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Deux établissements de restauration de Dole sont concernés par une fermeture administrative temporaire pour travail dissimulé. Lors d’un contrôle, mené en août dernier au « Planète Burger Â» et à la péniche « Le Kargo Â», de graves manquements ont été constatés. Ce qui a conduit le préfet à prendre cette décision.  Des constats identiques avaient déjà été enregistrés dans la première enseigne par les autorités en début d’année. Concernant l’autre site. La préfecture explique que « plusieurs salariés n’ont pas été déclarés et que l’employeur n’a déclaré aucun salaire, ni versé aucune cotisation aux URSSAF,  depuis plusieurs mois pour certains salariés Â».

Un homme de 30 ans devra s’expliquer le 19 janvier devant le tribunal judiciaire de Besançon. Il est soupçonné d’avoir menacé un autre homme à deux reprises pour une histoire de vol de cigarette électronique. Les faits se sont produits dans un foyer, situé rue des Saint Martin à Besançon. Le 11 janvier, il a brandi un couteau de cuisine. Trois jours plus tard, il est revenu en découdre. Muni d’une clé de voiture, il  a asséné un coup de poing au visage à cette même personne. Précisons que la victime, de nationalité irakienne, n’est plus en France depuis le 16 janvier. Quant à l’agresseur présumé, il a refusé de parler durant son audition.

Ce mercredi, la chambre de l'instruction de Besançon a modifié le contrôle judiciaire auquel était soumis l’ancien anesthésiste Frédéric Péchier. La juridiction l'autorise à revenir dans le département du Doubs, et rappelle qu'il peut exercer librement la médecine, sous réserve que son activité ne soit pas liée à sa spécialité d'anesthésiste. Une situation invraisemblable pour Etienne Manteaux, le procureur de la République de Besançon, qui va solliciter un alourdissement de son contrôle judiciaire. Par ailleurs, Frédéric Péchier sera interrogé neuf fois du 8 au 30 mars. La justice souhaite achever l’information judiciaire dès cet été.

C’est une décision qui a déjà fait couler beaucoup d’encre. La chambre de l'instruction de Besançon a décidé ce mercredi 11 janvier de modifier le contrôle judiciaire du Dr Frédéric Péchier. Désormais, il ne prévoit plus d'interdiction de séjour dans le Doubs. Par ailleurs, l’ancien anesthésiste peut à nouveau pratiquer la médecine sous certaines conditions. Son activité ne doit pas être liée à sa spécialité d'anesthésiste-réanimateur, mais il doit auparavant obtenir l’autorisation d'un conseil de l'ordre des médecins. Pour rappel, l'anesthésiste de Besançon est suspecté d'avoir volontairement empoisonné 32 patients, mais il est seulement mis en examen pour 24 d’entre eux. Etienne Manteaux, le procureur de la République de Besançon a réagi vivement ce jeudi 12 janvier lors d’une conférence de presse. « Pour le parquet que je représente, défenseur des intérêts de la société, imaginer que cet homme puisse exercer la profession de médecin est absolument inenvisageable Â». Avant d’ajouter fermement « Le parquet va saisir le juge d’instruction pour un alourdissement du contrôle judiciaire, afin que Monsieur Péchier soit interdit d’exercer la profession de médecin Â»

La fin de l’instruction souhaitée dès cet été. Neuf interrogatoires prévus en mars

Les parties civiles plongées dans une attente interminable depuis maintenant des années pourraient enfin entrevoir la dernière ligne droite. Ce dossier tentaculaire pourrait s’achever prochainement. Le parquet souhaite clore l’information judiciaire dès cet été. Un nombre incalculable d’expertises et de contre-expertises sont la source de la longueur et de la lenteur de ce dossier. Le rendu de ces dernières est prévu début février. C’est ensuite du 8 au 30 mars que l’ancien anesthésiste soupçonné d’empoisonnement sera soumis à neuf interrogatoires successifs. Il sera auditionné sur les huit derniers cas d’arrêts cardiaques de patients suspects, pour lesquels il pourrait être mis en examen de manière supplétive. Mais la juge d’instruction en profitera aussi pour l’interroger sur l’ensemble des faits.

