Grand Besançon Métropole indique, qu’en raison de ce vendredi 1er novembre, férié, les collectes de déchets ménagers, habituellement prévues les vendredis, sont reportées au samedi 2 novembre. Par ailleurs, en raison du 11 novembre, les tournées, qui devenaient tenir du 11 au 16 novembre, sont décalées d’un jour.
Les collectes habituellement prévues le lundi sont reportées au mardi 12 novembre
Les collectes habituellement prévues le mardi sont reportées au mercredi 13 novembre
Les collectes habituellement prévues le mercredi sont reportées au jeudi 14 novembre
Les collectes habituellement prévues le jeudi sont reportées au vendredi 15 novembre
Les collectes habituellement prévues le vendredi sont reportées au samedi 16 novembre
Le calendrier des collectes est disponible sur le site www.grandbesancon.fr - Rubrique Déchets, les calendriers de collecte.
25.000 étudiants sont inscrits à l’université de Franche-Comté à Besançon. Soit 21% des habitants de la ville de Besançon et 12% de la population de Grand Besançon Métropole. Environ 40% d’entre eux sont boursiers. Les étudiants bisontins, comme leurs camarades d’autres territoires, souffrent. La précarité est bien réelle et beaucoup de jeunes, sur le territoire bisontin également, choisissent de ne pas poursuivre leurs études, au-delà de leur première années de licence, faute de ressources.
Dans le Grand Besançon, Sébastien Coudry est l’élu en charge de la vie étudiante. La politique qu’il mène a pour objectif de proposer un territoire de vie et d’études dans lequel les jeunes peuvent s’épanouir, se former et vivre le plus décemment possible. Dans cet objectif, Grand Besançon Métropole a soutenu et soutient plusieurs projets. Elle a participé financièrement au (Li)ve, le lieu de vie étudiants à la Bouloie, a contribué à la naissance d’une ressourcerie et d’une épicerie sociale étudiante ou encore a développé une politique tarifaire plus abordable concernant les transports urbains, ….
L'interview de la rédaction : Sébastien Coudry, l’élu en charge de la vie étudiante.
Appel à projets
Dans le cadre de son budget spécifique, Grand Besançon Métropole lance cette année trois appels à projet. L’objectif est de permettre aux institutions et aux associations de proposer des initiatives, répondant à différents enjeux. Tels que la lutte contre la précarité, la transition écologique ou la lutte contre les discriminations. Les personnes intéressées ne doivent pas hésiter à contacter Grand Besançon Métropole ou le CROUS Bourgogne Franche-Comté.
L'interview de la rédaction : Sébastien Coudry, l’élu en charge de la vie étudiante.
18 millions d’euros, c’est le montant qu’investit Grand Besançon Métropole (GBM), d’ici 2027, sur ses trois campus, aux côtés de ses partenaires, pour développer et renforcer les capacités de formation supérieure et de recherche du territoire. Cet argent consenti fait l’unanimité au sein des représentants des 68 communes de la collectivité. Sur les 19 opérations menées depuis 2018, neuf sont directement portées en maîtrise d’ouvrage par GBM. Cet argent permet de redonner un nouveau souffle et un éclat indispensables à ces structures vieillissantes et ces environnements vétustes. Grâce à ce soutien des élus, une nouveau école d’ingénieurs a été construite. Une nouvelle filière de formation en odontologie a pu voir le jour. Le grand bâtiment Métrologie de la fac des sciences et la serre du jardin des sciences ont été rénovés. Les initiatives sont nombreuses et dénotent cette volonté politique en la matière. Grâce à cette transformation, les élus et leurs partenaires entendent inscrire durablement les campus bisontins dans l’avenir et donner les moyens aux étudiants, aux chercheurs, aux enseignants et au monde économique de réussir leurs entreprises et de rivaliser dans leurs domaines de prédilection. Des investissements qui paient, puisque deux écoles de renom ont d’ores et déjà annoncé leur souhait de venir s’installer à Besançon.
L'interview de la rédaction : Benoît Vuillemin, Vice-président de Grand Besançon, en charge de l'enseignement supérieur et de la recherche.
Un Schéma Local Enseignement Supérieur-Recherche-Innovation
A ce jour, 53% des opérations prévues sur le site Bouloie-Temis ont été livrées. L’intégralité du chantier devrait être finalisé en 2027. 50% des travaux ont été réalisés aux Hauts-du-Chazal, 100% en 2027. La construction de la grande bibliothèque universitaire et intercommunale est également dans les cartons. En parallèle, Grand Besançon Métropole s’engage dans un Schéma Local Enseignement Supérieur-Recherche-Innovation (SLESRI). L’objectif est de préparer l’avenir, en définissant, en concertation avec les partenaires, les grandes priorités communes, les pistes d’actions et de collaborations pour renforcer l’attractivité et la visibilité du territoire.
