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Une enquête en ligne, baptisée « circulez-vous facilement à vélo dans votre commune ? Â» est lancée sur le territoire du Grand Besançon. Menée par la Fédération des Usagers de la Bicyclette, elle permet aux usagers de la bicyclette de donner leur avis sur la pratique du vélo dans leur commune.

Les résultats de l’enquête seront précieux pour la collectivité qui sera amenée à prendre des décisions lors de la programmation de travaux ou d’aménagements pour les itinéraires à privilégier et ceux à améliorer. Les Grands Bisontins ont jusqu’au 30 novembre pour répondre. Participer ne prend que quelques minutes : https://barometre.parlons-velo.fr

Hier, samedi, à la veille de la COP26, des citoyens  ont choisi de s'asseoir, seuls, bloquant des routes, pour exprimer la peur et l’angoisse qu’ils ressentent face à l’inaction du gouvernement concernant le réchauffement climatique et ses conséquences. A Besançon, à 15h, des actions se sont tenues dans le quartier Battant. Ces militants, soutenus par les collectifs RebellionofOne et ExtinctionRebellion,  portaient une pancarte délivrant un message personnel exprimant leurs détresses et leurs peurs face aux conséquences de la crise écologique.

Avec l’arrivée des mauvais jours, et le soleil qui se couche plus rapidement, les vols crépusculaires refont leur apparition. Pour l’heure, la capitale du Haut-Doubs semble en être épargnée, mais, très prudent, le Commandant Trousseau, le patron de la police de la capitale du Haut-Doubs, préfère sensibiliser la population locale.

« Les gens mal intentionnés peuvent profiter de l’obscurité qui tombe plus vite pour s’introduire dans les maisons, les appartements et les résidences » explique-t-il. Une nouvelle fois encore, M Trousseau rappelle que la police est à l’écoute des personnes qui constateraient des situations anormales. Dans ce cas, il convient de composer le 17 ou le 03.81.38.51.10. Chaque jour, en plus de police secours, une patrouille est affectée à la sécurité des biens et des personnes sur le territoire pontissalien.

Adopter les bons comportements

Le Commandant Trousseau rappelle également l’importance d’adopter les bons comportements pour se protéger au maximum. Durant votre absence, pensez à équiper votre maison de moyens comme des détecteurs de présence , une alarme ou encore d’un système de mise en lumière aléatoire ou de son, laissant croire à une présence. S’organiser entre voisin est également une démarche qui a fait ses preuves. Pensez également en cette période de vacances scolaires à l’opération « tranquillité vacances Â», durant laquelle, de façon hebdomadaire, à des heures différentes, une patrouille de police se rend à votre domicile pour effectuer les vérifications et les contrôles d’usage. « Tout mettre en Å“uvre pour qu’à n’importe quel moment de la journée, le voleur soit incertain sur la présence ou non d’un tiers dans le lieu convoité Â» conclut le Commandant Trousseau.

L'interview de la rédaction

 

Les nouveaux chiffres du chômage sont tombés. En Bourgogne Franche-Comté, au troisième trimestre 2021, le nombre de demandeurs d’emploi de la catégorie A s'établit en moyenne sur le trimestre à 113.480. Ce nombre baisse de 7,1 % sur le trimestre et de 13 % sur un an. Par département, concernant cette même catégorie et le trimestre de référence, la situation est la suivante : -6,6% dans le Doubs, -7,8% dans le Jura, -5,7% en Haute-Saône et -6% dans le Territoire de Belfort

La semaine prochaine, durant quatre matinées, du mardi 2 au vendredi 5 novembre, Coopilote, qui accompagne les personnes désireuses de créer leur entreprise,  organise une semaine de formation sur le thème de l’entrepreneuriat au féminin. L’objectif est de dispenser des outils pour permettre aux femmes de réussir leur projet professionnel. Parmi les thématiques abordés : le projet personnel, le marketing, la stratégie commerciale, le prévisionnel financier, la trésorerie et le réseau. En parallèle, un atelier de développement personnel sera proposé. Il s’intitule « comment dépasser ses croyances limitantes Â».

