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Le bâtiment emblématique de la City, cœur administratif de Grand Besançon Métropole (GBM), va faire peau neuve. Une réhabilitation ambitieuse du bâtiment principal de la rue Gabriel Plançon (BB3) débutera en janvier 2027, avec une livraison prévue pour 2029. Ce projet marque une étape importante dans la redéfinition du siège communautaire et répond à des impératifs environnementaux, fonctionnels et identitaires. Dès 2029, le bâtiment contigu, appelé BB1, sera également rénové. Les élus communautaires ont privilégié une réhabilitation, plutôt qu’une reconstruction.

L'interview de la rédaction : L'élu grand bisontin Anthony Nappez

Un chantier à 14,5 millions d’euros TTC

Porté par GBM, ce vaste projet représente un investissement total estimé à 14,5 millions d’euros TTC, intégrant les frais d’études, de maîtrise d’œuvre et de construction. L’équipe d’architectes lauréate, dont le nom sera dévoilé après validation en conseil communautaire ce jeudi, a été retenue à l’unanimité parmi 12 candidatures, à l’issue d’un concours supervisé par un jury comprenant notamment l’architecte concepteur initial de la City.

Un bâtiment hors normes devenu symbole de transition

Livré en 1996, et d’une superficie de 5.800 m2, le bâtiment BB3 ne répond plus aux exigences thermiques et environnementales actuelles. Par ailleurs, la collectivité s’est engagée à respecter les objectifs du décret tertiaire, imposant une réduction de 60 % des consommations énergétiques d’ici 2050. L’enjeu est double : assurer la performance énergétique du bâtiment, tout en affirmant plus visiblement l’ancrage du siège de GBM sur le site de la City.

L'interview de la rédaction : L'élu grand bisontin Anthony Nappez

Confort et usages repensés

Le projet mise sur une réorganisation complète des espaces de travail, en phase avec les nouvelles pratiques professionnelles : zones de travail collaboratif, espaces de réunion informelle, lieux de détente, mais aussi des bureaux adaptés pour les élus et la gouvernance de GBM. Le rez-de-chaussée, totalement repensé, accueillera la nouvelle entrée principale de GBM, un hall vitré lumineux, une salle de conseil communautaire de 200 places en amphithéâtre et des espaces d’attente, de coworking et de réunion. Il offrira également une communication directe avec le futur réaménagement du BB1.

Innovation et développement durable au cœur du projet

Outre le raccordement au réseau de chaleur urbain en cours de déploiement depuis le quartier de La Grette, le bâtiment sera équipé de vitrages électrochromes, capables de moduler la lumière en fonction de l’ensoleillement. Ce dispositif de pointe, indispensable compte tenu des façades courbes, vise à assurer le confort d’été tout en limitant l’usage de climatisation. Un dispositif de réemploi de matériaux, via une matériauthèque éphémère, sera mis en œuvre dans une logique d’économie circulaire.

Des économies d’échelle à long terme

La modernisation énergétique du site permettra également de générer d’importantes économies de fonctionnement. À titre d’exemple, la seule facture électrique actuelle de la City avoisine les 300 000 € par an. Une économie d’environ 180 000 € annuels est attendue.

Et après ?

Le chantier du BB3 sera suivi, dès 2029, de la rénovation du BB1, aujourd’hui occupé partiellement par GBM. À l’horizon 2031, l’ensemble du siège devrait offrir un outil de travail performant, durable, et plus lisible dans le paysage urbain.

Un nouveau conseil communautaire est prévu ce jeudi soir. Parmi les sujets qui seront abordés, celui concernant le  Règlement Local de Publicité Intercommunal. Un document clé pour encadrer l’affichage publicitaire à l’échelle de Grand Besançon Métropole (GBM).

