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C’était une belle journée sportive ce samedi à Besançon. Après de nombreux mois d’inactivité, en raison de la pandémie, la ville de Besançon et l’office municipale des sports ont choisi de donner la possibilité aux clubs sportifs du territoire de montrer toute la gamme de leur savoir-faire et de retisser du lien avec la population locale. Une soixantaine d’associations a répondu présent. Gymnase Bersot, complexe Léo Lagrange, Piscines Mallarmé et Port Joint, Malcombe,… , de nombreux sites accueillaient le public. Les pratiques étaient nombreuses : lutte, boxe, musculation, haltérophilie, volley-ball, basket, plongée, gymnastique, … . L’offre sportive est riche à Besançon et chacun peut y trouver son compte.

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Des bénévoles et professionnels satisfaits

Il n’y a pas de doute, les responsables et techniciens des clubs sportifs bisontins engagés dans cette journée avaient le sourire. Si certains auraient aimé que la Ville communique davantage, tous se félicitent de cette initiative. Une journée heureuse qui permet de sensibiliser et d’informer le grand public. Parfois, ce sont les anciens licenciés qui sont venus confirmer leur retour, mais parfois, souvent même,  des petits nouveaux sont apparus. « On a fait le plein » confirme Patrick Mazzolini, le vice-président du club de gym la Saint-Claude. Même enthousiasme à la piscine Mallarmée, où le club de plongée reprenait vraiment son activité après neuf  mois d’interruption. « On fait découvrir notre passion » explique Jean-Marie, ravi de pouvoir transmettre ses connaissances aux petits comme aux grands. Cédric Ambs, le responsable technique du Besançon Volley-Ball est rassuré également. D’autant plus que les Jeux Olympiques de Tokyo et le sacre de l’équipe de France ont suscité de l’intérêt chez de nouveaux jeunes, désireux de découvrir ce sport collectif.

 

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Le pass sanitaire

Le reportage de la rédaction

A compter de lundi, le pass sanitaire sera de rigueur lorsque l’on pratique une discipline sportive en club. Pour le boxeur Morrad Hakkar, « c’est le seul moyen de pouvoir reprendre une activité normale. Il faut respecter les décisions de la République ». Au club de gymnastique rythmique et Sportive, on se fait du souci. « Certaines pratiquantes pourraient ne pas reprendre.  Leurs familles étant  encore indécises sur le bienfait du vaccin » explique cette maman bénévole.  « Dès lundi, nous devons nous conformer à la réglementation » confirme Abdel Ghezali, 1er adjoint à la Ville de Besançon et responsable des sports. Et de conclure : « nous sommes aux côtés des associations pour les accompagner au mieux dans la mise en place de cette obligation ».

SPORT BESANCON MORRAD HAKKAR

La Ville de Besançon vient de publier le guide « l’animal à Besançon. Guide des bonnes pratiques ». Il est disponible en mairie et en ligne sur internet. Ce document vise à donner des renseignements utiles concernant les animaux, domestiques ou non, et rappeler les bonnes pratiques et les devoirs de chacun pour vivre plus harmonieusement en collectivité.  A l’intérieur, les lecteurs y trouveront des réponses à leurs interrogations, des conseils pratiques et des contacts utiles.

Pour découvrir ce document : https://www.grandbesancon.fr/wp-content/uploads/sites/2/2021/06/VILLE-DE-BESANCON_Guide-de-lanimal_WEB.pdf

Ce mardi, la Ville de Besançon, organisait une grande journée de formation à destination des 250 professionnels qui forment le secteur de la petite enfance de la cité comtoise. Parmi eux, des auxiliaires de puériculture, éducateurs, agents, assistants socio-éducatif, … qui travaillent dans les 14 crèches municipales de la ville et la crèche familiale. Pour ce premier rendez-vous, qui en appellera d’autres,  les équipes ont travaillé sur le thème de la cohésion d’équipe, qui avait été choisi par les personnels lors d’une concertation.

A travers cette démarche, la Ville de Besançon souhaite renforcer le travail d’équipe, instaurer le partage des pratiques et améliorer les conditions des enfants. Pour ce faire, la formation s’est déclinée en deux temps. Une conférence participative, animée par deux formatrices en communication bienveillante, fut proposée le matin. L’après-midi, les participantes ont présenté des ateliers expérimentés sur le terrain et mettant en exergue un point fort de leur pratique.  « Agir de manière concertée », « Accueillir la différence et vivre ensemble », « tâche partagée et polyvalence », … sont quelques-unes des expériences déclinées.

