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Un homme de 26 ans a été placé en garde à vue ce mardi soir. Au centre commercial Chateaufarine, à Besançon, le malfrat présumé a tenté de franchir les caisses sans payer. Il possédait du matériel multimédia. Le montant du préjudice est estimé à plus de 1500 euros.

Un conducteur de 36 ans sera convoqué ultérieurement au commissariat de police de Besançon. Lundi soir, vers 21h15, lors d’un contrôle, mené dans la rue de Belfort, les policiers ont constaté que le vignette du contrôle technique qu’il présentait sur le pare-brise de son véhicule était une photocopie. Il a expliqué aux fonctionnaires qu’il l’avait achetée sur internet.

Une automobiliste de 34 ans devra s’expliquer le 2 mars prochain devant la justice. Lundi après-midi, vers 13h, à Besançon, les forces de l’ordre ont constaté qu’elle ne portait pas sa ceinture de sécurité.  Le contrôle plus approfondi a permis d’établir qu’elle faisait l’objet d’une suspension de son permis de conduire. Au cours de sa garde à vue, elle a reconnu les faits.

Un homme de 24 ans a été placé sous contrôle judiciaire après avoir été déféré le 6 novembre. Cet individu  s’en est pris à une soignante le 3 novembre dernier à l’hôpital de Pontarlier. Il s’agissait de sa compagne. Au cours de sa garde à vue, il a expliqué avoir conscience de sa jalousie maladive. Il a nié les violences. Et ce, malgré les témoignages.

Le 6 novembre dernier, les policiers pontissaliens ont été alertés par leurs confrères allemands qu’une victime présumée était séquestrée et menacée par son compagnon dans un appartement de la capitale du Haut-Doubs. Ce sont les parents de la  jeune femme qui ont donné l’alerte.  

Les fonctionnaires se sont rendus sur place. L’homme a été interpellé. Alors que la femme se trouvait aux urgences de l’hôpital de Pontarlier. Aucune ITT n’a été prescrite par les médecins. L’agresseur présumé a été placé en garde à vue. L’homme a nié les faits, reconnaissant à peine une bousculade. Cet individu de 32 ans s’expliquera le 3 janvier prochain devant le délégué du Procureur.

La persuasion des policiers pontissaliens a payé. Elle a permis à un homme de 40 ans, domicilié dans l’arrondissement de Pontarlier, de confesser 71 vols à l’étalage pratiqués dans des commerces de la capitale du Haut-Doubs et de Besançon. Douze enseignes ont été recensées. Le préjudice s’élève à 2.300 euros. Le quadragénaire a réalisé ses larcins dans des enseignes alimentaires, de bricolage, de jardinerie et des librairies. Il s’est engagé à rembourser ce qu’il devait.

Vers 4h30 ce vendredi matin, un automobiliste de 21 ans a été contrôlé avec un taux de 2 grammes d’alcool par litre de sang à Besançon, avenue Foch. Le jeune homme venait de franchir un feu tricolore au rouge fixe à l’angle des rues Foch et Schwint. En attendant d’être entendu dans de bonnes conditions, il a été placé en garde à vue différée.

A Besançon. Pour des motifs qui restaient à déterminer, hier après-midi, vers 13h, une employée de 47 ans a été agressée dans la boutique Ginko de la rue des Boucheries. Elle a reçu un coup de poing à hauteur de l’épaule par un homme de 61 ans. Ce dernier a été interpellé et placé en garde à vue.

Le propriétaire, âgé de 40 ans, d’un appartement dans lequel un homme d’une vingtaine d’années avait été retrouvé gisant dans une mare de sang a été mis en examen pour meurtre et écroué. Vendredi, cet individu, fortement alcoolisé, avait signalé aux passants la présence du corps dans son appartement. Il avait été hospitalisé pour des plaies au cou. Selon nos informations, le suspect est connu de la justice pour des faits de violences.

Jeudi soir, vers 18h, les policiers pontissaliens ont à gérer une affaire de violences conjugales.  Une femme a expliqué aux policiers avoir été bousculée et frappée par son conjoint. Les motifs semblent être futiles. Le mari, qui avait quitté les lieux avant l’arrivée des forces de l’ordre, a été retrouvé et interpellé. Il a été placé en garde à vue avec différemment de ses droits car il était alcoolisé. Il a reconnu l’intégralité des faits qui lui sont reprochés. A savoir, les violences sur sa victime et les insultes aux policiers. Il devra s’expliquer le 1er décembre prochain devant le délégué du procureur, en vue d’une composition pénale. La dame est âgée de 69 ans. Le mari a 74 ans.