 Cette réflexion est menée depuis 2023. L’objectif étant d’harmoniser les 18 règlements hérités des différentes communes. La collectivité a souhaité ainsi établir un cadre cohérent et partagé, tenant compte des enjeux paysagers, environnementaux, patrimoniaux et commerciaux. « Depuis 2019, l’agglomération est compétente en matière de publicité. Nous avons donc lancé une concertation large avec les élus concernés, les afficheurs, les associations environnementales et les professionnels du secteur », a expliqué Aurélien Laroppe, vice-président à Grand Besançon Métropole, en charge de ce dossier. Aujourd’hui, sur les 69 communes que compte Grand Besançon Métropole, 49 ont souhaité transmettre ce dossier à GBM.

L'interview de la rédaction : l'élu Grand bisontin Aurélien Laroppe

Cinq zones, deux logiques

Le document  repose sur un zonage à cinq niveaux, allant du plus contraint au plus permissif.

Zone 1 : les centres historiques, comme la Boucle ou Battant, où seules les publicités inférieures à 2 m² seront autorisées, uniquement sur du mobilier urbain type abribus.

Zone 2 : les quartiers résidentiels, également soumis à de fortes restrictions.

Zone 3 : les espaces naturels, où la publicité est quasiment proscrite.

Zone 4 : les grands axes d’entrée de ville (rue de Vesoul, rue de Dole…), avec un format publicitaire autorisé jusqu’à 4,7 m².

Zone 5 : les zones d’activités et commerciales, où la publicité pourra atteindre le maximum légal de 10,5 m², dans des formats standard.

« Il s’agit de concilier visibilité pour les annonceurs et qualité du cadre de vie pour les habitants », a souligné M. Laroppe.

L'interview de la rédaction : l'élu Grand bisontin Aurélien Laroppe

Une écoute des acteurs du territoire

Les professionnels du secteur — notamment les enseignistes et commerçants — ont été associés à la démarche. Les discussions ont notamment porté sur les enseignes commerciales, souvent plus sensibles pour les commerçants que l'affichage urbain classique. Des ajustements ont été intégrés au projet de règlement pour tenir compte des contraintes techniques et esthétiques. C’est la raison pour laquelle, si la réflexion est approuvée demain soir, elle laissera deux ans aux entreprises disposant de panneaux publicitaires pour se mettre aux normes. Les commerçants auront six ans pour prendre les dispositions nécessaires.

L'interview de la rédaction : l'élu Grand bisontin Aurélien Laroppe

Depuis quelques jours, Grand Besançon Métropole déploie un service de vélos en libre-service comprenant 100 vélos mécaniques et 100 vélos électriques. Concrètement, la collectivité investit plus de 450.000 euros dans ce déploiement. Soit 700.000 euros par an pour le développement des vélos en libre-service. Par ailleurs, depuis 2020, elle a triplé son budget pour la création d’itinéraires cyclables, le portant à 3 millions d’euros par an. Ainsi, le territoire  dispose de 32 stations au total et un parcours de 402 kilomètres, dont 204 pour la seule ville de Besançon.

L'interview de la rédaction : Anne Vignot, présidente de Grand Besançon Métropole

Favoriser la mobilité douce et active

L’objectif principal est d’offrir une alternative viable à la voiture, notamment pour les trajets courts. Le vélo électrique élargit l’accès à la mobilité, permettant même aux seniors de renouer avec le plaisir du vélo. Grand Besançon Métropole fait  du vélo « un véritable levier pour répondre aux défis climatiques, énergétiques, économiques et de santé publique Â».

VELO ELECTRIQUE

Un service pensé pour les étudiants et les sportifs

Trois nouvelles zones sont aménagées, notamment en direction du Campus de la Bouloie, pour répondre aux attentes des étudiants. Ainsi, ces espaces ont vu le jour à hauteur du stade Léo Lagrange, de l’IUT et du Crous. Une station a été renforcée au niveau du pôle sport, avec une ambition à terme d’équiper tous les sites sportifs et culturels de la ville.