Une nouvelle intervention héliportée d’envergure est programmée ce lundi 14 octobre au pied de la Citadelle, côté Rivotte, et le long de la côte de Morre, à Besançon. Cette opération se déroule dans le cadre des travaux de sécurisation des falaises, diligentée par Grand Besançon Métropole. Le chantier est prévu sur une demi-journée. Il s’agit d’installer un écran de protection d’une longueur de 120 mètres, et d’une hauteur de 6 mètres, capable de retenir un rocher de 7,5 tonnes, lancé à la vitesse de 100 km/heure.
Ce jeudi soir, les élus de Grand Besançon Métropole vont se pencher sur l’adoption du prochain Plan Climat Air Énergie Territorial 2024/2029. Il s’agit du 3è plan mis en place par la collectivité locale . Le 1er est apparu en 2007. L’objectif est de diminuer la consommation d’énergie et « devenir un territoire à énergie positive d’ici 2050 ». La collectivité juge ses ambitions « raisonnables et atteignables ».
L'interview de la rédaction : Lorine Gagliolo
Un programme de 40 actions
Le projet validé en 2019 a été repris, actualisé et complété. 40 actions seront déclinées pour atteindre les objectifs précités. Parmi les initiatives prévues : le réseau de chaleur de Planoise, la création d’unités de méthanisation, l’éolien ou encore la végétalisation de l’espace public et la réhabilitation des locaux de la city. Pour Lorine Gagliolo, la Vice-présidente déléguée en charge du développement durable, de l’énergie et de l’environnement, tous les secteurs et les projets de la collectivité doivent répondre à ces engagements et les prendre en considération pour leur développement.
L'interview de la rédaction : Lorine Gagliolo
Les bâtiments de la City vont faire l’objet d’une restructuration et d’une rénovation énergétique à Besançon. Ce chantier répond, tout d’abord, à une obligation, correspondant au décret tertiaire, qui impose à la collectivité une baisse des consommations des bâtiments, dont elle est propriétaire, d’au moins 40% avant 2030. Mais le élus souhaitent également apporter un confort de travail aux agents. Trois immeubles, occupés par la collectivité, sont concernés. En novembre prochain, le concours de Maîtrise d’œuvre, concernant le bâtiment de 5.800 m2 (2 rue Plançon), géré en monopropriété, sera lancé. Les travaux devraient débuter au cours du 3è trimestres 2026, pour une fin au 2è trimestre 2028. Le coût de ce chantier s’élève à 14,5 millions d’euros. La fin de l’intervention complète, englobant les trois sites, est prévue en 2030.
L'interview de la rédaction : Anthony Nappez, conseiller communautaire délégué aux bâtiments durable, à l’énergie et à l’environnement
La nature des travaux
Le chantier prévoit le remplacement des façades en mur rideau, la pose de protections solaires et de panneaux solaires en toiture, l’installation d’éclairage artificiel et l’extension du réseau de chauffage urbain, actuellement en construction. Les circulations seront également retravaillées pour plus de fonctionnalité entre les bâtiments. C’est la raison pour laquelle la collectivité travaille également sur l’acquisition complète du lot du 4 rue Plançon
L'interview de la rédaction : Anthony Nappez, conseiller communautaire délégué aux bâtiments durable, à l’énergie et à l’environnement
Ce mardi matin, les élus de Besançon et Grand Besançon Métropole et Patrice Hennequin, le président de l’Office de Tourisme et des Congrès du Grand Besançon, ont dressé le bilan de l’activité touristique sur le territoire du Grand Besançon. Les estivants ont répondu présent durant ces mois de juillet et aout. Des chiffres qui sont loin d’être clos, puisque l’arrière-saison, jusqu’aux vacances de la Toussaint, est toujours très intéressante en termes de fréquentation. Alors qu’une très grande partie des territoires français ont souffert des caprices de Dame météo durant les 15 premiers jours de juillet, le territoire bisontin a sorti son épingle du jeu. Pour Anne Vignot, maire de Besançon et présidente de Grand Métropole, plusieurs raisons expliquent cette situation favorable : la diversité de l’offre, qui s’adapte aux aléas climatiques, la richesse culturelle et patrimoniale de la ville de Besançon, la capacité des différents acteurs locaux à travailler ensemble et l’accueil mis en place dans les structures. Anne Vignot est au micro de la rédaction
Un fort soutien financier
Depuis le début de la nouvelle mandature, ce sont 40 millions d’euros qui ont été apportés collégialement par la Ville de Besançon et Grand Besançon Métropole pour le développement, tant au niveau de l’investissement que du fonctionnement. Des moyens financiers conséquents qui ont permis de développer et réhabiliter certains sites et structures. Par exemple, ce sont 3,4 millions d’euros qui ont bénéficié aux musées bisontins. Plus de 10 millions ont été alloués au musée de la Résistance et de la Déportation. Sans oublier, les soutiens financiers pour l’amélioration des circuits pédestres et VTT ( 8,5 millions) ou la base nautique d’Osselle.