 

Etienne Manteaux, le procureur de la République de Besançon : 

 


Trois individus s’expliqueront en août prochain devant la justice. Le 9 janvier dernier, vers 21h30, ils ont tendu un piège à un homme de 33 ans, avenue Charles Nodier, à Besançon. La victime, qui s’était inscrite sur un tchat de rencontre, s’est fait agresser lorsqu’elle s’est rendue au rendez-vous galant indiqué. Deux individus l’attendaient. Ils l’ont menacée avec un couteau et lui ont extorqué la somme de 150 euros. Le trentenaire est parvenu à prendre la fuite, sans être blessé. Les policiers se sont rendus sur place. Ils ont interpellé les deux agresseurs présumés et la femme, qui se trouvait dans l’appartement en question. Les perquisitions ont été concluantes. Au cours de leur audition, les trois suspects ont reconnu partiellement les faits.

On l’a appris ce mercredi soir, via un communiqué de presse. L’anesthésiste de Besançon Frédéric Péchier a vu son contrôle judiciaire allégé. On y apprend que l’interdiction de revenir dans le Doubs a été levée. Par ailleurs, il est également indiqué qu’il lui est possible de pratiquer de nouveau la médecine , à condition qu’il en fasse la demande au conseil de l’ordre, mais il ne peut toujours pas exercer son métier d’anesthésiste.

Les autres obligations - à savoir : l’obligation de fixer sa résidence dans le département de la Vienne, de quitter le territoire national sans autorisation et l’interdiction d’entrer en relation avec l’ensemble des personnels de la clinique Saint Vincent et de la polyclinique de Franche-Comté de Besançon, ainsi que toute personne concernée par la procédure – restent d’actualité. Rappelons que le suspect est mis en examen pour 24 empoisonnements, dont neuf mortels. Il est soupçonné de 32 empoisonnements, dont 13 mortels.

Un vendeur de 32 ans été interpellé le 8 janvier dernier à Besançon, sur un point de deal bien connu, Place de l’Europe, dans le quartier Planoise. Les nombreux acheteurs sont parvenus à prendre la fuite. Le trentenaire était en possession de 190 grammes de résine de cannabis, 36 grammes d’herbe de cannabis, 12 grammes de cocaïne et 50 euros. Au cours de son audition, il a reconnu vendre pour environ 3.500 euros par jour et qu’un individu cagoulé passait toutes les 30 minutes pour récupérer l’argent et le ravitailler en produits stupéfiants.

Un jeune homme de 19 ans devra s’expliquer en mai prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Il est soupçonné d’avoir émis de nombreux chèques via un compte non approvisionné. Il a expliqué aux enquêteurs bisontins « avoir revendu la totalité de ses achats pour payer ses employés Â».

Les investigations ont permis d’établir qu’il avait émis sciemment 15 chèques pour un montant total de plus de 23.000 euros. Les policiers bisontins ont été saisis d’une plainte, émanant d’un magasin de Franois, près de Besançon, qui a constaté que le jeune malfrat avait payé deux vélos électriques avec des chèques sans provision pour un montant de près de 5.000 euros. L’individu a été placé en garde à vue ce lundi matin. Au cours de son audition, il  a reconnu les faits.

Un jeune homme, âgé de 18 ans, doit être présenté déféré au tribunal judiciaire de Besançon  ce vendredi matin. Hier, après-midi, vers 16h15, il a été interpellé par une patrouille de police secours, car il venait d’indiquer la présence des policiers à proximité d’un point de deal. Il était en possession d’une vingtaine de grammes de cannabis, deux grammes de cocaïne et 90 euros. Il a été placé en garde à vue. Lors de son audition, il a reconnu s’adonner à la revente de stupéfiants depuis deux jours.

La police de Pontarlier lance un appel à témoins après l’arrestation de deux individus, soupçonnés d’être impliqués dans des faits de vol et de recel. Les deux protagonistes ont été identifiés après l’arrestation d’un mineur, le 3 janvier dernier, rue Claude Chappe.

Au cours de leurs investigations, les policiers découvriront différents engins et articles volés. En l’occurrence une trottinette, une moto et un Partner, dérobés respectivement dans le Jura. Caché dans un véhicule, les policiers découvriront également des portes monnaies, des clés et des bips de garage. Les éventuels propriétaires de ces objets sont invités à prendre contact auprès de la police pontissalienne en composant le 03.81.38.51.10

Mercredi, à Pontarlier, une jeune femme de 18 ans est venue déposer plainte au commissariat de police. Elle dénonce le comportement de son compagnon, âgé de 26 ans. Ce dernier est soupçonné de lui avoir donné des coups de poing et des gifles. Il s’est présenté de lui-même au commissariat. Lors d’une perquisition menée à son domicile, les forces de l’ordre ont découvert tout un arsenal, composé d’armes et de munitions.