Une offre économique et accessible

L’abonnement permet de bénéficier d’une première demi-heure gratuite, puis 0,50 € pour un vélo mécanique et 1 € pour un vélo électrique. Une tarification qui encourage aussi bien les déplacements quotidiens que les balades occasionnelles. Le montant annuel a été fixé à 24 euros pour les abonnements dédiés aux vélos mécaniques et à 48 euros pour les abonnements réservés aux vélos à assistance mécanique.

L'interview de la rédaction : Anne Vignot, présidente de Grand Besançon Métropole

Un service déjà plébiscité

Dès les premiers jours de mise en place, les vélos ont rencontré un franc succès, avec une forte demande qui témoigne de l’intérêt des habitants pour ce mode de déplacement. Une initiative qui pourrait se développer davantage pour répondre aux besoins croissants d’une mobilité urbaine plus durable. Entre 2023 et 2024, les locations ont progressé de plus de 43%. Soit une augmentation de plus de 167.600 locations en 2023 à plus de 240.600 locations en 2024.

En raison de travaux sur le réseau d’eau potable, Grand Besançon Métropole est contraint de couper l’alimentation en eau de la commune de Marchaux-Chaudefontaine, secteur Chaudefontaine.  Cette coupure interviendra le mardi 20 mai prochain, de 9h à 12h.

En raison des jours fériés du 1er et 8 mai, les tournées de collecte des déchets ménagers seront décalées dans l'agglomération de Grand Besançon Métropole.

Semaine du 28 avril au 3 mai
• Les collectes prévues le jeudi 1er mai sont reportées au vendredi 2 mai
• Les collectes prévues le vendredi 2 mai sont reportées au samedi 3 mai

Semaine du 5 au 10 mai
• Les collectes prévues le jeudi 8 mai sont reportées au vendredi 9 mai
• Les collectes prévues le vendredi 9 mai sont reportées au samedi 10 mai

À noter : L’horaire de passage peut varier. Les bacs doivent être présentés dès 4h30 le jour de la collecte.
Le calendrier complet est disponible sur www.grandbesancon.fr, rubrique Déchets – Calendriers de collecte.

Grand Besançon Métropole (GBM) s'est illustrée lors des premiers Trophées de l’Accessibilité, organisés à l’occasion du 20e anniversaire de la loi « Handicap » de 2005. Grâce à son engagement en faveur des mobilités inclusives, la collectivité  a remporté le premier prix dans la catégorie « Mobilités, numérique et information voyageurs » avec son application novatrice, « Ginko Guide ».

Une victoire pour l’innovation locale

Ce prix, décerné le 3 avril à Paris, met en lumière le dynamisme et la vision de GBM dans l’accompagnement des personnes en situation de handicap. « Ginko Guide », développée spécifiquement pour les personnes déficientes visuelles, propose des informations en temps réel sur les déplacements, renforçant ainsi leur autonomie dans l’agglomération.

Collaboration et engagement exemplaires


Ce projet est le fruit d’un travail collectif réunissant GBM, des associations partenaires, l’exploitant KEOLIS Besançon Mobilité et le fournisseur technique EZYMOB. Ensemble, ces acteurs témoignent de la volonté de GBM d’adopter une démarche inclusive et innovante pour tous les habitants.

Pour en savoir plus sur l’application et les services proposés, consultez www.ginko.voyage ou les vidéos explicatives sur YouTube.

Pour faire face aux défis persistants du tri sélectif, Grand Besançon Métropole initie une démarche innovante. Une nouvelle expérimentation basée sur l’intelligence artificielle est en cours de déploiement pour améliorer la qualité du tri dans les bacs jaunes, dédiés aux déchets recyclables. Pour cela, la collectivité s’appuie sur les compétences du groupe SULO, « leader européen du recyclage du plastique et des solutions de gestion des déchets, avec l’appui de la technologie LIXO, dans le cadre d’un appel à projets financé par CITEO.