Plus qu’un lieu de garde

Marie Etevenard, conseillère municipale à la petite enfance et à la parentalité à la ville de Besançon,  reconnaît que l’accueil des enfants en crèche a évolué. Ces établissements ne sont pas que des lieux de garde, mais ce sont aussi des établissements éducatifs,  où la prise en charge de l’enfant est entière. Ce mercredi, c’est la rentrée dans les crèches bisontines. A Besançon, 600 places sont à la disponibilité des familles.

L'interview de la rédaction / Marie Etevenard

Ce samedi, les clubs de sport bisontins ouvrent leur porte durant tout une journée. Un évènement, à l’initiative de la Ville de Besançon et de l’office municipal des sports. Consciente que le sport et la vie associative sont primordiaux pour le vivre ensemble, le lien que cela tisse, la notoriété de la cité et les bienfaits que cela procure, les deux organisateurs ont voulu remettre les clubs, les associations et leurs acteurs dans la lumière. « Les associations jouent un rôle essentiel en termes d’éducation, de citoyenneté et d’émulation et d’animation » explique Abdel Ghezali, 1er adjoint à la Ville de Besançon en charge des sports.

L'interview de la rédaction : Abdel Ghezali

Le constat est le même dans beaucoup de territoires français, et Besançon n’échappe pas à la règle, en pleine pandémie, les pratiquants ont déserté les clubs sportifs et ont trouvé d’autres occupations. C’est la raison pour laquelle, cette journée portes ouvertes à toute sa place. « On constate que la crise sanitaire a engendré une baisse de la pratique. Le nombre des licenciés a baissé. Il est donc important de présenter aux enfants et leurs parents la richesse des activités sportives sur notre territoire » précise M. Ghezali. Et de poursuivre : « on essaie de valoriser ces associations pour qu’elles puissent redémarrer en septembre des activités normales, mais dans le respect du pass sanitaire ».

Ainsi, durant cette journée, de 10h à 18h,  une soixantaine de clubs et associations sportives seront mobilisés. Bénévoles et éducateurs sportifs sortiront le grand jeu et montreront toute la gamme de leurs compétences.  Au programme : de la plongée, du squash, du judo, badminton, roller derby,… .

Pour tout savoir sur cet évènement :   https://cagb.maps.arcgis.com/apps/instant/interactivelegend/index.html?appid=08bdf1bdcc9541579f5f0b994ddd00e7

Alors que la Ville de Besançon organise ce mardi une journée de formation pour tout son personnel de la petite enfance, une partie de ces professionnels ont manifesté ce matin devant  la Rodia, où se tient ce rendez-vous. Un rassemblement à l’initiative du syndicat Force Ouvrière de la Ville de Besançon. Les participants dénoncent la nouvelle mesure de la municipalité qui entend  « imposer une pause méridienne de 45 minutes non rémunérée aux agents alors qu’ils ont aujourd’hui une pause de 30 minutes payée ».

Pour la Ville de Besançon, il est important d’harmoniser ces règles particulière à toutes les composantes des agents de la cité. C’est ce que demande la loi dite « des 1607 heures » pour la réforme de la fonction publique. Pour les manifestants, « la Ville n’avait pas obligation à le faire ». Selon eux, il s’agit « d’un recul des conditions de travail et une détérioration de l’accueil des enfants dans les structures bisontines ». Anne Vignot est attendue en fin d’après-midi pour conclure cette journée.

Le reportage de la rédaction

La nouvelle municipalité bisontine s’est engagée à prendre le dossier à bras le corps. Tout n’est pas encore réglé, mais en cette première année de mandat, elle est parvenue à ouvrir plus de 300 nouvelles places dans les cantines bisontines. Alors qu’il y a quatre ans environ, près de 500 enfants se trouvaient sur la touche, en septembre prochain, ils ne seront plus que 179. A Besançon, sur les 8400 écoliers que comptent la ville, 4800 mangent à la cantine chaque jour.