Selon les derniers chiffres en la matière, 30% des chefs d’entreprise sont des femmes. Ce chiffre progresse, mais il reste encore insuffisant. Les raisons sont multiples. Il convient encore de faire reculer les freins qui peuvent empêcher de franchir certains obstacles et de se lancer dans l’aventure. Cela passe notamment par combattre certains clichés et de trouver la bonne organisation personnelle permettant un juste équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle. Car c’est surtout ce que recherchent ces femmes entrepreneures : pouvoir concilier une vie personnelle et une vie professionnelle épanouissantes.

Pour obtenir de plus amples informations : https://www.coopilote.com/

L'interview de la rédaction : Catherine Humbert, chargée d'accompagnement des entrepreneurs chez Coopilote 

 

Fondée en 2016 par le médiatique chef Thierry Marx, l’école Cuisine Mode d’emploi(s) est un véritable centre de formation à destination des personnes, à la recherche d’un emploi et ayant un  projet professionnel, désireuses de s’investir dans le domaine de la restauration . Les formations sont courtes (14 semaines), mais intenses. Encadrés par des professionnels, les stagiaires apprennent les rudiments du métier. Le concept fonctionne puisqu’à l’issue de ce premier temps d’apprentissage, l’employabilité s’élève à 90%.

Découverte des métiers de la restauration

Après de longs mois de fermeture ou d’activité partielle, les restaurants et professionnels de la restauration sont plus que jamais à la recherche de collaborateurs. De nombreux postes sont à pourvoir. Ainsi, pour répondre à cette forte demande, la structure propose une immersion à celles et ceux qui ont envie de vivre une expérience en situation professionnelle au sein de ses installations. Une démarche qui permettra peut-être de confirmer ou pas une vocation, un projet, une envie. Tous les habitants de Besançon, à partir de 17 ans, motivés et sans activité, sont concernés. Ces semaines de découverte se dérouleront du 15 au 19 novembre, du 22 au 26 novembre et du 29 novembre au 3 décembre. Ces séances seront notamment assurées par Sylvie Loeillet, comédienne dans la série Caméra Café. Elle travaillera sur la posture professionnelle, la confiance en soi et le savoir-être.

Pour candidater, il suffit d’envoyer un mail avec vos coordonnées (nom et prénom, date de naissance, adresse de résidence, numéro de téléphone) à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

L'interview de la rédaction

Ce samedi, la cour du collège Diderot à Planoise accueillait la « caravane des pieds d’immeuble Â». Après une version estivale qui a cartonné, l’organisateur, le club sauvegarde de Besançon, propose quelque chose de différent durant ces vacances de la Toussaint.

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Ce samedi, l’association Raid’Aventure et son dispositif Prox’ proposaient de nombreux ateliers. Animés par une équipe de policiers, ces derniers invitaient les enfants à pratiquer des sports de combat, faire un parcours du combattant, participer à des jeux d’opposition ou des sports collectifs, … . L’objectif étant d’instaurer une autre relation entre la population et les forces de l’ordre

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Les QPV (Quartiers Prioritaires de la Ville)  ont un incroyable talent

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En parallèle, à l’image de l’émission « La France a un incroyable talent Â», le club « La Sauvegarde de Besançon Â» et ses éducateurs et médiateurs  sont partis à la rencontre des talents du quartier de Planoise. Des jeunes, âgés entre 10 et 20 ans, qui ont une véritable passion et qui l’expriment à travers du  rap, de la chanson, de la poésie, … les domaines ne manquent pas. Ce samedi, ces jeunes gens se sont exprimés sur scène. Leur prestation a été filmée. Elle sera visible sur une plateforme virtuelle. Le 7 novembre, un jury se réunira et récompensera les jeunes artistes à l’occasion d’une belle fête dans le gymnase du collège Diderot. Une nouvelle fois encore, Fodé N’Dao et son équipe veulent donner une autre image du quartier et mettre dans la lumière cette jeunesse dont on ne parle pas et  qui, pourtant, regorge de savoir-faire et de compétences.

L'interview de la rédaction / Marine Didier, secrétaire de "La Sauvegarde de Besançon"

 

Pour le deuxième samedi consécutif, les Gilets Jaunes occupent les ronds-points. A Besançon, ils se sont donnés rendez-vous à hauteur du rond-point de Chalezeule. Ces femmes et ces hommes, grands-parents, salariés, chômeurs, … ont décidé d’exprimer de nouveau leur colère. Ce n’est sans doute pas les 100 euros promis par Jean Castex pour faire face à la montée du prix de l’essence qui les apaisera.