L'interview de la rédaction : Anne Vignot
Des sites remarquables moteurs
Cette belle fréquentation s’explique notamment pour la notoriété des sites et monuments qui animent la cité comtoise. Sans omettre, leur capacité à se renouveler et innover. La Citadelle et ses animations nocturnes en sont la preuve. Cet été, le site de Vauban, aidé également par l’exposition sur le Petit Prince, « Dessine-moi ta planète », qui a obtenu les faveurs de la presse nationale, a accueilli plus de 176.000 visiteurs. Depuis le début de l’année 222.000 entrées ont été enregistrées. Parmi les autres succès estivaux : la base d’Osselle (40.000 entrées), le camping de Chalezeule (18.954 nuitées de mai à fin août.) et les Musées des Beaux-Arts (+29% de fréquentation) et du Temps (+0,5%). Le Musée des Maisons Comtoises de Nancray, la Maison Victor Hugo (-3,3%) et le FRAC affichent une fréquentation en baisse.
L'interview de la rédaction : Patrice Hennequin
Notoriété et hébergement
Les haltes fluviales et les Mardis des Rives ont également connu leurs heures de gloire. Les deux collectivités locales et l’Office de Tourisme entendent bien conserver cette belle dynamique. Une réunion se tiendra prochainement avec les hébergeurs pour améliorer l’offre, et ainsi permettre aux estivants de rester plus longtemps sur le territoire. De son côté, Benoît Vuillemin, l’élu Grand Bisontin, en charge du tourisme, veut faire de Besançon « la capitale des montagnes du Jura ». Ses atouts patrimonial, culturel et environnemental devraient l’aider. Besançon est devenue un acteur incontournable du tourisme régional. Sa pluridisciplinarité, ses bonnes adresses culinaires, sa verdure et son architecture sont autant d’avantages qui assiéront cette notoriété naissante.
Ce week-end, et notamment le dimanche 8 septembre, le territoire du Grand Besançon célèbre les 80 ans de sa libération. Pendant quatre jours, les troupes alliés, les unités américaines et les Forces Françaises de l’Intérieur ont combattu. Des affrontements ont eu lieu de Larnod à Avanne, de Chateaufarine à Saint-Claude et Chaudanne, de Palente au Point du Jour, jusque dans la Boucle, comme aux abords de la Citadelle. Parce qu’il ne faut pas oublier, parce que la guerre menace l’Europe et le Monde et parce que chaque jour, l’antisémitisme, la haine et le racisme gangrènent le globe, les élus bisontins et grands bisontins ont voulu marquer cet évènement. « Quand on est ensemble, on gagne » a rappelé Anne Vignot.
A Besançon, le programme est riche et varié. Il se déroulera en présence de représentants américains. Il rendra hommage aux résistants tombés lors des combats de la Libération et aux GIs de la 3è division d’infanterie US, tombés pour la libération de la ville. Avec ses partenaires, engagés dans ce devoir de mémoire, des cérémonies commémoratives, des prestations musicales, des expositions et des parcours commentés seront proposés.
Place du 8 septembre à Besançon
L'interview de la rédaction : Jean-Yves Monin, directeur du service départemental du Doubs de l'office national des combattants et victimes de guerre.
Précisons que des temps commémoratifs sont prévus ce samedi 7 septembre à Montfaucon (16h) et Ecole-Valentin (18h) et ce dimanche à Beure (11h) et Thise (11h). A Besançon, le rendez-vous est fixé à 9h30n ce dimanche 8 septembre, sur la place du 8 septembre. Des évènements musicaux se tiendront tout au long de cette journée : à 9h45 sur la place du 8 septembre, à 11h30 au parc Micaud, à 15h dans la cour d’honneur Paulette Guinchard à Saint-Jacques, à 16h au parc des Chaprais et à 17h au Grand Kursaal. A l’occasion des 80 ans de la libération de Besançon et la 1ère année de réouverture du Musée, l’accès à la Citadelle sera gratuit et le public pourra visiter le Musée de la résistance et de la déportation et redécouvrir l’histoire de la résistante Germaine Tillion.
