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En raison de l’absence de personnel sur les lignes périurbaines, la société kéolis  indique que les horaires des lignes 66, Diabolo 323 et 324 sont adaptés. Pour obtenir de plus amples informations www.ginko.voyage ou l’Appli Ginko Mobilités.  

Trois nouveaux parkings de covoiturage viennent d’être aménagés sur les communes de Chemaudin-et-Vaux, Marchaux-Chaudefontaine et Miserey-Salines. Chaque parking a une capacité de 49 places (47 à Chemaudin-et-Vaux), dont une place réservée aux personnes à mobilité réduite. Il comporte également un abri et un banc pour plus de confort. Réalisées sous maîtrise d’ouvrage Grand Besançon Métropole, ces trois infrastructures sont financées par APRR dans le cadre de son plan d’investissement autoroutier 2018-2022. La communauté urbaine du Grand Besançon en assure l’exploitation et l’entretien.

Ces trois infrastructures complètent l’offre existante sur le territoire du Grand Besançon. L’aire de Morre-La Vèze va s’étendre, passant de 34 places à une capacité de 49 places avant la fin de l’année, en raison d'une forte demande. A cela s’ajoute le parking de covoiturage de la rue de Vesoul à Besançon et celui du pôle d’échanges multimodal de Saint-Vit.

Début 2023, de nouvelles infrastructures sont prévues : une aire de covoiturage route de Franois sur le parking de l’Institut de formation des professions de santé (IFPS) et un parking de covoiturage sur la RN 83 à proximité des communes de Busy et de Larnod. Un autre verra le jour à l’occasion de la réalisation du pôle d’échanges multimodal en projet à Saône (2024)

La santé est un véritable enjeu. Dans le Grand Besançon, comme ailleurs, l’offre de santé tend à se réduire. Le nombre de spécialistes s’inscrit à la baisse et la courbe de la moyenne d’âge  des médecins généralistes est vieillissante et ces derniers éprouvent des difficultés à transmettre leur cabinet. D’où l’importance de se questionner sur l’avenir médical du territoire et de s’interroger sur l’accès aux soins de la population. Actuellement sur Besançon, selon une récente étude réalisée par le Centre Communal d’Action Sociale de la ville, 17% des usagers de la sécurité sociale n’ont pas de médecin traitant.

Ainsi, ce mardi soir, se tiendra, au Grand Kursaal, le 1er forum santé de Besançon et du Grand Besançon.  Autour d’ateliers participatifs, les élus des communes du Grand Besançon, des professionnels de santé et médico-sociaux du secteur et des étudiants en santé pourront échanger sur cette thématique ambitieuse, mais tellement importante. L’objectif étant d’être le plus concret possible et d’enclencher une nouvelle dynamique autour du contrat local de santé et de la Communauté Professionnelle Territoriale de Santé.

Un projet de santé

Ce travail et cette réflexion collective viendront sans doute enrichir le projet de santé que devra rendre dans les prochains mois la Communauté Professionnelle Territoriale de Santé. Les élus ont conscience que cette démarche est primordiale et que ce maillage ne peut s’organiser qu’en associant et impliquant l’ensemble des acteurs, des organismes et des associations concernés.

L'interview de la rédaction / Gilles Spicher, adjlint à la Maire de Besançon à la santé.

Le Sybert nous indique qu’en raison de travaux, qui doivent être réalisés suite à des dégradations, la déchetterie de Thoraise, dans le Grand Besançon,  fermera ses portes à compter du 7 novembre, et jusqu’au 2 janvier prochain, date de réouverture prévisionnelle. Il s’agit de sécuriser le site. Une nouvelle couche de béton sera coulée sous les bennes, ce qui nécessitera une trentaine de jours pour un séchage complet. Tous les usagers détenteurs d’un badge peuvent se rendre dans les 15 autres déchetteries situées sur le territoire du Sybert.

