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Huit régions françaises, dont la Bourgogne-Franche-Comté, ont attaqué SNCF Réseau devant le Conseil d’Etat pour contester les tarifs de ses péages ferroviaires. Ces collectivités dénoncent les augmentations prévues pour les années 2024, 2025 et 2026. Il s’agit tout simplement d’une redevance, que doit honorer la collectivité, payée au gestionnaire, pour faire circuler ses TER. . En moyenne, l’augmentation des péages a atteint 8% pour l’année 2024 pour ce type de transport.

Dans un communiqué de presse,  Laurent Croizier, le député doubiste de la majorité présidentielle, a réagi à la nomination de Gabriel Attal au poste de Premier ministre. Pour le parlementaire franc-comtois, « l’Education nationale perd un excellent ministre, mais la France gagne un Premier ministre très prometteur Â». Et de poursuivre : « j’ai travaillé à ses côtés ces six derniers mois et je sais que son dynamisme, son autorité et son franc-parler feront bouger les lignes Â».

Après 18 heures d’attente et de suspens, Gabriel Attal a été nommé Premier Ministre. Il succède à Elisabeth Borne, qui a été contrainte, par Emmanuel Macron,  de présenter sa démission. Cette nomination a été plutôt ubuesque puisqu’elle est parvenue alors que Gabriel Attal était en visio, en tant que ministre de l’Education, avec les chefs d’établissement.

A l’image du SNUipp-FSU, les syndicats ne sont pas surpris par la situation. Ils n’attendaient rien de Gabriel Attal et pas plus de son successeur, « tant qu’Emmanuel Macron sera à la tête du pays Â». Karine Laurent dénonce les engagements contradictoires du gouvernement dans le domaine des services publics. Selon elle, les ministres de l’Education nationale ne sont que des figurants Â». La politique en la matière étant définie par le couple Macron. Il est ainsi fait référence à la dernière initiative sur le harcèlement, lancée à la presse par la Première Dame de France.  

« Nous sommes dans un contexte où le Président de la République est multi ministres. Il décide tout. C’est déjà entre Emmanuel et Brigitte Macron que les choses se décident pour l’Education nationale Â» termine Mme Laurent.

L'interview de la rédaction / Karine Laurent, représentante du syndicat SNUipp-FSU

Après 18 heures d’attente et de suspens, Gabriel Attal ( 34 ans) a été nommé Premier Ministre. Il succède à Elisabeth Borne, qui a été contrainte, par Emmanuel Macron,  de présenter sa démission. Cette nomination  a été plutôt ubuesque puisqu’elle est parvenue alors que Gabriel Attal était en visio, en tant que ministre de l’Education, avec les chefs d’établissement. On attend désormais la composition de son gouvernement, qui devrait être connue dans les prochains jours. Précisons qu’Elisabeth Borne est restée précisément à Matignon durant 1 an, 7 mois et 23 jours.

Selon les propos dernièrement tenus par Patrice Vergriete, le ministre délégué au Logement, des crédits supplémentaires seront engagés pour « renforcer le système d’hébergement d’urgence Â». La rallonge devrait s’élever à 120 millions d’euros. Pour le ministre, cette enveloppe doit notamment servir à répondre aux besoins urgents, notamment pour accueillir les femmes er les enfants à la rue.

Lors des vÅ“ux de l’institution à Emmanuel Macron, Laurent Fabius,  le Président du Conseil constitutionnel,  a indiqué que l’instance se prononcera le 25 janvier sur la loi immigration adoptée mi-décembre. Rappelons que le conseil constitutionnel a fait l’objet de quatre saisines après l’adoption, par le Parlement, de ce texte.

Elisabeth Borne, la première ministre, a remis la démission de son gouvernement à Emmanuel Macron, qui l’a acceptée. Le Chef de l’Etat l’ a remerciée «de tout cœur» pour son travail «exemplaire» au «service de la Nation». Après Julien Denormandie et Sébastien Lecornu, c'est le ministre de l'Éducation nationale Gabriel Attal qui pourrait lui succéder.

Dans le cadre de l’appel national de la marche des solidarités, le collectif du triangle d'or, association regroupant des organisations syndicales, politiques et militantes, ainsi que des associations et des citoyens engagés, appelle à un rassemblement pour le retrait de la loi immigration. Le rendez-vous est fixé ce dimanche 14 janvier à Arbois, Place Notre-Dame.

Ils sont acteurs, écrivains, journalistes, mais aussi représentants syndicaux ou associatifs… Au total, 201 personnalités appellent à manifester le 21 janvier contre la promulgation de la loi immigration. Cette initiative est née au lendemain du vote de cette loi à l’Assemblée nationale le 19 décembre dernier. Un texte rédigé par ces 201 personnalités a été publié par L’Humanité et Mediapart ce dimanche dans une tribune. Il dénonce un « tournant dangereux de notre République ». Parmi ces personnalités, les secrétaires générales de la CGT et de la CFDT, Sophie Binet et Marylise Léon. Mais aussi Fabien Roussel, le secrétaire national du PCF, Manuel Bompard, le coordinateur de la France insoumise, Jacques Toubon l’ancien ministre de Jacques Chirac et ex-défenseur des droits, et d’autres représentants politiques comme Marine Tondelier (Les Écologistes) ou encore Olivier Faure (PS). Des responsables associatifs, des universitaires, des personnalités des trois grandes religions monothéistes, ou des artistes comme Josiane Balasko ou Marina Foïs appellent également à ce rassemblement.

Deux quartiers bisontins font désormais partie de la liste des quartiers prioritaires de la politique de la ville. Les quartiers de Battant et des Hauts de Saint-Claude y apparaissent désormais. Le nouveau décret est entré en vigueur le 1er janvier dernier. Rappelons que la France Métropolitaine compte près de 1.400 sites classés quartiers prioritaires de la ville. En 2024, 111 quartiers rejoignent cette nouvelle liste, 40 en sont sortis.

Ce reclassement permettra aux habitants de ces quartiers de bénéficier des dispositifs de la politique de la ville, notamment en matière fiscale et autour des enjeux éducatifs, d’emploi, d’insertion et de développement économique.