Consciente que la situation n’est pas encore totalement satisfaisante, la Ville de Besançon continue de réfléchir à la meilleure des organisations  pour trouver la solution qui assurera la meilleure prise en charge  des enfants. Chaque jour, la ville assure la distribution de 5.500 repas. Une très grande partie d’entre eux  est assurée par la cuisine centrale de la ville. Mais pour pouvoir accueillir un plus grand nombre d’enfants, 10% de ces menus sont confectionnés en liaison froide par un prestataire extérieur. Trois écoles bisontines sont concernées : Durer Albrecht,  Granvelle élémentaire et Chaprais.  D'ici la fin du mandat, les élus  souhaitent pouvoir accueillir au moins 70% des enfants inscrits dans les écoles bisontines au sein des cantines scolaires.

A la recherche d’animateurs périscolaires

La ville de Besançon compte 65 écoles. 800 agents sont mobilisés chaque jour. Parmi eux, des animateurs. A quelques jours de la rentrée, la ville de Besançon est à la recherche d’adultes capables d’accueillir et d’accompagner au mieux les petits bisontins, notamment pendant la pause méridienne. 50 postes sont encore à pourvoir. Pour obtenir de plus amples informations, rendez-vous sur le site internet de la ville de Besançon.

L'interview de la rédaction : Claudine Caulet, élue en charg de l'éducation, des écoles et la restauration scolaire

Plus que quelques jours de vacances. Le 2 septembre prochain, c’est la rentrée des classes. A Besançon, de nombreux chantiers, plus ou moins importants, sont en cours. Au total, c’est une vingtaine d’écoles qui est concernée par ces travaux d’entretien, de rénovation ou de réhabilitation. Dans une quinzaine d’entre-elles, il s’agit principalement d’un chantier lié à la  rénovation énergétique. Ainsi, la collectivité remplace  les fenêtres ou procède à l’isolation du bâtiment pour éviter les pertes d’énergie et mieux se protéger des fortes chaleurs. Autrement dit, consommer moins l’hiver et éviter les trop fortes chaleurs dans les écoles .

60 millions d’euros d’investissement sur la durée du mandat.

Pour mener à bien cet ambitieux programme, la nouvelle majorité municipale a prévu d’investir 60 millions d’euros sur la durée du mandat. Ces dépenses comprennent des interventions dans les écoles maternelles et primaires de la ville, mais également dans les crèches. En plus de cela, la ville a prévu d’augmenter le budget consacré aux plus petits travaux, comme la maintenance électrique des lieux, leur accessibilité , …  . Ainsi, il s’élève à 1,2 millions d’euros annuels, contre 1 million jusqu’à présent. A cela s’ajoute 1 million d’euros supplémentaires pour la réfection des cours d’école. A ce jeu-là, c’est l’école Brossolette et sa cour de 5000 m2 qui décroche la palme,  avec un investissement consenti de 855.000 euros. Dès la rentrée de septembre, les petits écoliers vont pouvoir bénéficier d’un nouvel endroit conçu et réfléchit pour mieux lutter contre les îlots de chaleur et permettant la mise en place  d’activités pédagogiques autour de l’écologie et de la nature. Dans un premier temps, il a fallu s’attaquer à la désimperméabilisation  des sols, avant de procéder à la création d’espaces végétalisées, dont une partie de la façade sud du bâtiment. Cet important chantier en appellera sans doute d’autres. Alors, autant dire que ce nouvel espace, dont une partie sera ouverte à la population du quartier de Montrapon,  fait l’objet de toutes les attentions.

L'interview de la rédaction : Jean Emmanuel Lagarge (élu en charge de la maîtrise de l'énergie et du shéma directeur des écoles et Fabienne Brauchli, élue en charge de la transition écologique, des espaces verts et de la biodiversité.

Vital été vit ses derniers instants. Lancée le 7 juillet dernier, l’édition 2021 de cette manifestation bisontine familiale et populaire touche à sa fin. Le 21 août, demain, elle fermera ses portes, avant un probable  retour l’été prochain.

Pour l’heure, difficile de tirer un bilan définitif. La Ville se laisse encore une quinzaine de jours avant de le faire. Cette année, en raison des travaux menés à la Malcombe, il a été pris la décision d’organiser l’évènement sur deux sites différents : à Planoise  et en forêt de Chailluz. Cette année de nouvelles animations ont été proposées également, comme par exemple dans les domaines de l’environnement et du sport santé. Par ailleurs, des interventions thématiques ont vu le jour. Ce qui a donné naissance à des initiations à la pratique de l’escalade, l’équitation et les activités nautiques.   Lors de ces six semaines d’animation, ce sont environ 400 personnes, des enfants et leurs accompagnateurs, qui ont fait le déplacement sur les deux plus grands sites d’accueil.