L'interview de la rédaction : Daniel Huot, Maire de Mamirolle et vice-président de Grand Besançon Métropole  en charge de la gestion des déchets

Un tri encore trop imparfait

Près de 30 % des déchets déposés dans les bacs jaunes ne devraient pas s’y trouver, entraînent des surcoûts importants pour la collectivité et nuisent à la valorisation des déchets. "Les déchets triés sont ensuite envoyés sur des chaînes de tri spécifiques. Lorsqu’ils sont mal triés, ces chaînes deviennent inefficaces et les matériaux perdent leur valeur de recyclage Â» explique Daniel Huot, Maire de Mamirolle et vice-président à Grand Besançon Métropole en charge des déchets; Mais l’enjeu dépasse la simple efficacité du tri. En 2024, la commune a enregistré quatre départs de feu dans des bennes, principalement dus à la présence de piles au lithium ou de métaux provoquant des étincelles. "Nous avons eu des incendies dans des zones d’habitation, comme à Planoise, mettant en danger les riverains et les agents chargés de la collecte. Ce n’est plus acceptable."

Une technologie de pointe pour analyser chaque bac

La solution ? Des camions de collecte nouvelle génération. À terme, huit véhicules seront équipés de caméras, de capteurs de pesée, d’un ordinateur de bord et d’une tablette en cabine. Ces équipements permettent au ripper (l’agent de collecte) d’analyser automatiquement le contenu de chaque bac, grâce à une intelligence artificielle qui croise données d’image, de poids et d’identification du bac. "Lorsqu’un bac est suspect, il peut être bloqué avant d’être vidé. Une alerte est alors transmise au chauffeur, qui visualise la photo et décide s’il doit interrompre la collecte pour vérification", détaille l’élu. Ce système permet de concentrer l’attention des agents uniquement sur les bacs problématiques, facilitant leur travail tout en améliorant la qualité globale du tri. Si le dispositif permet aussi d’identifier les "mauvais élèves", la volonté reste avant tout pédagogique. "Il ne s’agit pas de sanctionner, mais d’éduquer. Avant tout contact avec un usager, une vérification manuelle des images sera faite pour éviter les erreurs. L’objectif est d'accompagner les habitants vers de meilleures pratiques."

L'interview de la rédaction : Didier Cambé, ingenieur chez Sulo Group

Une phase de test avant généralisation

Pour l’instant, la démarche reste en phase expérimentale. L’enjeu est de comprendre le comportement des usagers et de tester la fiabilité de l’outil sur une base de plus de 4000 bacs collectés chaque jour sur le territoire. "C’est une masse de données telle que seul un traitement par intelligence artificielle peut permettre une analyse pertinente. C’est une véritable révolution dans notre manière de gérer les déchets." Avec ce projet, Grand Besançon Métropole s’inscrit dans une démarche exemplaire et résolument tournée vers l’avenir, où technologie rime avec écologie, sécurité et pédagogie.

Hier soir, les élus de Grand Besançon Métropole ont voté plusieurs mesures sociales liées à l’usage des transports urbains sur le territoire bisontin. Il a ainsi été décidé de la gratuité des transports en commun le samedi. La gratuité pour les moins de 15 ans et un pass mensuel à 2 euros pour les bénéficiaires des minimas sociaux ont également été actés. L’élu Anthony Poulin y voit « plus d’équité, de justice sociale et un soutien concret aux familles et aux commerces du centre-ville Â». Ces mesures entreront en vigueur le 1er juillet prochain.

Alors qu’un projet de crématorium est acté à Levier, dans le Haut-Doubs, et Vesoul, en Haute-Saône, les élus de Grand Besançon Métropole devraient voter  ce jeudi soir,  les travaux d’extension du crématorium d’Avanne-Aveney, pour un montant de plus d’un million d’euros. On vient de toute la région pour bénéficier de ce service. Alors que l’équipement de crémation, le four, sera remplacé par le délégataire actuelle, les Pompes Funèbres Générales, pour un montant de 634.500 euros, Grand Besançon Métropole va financer les travaux d’extension et de rénovation de l’établissement.