Les élus de la Communauté de Communes de Grand Besançon Métropole se réunissent ce lundi, en fin d’après-midi, pour un nouveau conseil communautaire. Parmi les dossiers abordés : le budget 2022 et la décision modificative N°2, la réalisation de nouvelles voies cyclables sur le territoire bisontin, et notamment sur l’axe cyclable est, le rapport 2021 des lignes périurbaines du réseau Ginko et le projet de reconstruction de la station d’épuration de Mamirolle ; avec la signature d’une convention de subvention avec le Conseil Régional.

Grand Besançon Métropole poursuit son travail de mise aux normes des stations d’épuration de son territoire et leurs installations. L’objectif étant de traiter efficacement  les eaux usées, rejoignant la source d’Arcier, qui alimente en eau potable la Ville de Besançon.  

Cet investissement s’inscrit plus globalement dans un ensemble d’opérations touchant le Plateau. Certaines sont déjà achevées, comme la réalisation des travaux de mise en séparatif des eaux pluviales de Mamirolle, le renvoi des effluents de la Vèze et de Morre vers la station d’épuration de Port-Douvot à Besançon ou encore la mise aux normes de la station d’épuration de Saône. D’autres restent à venir comme le renvoi des effluents de Montfaucon, puis ceux de Gennes et de Saône, la reprise des réseaux d’eaux usées et d’eaux pluviales de Saône et enfin, la refonte des stations d’épuration de Fontain et de Pugey.

La mise aux normes de la station de Mamirolle

Elle va être conduite en deux phases, dont une partie de redimensionnement complet des installations, prévue jusqu’à fin 2024. En parallèle de ce chantier, dont le montant est estimé à 2,7 millions d’euros, l’ENIL de Mamirolle, l’Ecole Nationale d’Industrie Laitière,  va devoir se doter d’un prétraitement pour gérer ses effluents, qui seront ensuite pris en compte dans le réseau d’assainissement de Grand Besançon Métropole. 450.000 euros seront investis par l’établissement.

Gérer les infrastructures

Les coûts de l’énergie inquiètent l’élu bisontin Christophe Lime. « Pas question de mettre en pause les installations pour faire des économies Â». Le coût de l’électricité impacte considérablement les finances publiques. La facture pourra s’élever à 5,7 millions d’euros en 2023. Un triste nouveau record. Pour faire face à cette situation, les prix de l’eau et de l’assainissement pourraient augmenter.

 

Grand Besançon Métropole va se doter d’un nouveau parking de co-voiturage. Il sera aménagé sur un délaissé de domaine public, proche du giratoire situé sur la RN 83, sur les communes de Busy et Larnod. Comme le rappelle Yves Guyen, vice-président délégué à la voirie, aux infrastructures et réseaux opérationnels, « l’entrée Sud du Grand Besançon était dépourvue d’une telle infrastructure Â». Et de poursuivre : « De nombreux automobilistes garent leurs véhicules sur le bord de la départementale 104, en direction de Pugey, à la sortie du giratoire. Ce qui est dangereux Â».  40 places sont prévues. Le coût de l’opération est estimé à 200.000 HT. Les aménagements seront réalisés début 2023.

Cinq parkings de co-voiturage

Depuis 2021, cinq parkings de co-voiturage ont été réalisés sur le territoire du Grand Besançon. Ils ont vu le jour à la Vèze, Miserey-Salines, Chemaudin-et-Vaux, Marchaux-Chaudefontaine et rue de Vesoul à Besançon. Ils proposent ainsi plus de 200 places, réparties aux entrées Ouest, Nord et Est du territoire. D’autres initiatives identiques, inscrites dans le cadre d’un plan multimodal, verront le jour à Saint-Vit, Saône, Devecey, Roche-lez-Beaupré, … .

L'interview de la rédaction / Yves Guyen

 

Les élus de Grand Besançon Métropole se réuniront ce lundi soir pour un nouveau conseil communautaire. Le budget et la décision modificative N°2 seront à l’ordre du jour.