Des vacances pour tous

Tout le monde n’a pas la chance de pouvoir partir en vacances. C’est la raison pour laquelle, ces animations estivales sont importantes. La Ville entend bien continuer à les proposer. « L’objectif est d’accompagner tous ces enfants qui ne quittent pas Besançon. C’est une démarche très positive et intéressante, qui répond aux besoins et aux attentes des familles » explique André Terzo, conseiller municipal, délégué à l’animation sportive. D’ici quelques semaines, une évaluation de l’événement sera effectuée par le service des sports. Elle permettra de porter une réflexion pertinente sur la prestation proposée et d’en tirer des conclusions. L’apport de nouvelles disciplines semble plaire aux Bisontins.  

L'interview de la rédaction : André Terzo, conseiller municipal, délégué à l’animation sportive.

Inscriptions à distance

La Ville de Besançon se félicite également de la mise en place d’un nouvel outil numérique « sports à Besançon », qui a permis aux participants d’anticiper leur inscription à certaines activités. Car, oui, cette année, Covid-19 oblige, il a fallu assurer la sécurité sanitaire des visiteurs. D’où la mise en place d’un système d’inscription à distance, permettant ainsi de respecter les jauges instaurées.

Lors du conseil municipal du 30 septembre prochain, la Ville de Besançon proposera le versement dune subvention de 10.000 euros à l’association « Pompiers de l’urgence internationale ».

Cette ONG française de solidarité internationale porte secours aux populations dans des situations de catastrophes naturelles ou humanitaires. C’est donc dans le cadre des incendies qui touchent de nombreux pays du pourtour méditerranéen : Italie, Grèce, Turquie, Algérie, Espagne et ceux du pourtour de la mer Adriatique : Bosnie, Croatie que cette aide sera accordée.

Dans ce même communiqué de presse, Anne Vignot explique que « les conditions météorologiques : chaleurs extrêmes, faibles taux d’humidité dans l’air, très peu de précipitations, parfois en plus des vents violents, et une végétation sèche sont propices aux incendies ». Et de conclure : « Avec le dérèglement climatique lié aux activités humaines, ces périodes favorables aux incendies seront malheureusement de plus en plus fréquentes. Anticiper, s'adapter et lutter ce sont les objectifs que s'est fixés la Ville de Besançon vis à vis du dérèglement climatique. Il est urgent de changer notre modèle de société afin de ralentir le rythme de la surchauffe planétaire ».

En hommage des 60 ans du traité de l’Antarctique, la Ville de Besançon met actuellement en lumière deux clichés de l’exposition « La Banquise Sens Dessus Dessous », réalisés par le plongeur professionnel et biologiste marin Laurent Ballesta et le photographe animalier Vincent Munier. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la première saison culturelle et éducative nationale consacrée aux mondes de l’Antarctique et de l’Arctique « 2021 l’Été polaire », qui  célèbre la richesse et les enjeux des mondes polaires.

Signé en 1959 par 12 pays (la France, l’Argentine, l’Australie, la Belgique, le Chili, le Japon, la Nouvelle-Zélande, la Norvège, l’Union sud-africaine, l’URSS, le Royaume-Uni et les USA), puis rejoints par 42 autres États, le Traité sur l’Antarctique dispose que le « continent blanc » est réservé exclusivement aux activités pacifiques et scientifiques, dans le respect de l’environnement.

Deux clichés à Besançon

A Besançon, les deux réalisations proposées, issues d’une série de 52 photographies de grands formats qui habillent les façades des hôtels de ville de 26 grandes agglomérations jusqu’au 10 octobre, sont à découvrir sur la façade de la Mairie au 2 Rue Mégevand.

Pour Anne VIGNOT, « L’Antarctique, c’est ce continent unique, préservé de l’implantation directe de l’homme, mais impacté par le réchauffement climatique et les pollutions qui se produisent depuis les autres continents (…). Aujourd’hui, la communauté internationale doit répondre au défi de respecter les engagements pris lors de la COP21 à Paris. La planète entière est impactée par les changements climatiques et la 6e extinction des espèces ».