L'interview de la rédaction : Anthony Nappez, élu en charge des cimetières, des bâtiments et des réseaux de chaleur

Ce projet consiste à doubler la superficie de la salle de cérémonie, qui proposera 130 places, à créer un bureau d’accueil pour le personnel, une salle de convivialité annexe (50 m2), la couverture des extérieurs et la retransmission des cérémonies sur les différents sites créés ou aménagés. Par ailleurs, un accès technique plus adapté aux process quotidiens est prévu. Les travaux pourraient débuter en janvier 2026, pour se terminer en octobre 2026. Afin d’amortir ces investissements, il sera proposé au conseil communautaire de prolonger la délégation de service public d’Avanne-Aveney de 6 ans (2028 – 2034).

Des besoins grandissants

Les élus ont constaté un changement dans les pratiques funéraires. L’augmentation de la demande pour les crémations est bien réelle. Pour les élus de Grand Besançon Métropole, ces investissements se justifient aisément.  Les délais d’attente pour les familles, pouvant aller jusqu’à 10 jours, sont intolérables. Tout comme, l’accueil de ces dernières.

Tension dans les cimetières

L'interview de la rédaction : Anthony Nappez, élu en charge des cimetières, des bâtiments et des réseaux de chaleur

En parallèle de ces travaux, Grand Besançon Métropole mène une réflexion sur l’occupation des cimetières, où la consommation foncière doit être reconsidérée. Une réflexion est actuellement menée. Dans un premier temps, la ville de Besançon va procéder à une extension de 2 hectares du cimetière Saint-Claude, avec la création d’un carré musulman. Par ailleurs, la création d’un ou plusieurs cimetières intercommunaux, pas forcément à Besançon, dédiés aux habitants de l’agglomération, est envisagée.

 

Depuis une quinzaine d’années, Grand Besançon Métropole s’est doté de la compétence insertion. Dans un contexte économique compliqué, où le taux de chômage se détériore également sur le territoire du Grand Besançon, jusque-là préservé, la collectivité veut répondre présent. Il en va de la « justice sociale Â». Les prochains chiffres de 2025 devraient confirmer cette tendance. A l’image d’Oerlikon, à Mamirolle, ou des enseignes comme Gifi et C&A, à Besançon,  des plans sociaux sont annoncés.

L'interview de la rédaction : Nicolas Baudin, le 2è Vice-président de GBM, en charge de l’économie, de l’emploi et de l’insertion.

Grand Besançon veut jouer un rôle dans le domaine de l’emploi sur son territoire d’action. La collectivité, qui tisse des liens permanents avec le monde de l’entreprise, se présente comme « un facilitateur entre les recruteurs et les futurs salariés Â». Elle mène également une stratégie en direction des populations les plus éloignées de l’emploi. L’objectif étant d’accompagner les habitants et les entreprises et de créer les synergies nécessaires pour ne pas fragiliser la capacité des entreprises à répondre aux demandes du marché.

L'interview de la rédaction : Nicolas Baudin, le 2è Vice-président de GBM, en charge de l’économie, de l’emploi et de l’insertion.

Des secteurs en difficulté

Les décisions américaines récentes entraînent une augmentation immédiate de 20% des coûts pour certaines entreprises locales. La construction, la sous-traitance automobile, l’horlogerie, le luxe d’entrée et de gamme intermédiaire et la santé font partie des activités traditionnelles du territoire les plus impactées. En parallèle, le secteur de la défense montre des besoins croissants, pour lesquels les entreprises du territoire doivent être en capacité de répondre. La diversification de ces dernières fait partie des grands enjeux du moment, qui leur permettront d’écarter les risques liés à une dépendance excessive, comme peut la connaître les firmes liées à l’automobile.

L'interview de la rédaction : Nicolas Baudin, le 2è Vice-président de GBM, en charge de l’économie, de l’emploi et de l’insertion.