançon. Pour être plus précis, à partir de 19h, les lignes T1 et T2 seront perturbées. A partir de 21h, ces mêmes lignes ne circuleront plus. Il sera alors mis en place le Plan B. Pour obtenir toutes les infos nécessaires, rendez-vous sur l’application « Ginko Mobilités » ou sur www.ginko.voyage
Un feu de grange d’une superficie de 100 m2, mitoyenne à un bâtiment à usage d’habitation, s’est déclaré ce lundi après-midi à Val Sonnette (39). L’action des sapeurs-pompiers a permis de préserver cette dernière. Neuf engins et 22 sapeurs-pompiers se sont rendus sur place.
Une rencontre se tient ce lundi soir à Arinthod (39). La présidente de l’Association des Maires et des Présidents d’intercommunalité du Jura (AMJ), qui regroupe 97% des maires jurassiens, et les communes du Jura sinistrées par les incendies de cet été échangent sur l’usage de la subvention de 5.400 euros versée par la commune d’Annemasse à l’AMJ pour ces dernières.
Un individu a été présenté ce lundi à un magistrat bisontin. Samedi, à Pontarlier, lors d’un contrôle, il est apparu que cet homme conduisait sur l’effet de stupéfiants. Il a également été constaté qu’il était recherché par le groupe d’enquête local pour des violences aggravées et dégradations commises sur Besançon et Pontarlier. Il a été placé en garde à vue. Il a reconnu la conduite sous stupéfiants, mais a tenté de se dérober pour les faits de violences aggravées et les dégradations.
Vincent Martin, le Président de la Fédération Régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté s’inquiète pour la santé et le dynamisme des entreprises de ce secteur d’activité en 2023 . Selon lui, « la décision du gouvernement de ne pas indexer la Dotation Globale de Fonctionnement sur l’inflation revient à baisser les ressources des collectivités locales pour l’année 2023 ». Un choix qui laisse craindre « une chute de l’investissement local ». Ce qui se traduirait par « une baisse des activités, pouvant menacer les entreprises et les emplois ».
Les Sénateurs du Doubs, Jean-François Longeot et Annick Jacquemet ont saisi François Braun, le ministre de la santé et de la prévention concernant « la problématique de la prise en charge des patients en cas de mouvement de grève au bloc opératoire ainsi que du manque de services d’urgences dentaires constaté dans le Doubs ».
Cette décision fait suite à l’interpellation d’un Bisontin qui a connu deux expériences malencontreuses. Les deux parlementaires demandent « la mise en place d’une politique de financement des services d’urgences hospitalières pérenne et durable qui garantisse un accès aux soins à tous les citoyens ».
Le Préfet du Doubs a décidé de lever l’ensemble des restrictions, liées à l’usage de l’eau, sur le territoire du département du Doubs. Les débits des cours d’eau sont remontés, les nappes connaissent actuellement un accroissement de leur niveau et il n’existe plus de difficulté pour l’approvisionnement en eau potable des communes. Malgré cette situation favorable, le représentant de l’état appelle « tous les usagers à la vigilance et au civisme afin de préserver cette ressource ».
C’est une mère en colère et désespérée que la rédaction de Plein Air a rencontré. Elle dénonce la décision de justice qui est dernièrement tombée et la manière dont celle-ci s’est prononcée sur l’affaire de harcèlement, dont son fils, Bryan, a été victime en 2019.
Trois années après les faits, celle-ci a condamné à un préjudice symbolique de 1 euro et 45 heures de travail d’intérêt général les trois élèves agresseurs. « La vie de mon fils ne veut pas mieux que cela ? » s’insurge Vanesse Petite. Rappelons qu’en 2019, à l’internat, au lycée Professionnel Toussaint Louverture, trois pensionnaires avaient fait comme souffre-douleur un des leurs. Ce harcèlement aurait duré deux ans. C’est un ami de la victime qui a dénoncé les faits lors d’un repas de famille. Il est évoqué des brûlures aux mains, des coups de couteau dans le dos, du viagra dans un verre d’alcool, des bousculades et des vidéos de ces scènes de maltraitance, diffusées sur les réseaux sociaux.
2500 euros de frais d’avocat
Trois ans après les faits, la maman de Bryan dénonce « une justice mal faite ». Elle pointe « une non-reconnaissance de la victime » et « une réparation qui n’est pas à la hauteur du préjudice subi ». Pour cette mère de famille, la coupe est pleine lorsqu’elle apprend qu’on « lui reproche de ne pas avoir vu » la violence que subissait son fils de 17 ans à l’époque des faits. Elle se sent seule et démunie. « Mon fils n’a jamais été entendu par la justice. Mon avocate, mon fils et moi n’avons jamais été convoqués à la première audience. Tout s’est fait sans nous » explique-t-elle. Et de poursuivre : « je me battrai jusqu’au bout. Je lui ai promis ».
Epuisement
Cette femme évoque « un véritable épuisement mental et physique ». « Impossible de tourner la page ». Le déplacement aux urgences de l’hôpital de Pontarlier, les brûlures sur le corps de son enfant, … elle n’a pas oublié. Elle déplore également le manque d’empathie de la direction de l’établissement scolaire dans lequel Bryan était scolarisé. « Ils n’ont jamais pris de nouvelles. Par contre, ils n’ont pas oublié de m’envoyer un huissier de justice pour la facture de l’internat que je n’avais pas payée » conclut-elle.
L'interview de la rédaction