GILETS JAUNES

Face à la montée des prix de l’essence et du coût de la vie, et à quelques mois de l’élection présidentielle, ils ont choisi d’investir de nouveau les ronds-points. Ces endroits qu’ils avaient occupés durant de longs mois ces dernières années pour dénoncer déjà à l’époque cette situation qui s’est encore aggravée.

GILETS JAUNES 3

Les manifestants n’en peuvent plus. Ils expliquent ne plus pouvoir joindre les deux bouts et ne pas parvenir à vivre  décemment.  

L'interview de la rédaction

Cette semaine, avant quinze jours de vacances bien méritées, le lycée professionnel Saint Bénigne de Pontarlier organise une semaine thématique invitant les jeunes à s’engager artistiquement. « L’art et l’engagement Â» permet de mettre en lumière les travaux de ses élèves qui, pour certains le présenteront, lors d’une épreuve orale pour l’obtention de leur baccalauréat professionnel.

Ces adolescents sont issus de différentes filières et formations. Les thèmes de la santé, de l’usage des jeux vidéos ou encore du harcèlement ont été déclinés sur plusieurs supports. Le résultats est bluffant et les messages diffusés sont d’une très grande pertinence. Marie, future pompier, a voulu créer une peinture à la fois sombre et porteuse d’espoir. La référence au code pénal et l’inscription du logo du réseau social Snapchat rappellent que la justice sanctionne cette violence et que les réseaux sociaux sont à utiliser avec précaution. Benoît et ses amis ont préféré la Bande dessinée pour sensibiliser les autres lycéens au VIH et à l’usage du préservatif. Enfin, le tableau de Léo ne passe pas inaperçu également. Le parapluie en forme recouvert d’un préservatif, tenu par Maestro, le célèbre personnage de la série animée   , est le seul rempart pour se protéger des Infections Sexuellement Transmissibles.

Des adolescents qui parlent à d’autres adolescents. Une initiative très intéressante et riche d’enseignements, qui a trouvé sa place dans les lieux de vie de l’établissement scolaire.

Le reportage de la rédaction : M. Cordier et Marie, Léo et Benoît 

Après quatre semaines de formation collective au sein des locaux bisontins de la mission locale, les douze jeunes engagés dans le dispositif « osez le numérique Â» s’apprêtent à vivre deux semaines de stage dans une entreprise spécialisée dans ce domaine. Au cours de ce mois, les jeunes, âgés entre 16 et 25 ans, ont acquis des connaissances dans un spectre très large : web, graphisme, game design, … . Ce temps ne délivre pas de diplôme, mais permet à ces jeunes gens de valider ou pas leur désir de poursuivre leur projet professionnel dans cette voie.

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En compagnie de deux intervenants et d’un réseau de partenaires, les participants ont pu apprécier les compétences que leur demandent ces métiers, appréhender leurs réalités et mieux définir la direction qu’ils souhaitent prendre. Communication, graphisme, traitement et protection des données d’une entreprise, création de sites internet, … les possibilités sont diverses et variées. Comme l’explique Alix Faivre, un des deux intervenants, ces métiers sont en plein développement et les entreprises auront besoin dans les années à venir de professionnels compétents et qualifiés.

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Trouver sa voie

Les jeunes ont bien conscience qu’ Â« osez le numérique Â» n’est pas une finalité, mais une opportunité qui leur est offerte pour atteindre un objectif professionnel. Jade (21 ans) prend ce moment comme une expérience supplémentaire pour enfin décrocher une place dans l’école d’animation, spécialisée dans le numérique, qu’elle aimerait rejoindre. Léo (20 ans)  y voit également un cursus pour retrouver la confiance qu’il a perdue avec l’éducation nationale. Une chose est certaine, les projets mûrissent. A l’issue de la période de stage, un temps d’évaluation et de bilan sera effectué. Il  permettra à tout un chacun d’y voir plus clair sur sa situation et d’entrevoir d’autres chemins.

Le reportage de la rédaction