Depuis le 1er janvier 2025, l’université de Franche-Comté s’est transformée en une université expérimentale Marie et Louis Pasteur. Finie la COMUE, qui l’associait à l’université de Bourgogne, l’établissement évolue différemment. Ce nouveau statut permet à des établissements d’enseignement supérieur et de recherche de se regrouper en expérimentant de nouvelles formes d’organisations, en dépassant le cadre des universités et des écoles.
L'interview de la rédaction : Macha Woronoff, la présidente de l'ex université de Franche-Comté
Quelles sont ses composantes ?
La nouvelle entité franc-comtoise regroupe les 11 composantes, issues de l’ex-université de Franche-Comté, auxquelles s’ajoutent deux établissements-composantes, que sont l’Université de Technologie de Belfort Montbéliard et SUPMICTOTECH-ENSMM et six établissements associés : ENSAM, au titre de son Campus de Cluny, le CHU de Besançon, le CROUS Bourgogne Franche-Comté, l’EFS BFC, l’ESTA et l’Institut Supérieur des Beaux-Arts de Besançon. Désormais, la nouvelle entité regroupe plus de 430 diplômes sur l’ensemble de son périmètre. Elle concentre environ 35.000 étudiants et près de 2.000 enseignants et enseignants-chercheurs. D’ici quelques mois, sous doute au printemps prochain, son Conseil d’Administration élira son ou sa présidente. Macha Woronoff, la présidente de l’ex-université de Franche-Comté, a assuré qu’elle ne solliciterait pas un nouveau mandat.
L'interview de la rédaction : Macha Woronoff, la présidente de l'ex université de Franche-Comté
Ses missions ?
A travers cette démarche, l’objectif est de renforcer l’attractivité des formations dispensées, mieux favoriser l’inclusion des étudiants et intensifier les partenariats avec le milieu socio-économique local, national et international. Tout en garantissant le rayonnement et le développement de l’université de Franche-Comté.