« De l’occupation à la Libération de Besançon »

Oriane Vatin
A l’occasion de cette date anniversaire, la Ville de Besançon met également en valeur l’ouvrage d’Oriane Vatin, baptisée « de l’occupation à la Libération de Besançon », aux éditions Cêtre. Journaliste et historienne de formation, la jeune femme s’est intéressée à cette période historique. D’autres périodes et thématiques sont déjà dans les cartons. Pour ce projet, son angle fut « d’essayer de mesurer la liesse des personnes qui ont vécu la libération de Besançon ». Selon l’autrice, « on ne peut pas comprendre la libération de Besançon, si on ne connaît pas les détails de l’occupation ». Et de terminer : « on ne peut pas mesurer à quel point on peut se réjouir d’être libéré, si on ne sait pas de quoi on a été libéré ». Pour répondre à cette problématique, le quotidien des Bisontins, pendant l’occupation, a été travaillé et documenté. Un livre à mettre dans toutes les bonnes mains et qui recontextualise cette période de notre histoire contemporaine.
L'interview de la rédaction : Oriane Vatin
Le tram a 10 ans à Besançon. Quel beau projet ! Quel bel investissement ! Sa circulation était effective le 1er septembre 2014. Visionnaires, les élus bisontins et grands bisontins du début des années 2000, conscients des limites du réseau de transports urbains de l’époque, « englués dans la circulation automobile, vont, dès 2003, penser à améliorer les conditions existantes. Après avoir créé le réseau Ginko, qui regroupa celui de la CTB et un autre, plus modeste, qui desservait 36 autres communes, ces maires et conseillers municipaux se penchèrent sur la création d’un nouveau service, plus performant et répondant déjà aux enjeux écologiques. Dès 2003, la réflexion est lancée. Dix ans plus tard, elle se concrétisa.

L'interview de la rédaction : Jean-Claude Roy, Adjoint de Jean-Louis Fousseret, et élu en charge des transports à Grand Besançon Métropole
75 millions de voyageurs en 10 ans
Le succès est au rendez-vous. En 10 ans, ce sont 75 millions de voyageurs qui ont utilisé ce moyen de locomotion. Cette année, la collectivité devrait enregistrer près de 9 millions de passagers. Au total, le tram bisontin s’étend sur 14,5 kilomètres de ligne. Il circule sur deux parcours et compte 31 arrêts. Le cout de ce projet s’élève à 254 millions d’euros. Véritable colonne vertébrale au service de la population, le tram, tout en s’adaptant à son territoire, a contribué à sa modernisation. D’un point de vue paysager, mais également au niveau des enjeux et des attentes liés à un tel service. Sa complémentarité et sa connexion avec le réseau de bus existant, le développement des parkings-relais, le covoiturage, les pistes cyclables, les vélos électriques … sont autant de nouveaux services qui ont accompagné son développement. Selon des chiffres communiqués par Grand Besançon Métropole, « l’arrivée du tram a supprimé le passage de près de 10.000 véhicules individuels sur les axes principaux ». Il a également « remplacé 70 bus thermiques ».

Cinq nouvelles rames
Pour améliorer toujours et encore le service et le rendre encore plus performant, la ville a commandé cinq nouvelles rames de 32 mètres à la société Alstom, en complément des rames actuelles de 23 mètres. Trois autres pourraient venir s’ajouter. En parallèle, une étude est menée pour la création d’un quatrième terminus de tramway sur le secteur Brulard. Autant de décisions qui inscrivent le tram bisontin dans une évolution permanente, au plus proche des réalités du terrain et des besoins et attentes des usagers.
L'interview de la rédaction : Marie Zehaf, adjointe à la Maire de Besançon, en charge des Tranports à Grand Besançon Métropole
Grand Besançon Métropole (GBM) fait savoir qu’une intervention est en cours pour rétablir l’alimentation en eau des réseaux des communes de Novillars, Roche-lez-Beaupré et Vaires. La collectivité fait face à une grosse casse sur la conduite d’eau potable de Roche, affectant l’intégralité de ces territoires. Il est précisé que « la réparation interviendra d’ici à 16 h environ, compte tenu notamment de l’enfouissement en profondeur de la conduite d’eau ».
Dans l’attente, les services de GBM vont déployer d’ici au début d’après-midi à :
En parallèle, des packs d’eau en bouteille seront déposés en mairie. Et le réapprovisionnement du centre hospitalier de Novillars sera assuré