Le sujet n’est désormais plus tabou. Si la collectivité locale ne parvient pas à faire les économies nécessaires pour équilibrer son budget 2023, la hausse de l’impôt sera une des pistes qu’elle ne pourra écarter. Christophe Lime, le Vice-président délégué à la gestion de l’eau potable et des eaux pluviales, et Gabriel Baulieu, le 1er Vice-président de Grand Besançon Métropole,  ne le cachent plus.

Pour l’heure, Grand Besançon Métropole espère pouvoir bénéficier du bouclier tarifaire. La collectivité  l’a fait savoir à l’Etat. Ce qui lui permettrait de maîtriser ses dépenses énergétiques et ses coûts de fonctionnement. Selon les estimations actuelles, la facture énergétique pourrait atteindre 5 millions d’euros en 2023, hors transports, eau, assainissement et déchets. C’est plus du double qu’en 2022. « Si cela n’est pas possible, nous n’aurons pas d’alternatives que de trouver des solutions. Cela renvoie forcément à des considérations touchant à la fiscalité Â» explique M. Baulieu.

La réaffectation des crédits

Aucune décision n’a été prise. Les élus réfléchissent à toutes les solutions possibles. Des réponses définitives devront être apportées d’ici le 1er janvier prochain. En ce début d’automne, pour terminer cette année 2022, une réaffectation des crédits de fonctionnement a été opérée pour faire face aux charges supplémentaires qui apparaissent dans les services les plus consommateurs d’énergie ( déchets, eau et assainissement).

L'interview de la rédaction / Gabriel Baulieu

Ce vendredi 30 septembre, Grand Besançon Métropole, en partenariat avec de nombreux partenaires et le Conseil Départemental du Doubs, organise l’opération « Cap vers l’emploi Â» à Micropolis de 9h à 17h. Il s’agit de la deuxième édition de cet évènement.

A travers ce rendez-vous, les organisateurs veulent simplifier les contacts entre les employeurs et les personnes à la recherche d’un emploi. Dans un contexte socioéconomique particulier, avec un taux de chômage très faible sur le bassin d’emploi de Besançon (5,8%, inférieur à la moyenne nationale (7,4%)), le public ciblé semble être davantage en difficulté et beaucoup plus éloigné de l’emploi que les années précédentes. C’est la raison pour laquelle les structures sont à ses côtés pour l’accompagner au mieux.  Les freins à l’emploi sont multiples  et chacun doit faire un pas vers l’autre pour trouver des solutions et faciliter l’intégration. Le salaire, une juste répartition des richesses, les conditions de travail, les déplacements et les coûts qui y sont liés, s’adapter aux besoins et aux attentes de la nouvelle génération … font partie des freins que les employeurs et les entreprises doivent être en capacité de lever pour faciliter aussi leur recrutement.

1.400 offres d’emploi proposées

Les chiffres sont éloquents. L’édition 2022 du Salon Cap vers l’emploi accueillera plus de 150 exposants, issus de très nombreux domaines d’activité : l’aide à la personne, la vente, le BTP, la santé, … . . 1.400 offres seront proposées. Un espace d’accueil, de conseil, d’orientation et de préparation aux entretiens avec les employeurs sera mis en place. Précisons qu’en amont de cet évènement, des ateliers de préparation à l’embauche se sont tenus au sein de différentes structures.

L'interview de la rédaction / Nicolas Bodin, vice président à l'économie, au commerce, à l'artisanat et à l'insertion à Grand Besançon Métropôle

« Livres dans la Boucle Â», l’évènement littéraire du Grand Besançon Métropole, n’a pas manqué son rendez-vous avec les Francs-Comtois. En cette rentrée littéraire, et pour cette septième édition, 32.000 visiteurs ont participé à cet évènement, organisé sur trois jours au centre-ville de Besançon. 11.000 livres ont été vendus. Soit un chiffre d’affaires en augmentation de 38% par rapport au précédent rendez-vous.