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Le Préfet du Jura a pris un arrêté interdisant toute manifestation ou rassemblement revendicatif ce samedi de 12h à 18h  à Lons-le-Saunier : Boulevard de Lattre de Tassigny, Rue Louis Mazier, Rue de Pavigny, Avenue Paul Seguin, Rue Marcel Paul, Rue de Cordeliers, Rue Sébille, Rue Rouget de Lisle. Et ce, en raison du passage du Tour du Jura.

L’état de catastrophe naturelle est reconnu pour la ville de Morteau suite à la sécheresse et à la réhydratation des sols survenues pendant la période du 1er avril eu 30 juin 2020. L’information est parue mardi au Journal Officiel. Désormais, les Mortuaciens ont un délai de 10 jours, à compter du 31 août, pour faire parvenir à leur compagnie d’assurance un état estimatif de leurs pertes, s'ils ne l’ont pas déjà fait.

Brigitte Bourguignon, Ministre déléguée auprès du Ministre des solidarités et de la santé, chargée de l'autonomie, participera ce soir, à 20h, à l’hommage qui sera rendu à Moussa Dieng, l’ambulancier bisontin poignardé samedi matin, à Besançon, lors d’une intervention. Elle y exprimera, lors d’une cérémonie d’hommage, « la solidarité de la Nation envers Monsieur Moussa Dieng et ses proches Â». le rassemblement se tiendra au siège de l’entreprise Jussieu Secours.

Ce mercredi, les centres ambulanciers Jussieu secours rendent un hommage national à Moussa Dieng, poignardé lors d’une intervention par un individu, en totale démence, samedi matin à Besançon, dans le quartier Planoise. Ils appellent l’ensemble de la profession à se joindre à eux. Ainsi, une minute de silence sera observée à 12h.

Ce soir, les ambulanciers du centre Jussieu de Besançon organisent une cérémonie d’hommage, en présence des autorités de tutelle, du Ministère de la Santé, des partenaires locaux et du réseau Jussieu secours. Les professionnels de santé sont invités à y participer. Elle se tiendra à 20 heures dans les locaux du centre ambulancier.

Petit rassemblement ce matin à Besançon, sur la place des droits de l’homme. Une trentaine d’agents de la ville, des militants syndicalistes et quelques citoyens se sont donnés rendez-vous pour dénoncer l’application du passe sanitaire. Rappelons que depuis ce lundi 30 août,  le passe sanitaire devient obligatoire pour les employés des lieux où le public le présente.

Ce document ne fait pas l’unanimité. Les manifestants dénoncent « une loi discriminante et injuste Â».  D’autant plus qu’au sein d’une même administration, d’un même service, tous les agents ne sont pas dans l’obligation de le présenter. Pour les manifestants cette loi est d’autant plus incompréhensible que, même s’ils sont vaccinés, ils peuvent toujours transmettre la maladie. Ce qui les inquiète particulièrement

« Une loi liberticide Â»

Au-delà de cette situation, certains continuent de pointer une loi « liberticide Â». Ils dénoncent les sanctions appliquées, l’instauration d’un contrôle sur la population, la division de la population et la dégradation des conditions de travail des agents Â». Une situation jugée intolérable, car, selon eux, au début de la pandémie, les fonctionnaires ont été « utilisés Â» et ont répondu présent, « sans masque et sans gel Â», pour assurer la continuité du service public.

MANIF PASS SANITAIRE AGENTS CGT

 

Vers des reclassements ?

Anne Vignot, la Maire de Besançon, et Elise Aebischer, en charge des relations aux usagers et des ressources humaines, sont venus rencontrer les manifestants. Elles leur ont rappelé le cadre et les décrets qui ont été pris pour en arriver là. Anne Vignot n’exclut pas la possibilité de faire appliquer la loi. C’est-à-dire de procéder à la suspension de l’agent réfractaire. Néanmoins, avant d’en arriver à cette solution ultime, des discussions sont prévues. La possibilité d’un reclassement n’est également pas exclue.

L'interview de la rédaction / M. Portugal (syndicat

À l’occasion de la journée mondiale pour la fin du spécisme, Humanimo organise un happening devant la citadelle de Besançon, samedi 28 août à 15h.

« Partout dans le monde, des événements sont organisés pour dénoncer les nombreuses souffrances dont sont victimes les animaux : élevages et abattoirs, piscicultures et bateaux de pêche, centres d’expérimentation animale, cirques, zoos, animaleries, … «  explique le communiqué de presse.

Et de poursuivre : « Ã€ Besançon, nous avons choisi le zoo de la Citadelle, lieu de captivité inacceptable et symbole parmi d'autres de l'exploitation animale, pour marquer notre désapprobation. Nous porterons la voix des prisonniers, notamment celle du lion Hélios pour qui une solution de transfert en sanctuaire fut rapidement balayée malgré les engagements de la municipalité Â».

Comme le dit le vieil adage « toutes les bonnes choses ont une fin Â». Plus que quelques jours pour profiter des derniers instants de vacances. A compter de lundi, la France va reprendre une activité on ne peut plus normal, après deux mois de farniente. Entre fatalisme et raison, les derniers vacanciers ne veulent pas manquer un seul instant de plaisir. La rédaction en a rencontré quelques-uns à Nans-Sous-Sainte-Anne, dans la vallée du Lison, où la source éponyme donne des forces à quelques jours d’une nouvelle échéance, beaucoup moins réjouissante.  

 

SOURCE DU LISON

En adulte responsable, tout le monde se fait une raison. Certes, l’idée de présenter son passe sanitaire, de porter le masque ou encore de supporter le patron et ses collègues font guère plaisir . Mais comme le dit Guy, « de toute façon, on n’a pas le choix Â». Chez les étudiants également, on profite de ces derniers instants estivaux. A l’image d’Ema et de ses petits camarades, on espère retrouver une vie étudiante « normale Â», avec des cours en présentiel et de vrais moments de camaraderie sur les campus bisontins. Enfin, chez les adolescents, si l’on en croit Tom, la rentrée n’est pas une si mauvaise chose. Après ces deux mois de coupure, l’idée de retrouver les copains et les profs ne déplaît pas. Bien au contraire.

 

LISON SOURCE

Le reportage de la rédaction

La Ville de Besançon vient de publier le guide « l’animal à Besançon. Guide des bonnes pratiques Â». Il est disponible en mairie et en ligne sur internet. Ce document vise à donner des renseignements utiles concernant les animaux, domestiques ou non, et rappeler les bonnes pratiques et les devoirs de chacun pour vivre plus harmonieusement en collectivité.  A l’intérieur, les lecteurs y trouveront des réponses à leurs interrogations, des conseils pratiques et des contacts utiles.

Pour découvrir ce document : https://www.grandbesancon.fr/wp-content/uploads/sites/2/2021/06/VILLE-DE-BESANCON_Guide-de-lanimal_WEB.pdf

C’est un véritable fléau qui n’épargne personne. Les violences conjugales se multiplient sur le territoire. A Pontarlier, la police nationale a par exemple eu à gérer durant le mois de juillet une dizaine d’affaires.

Le Commandant Trousseau, le patron de la police de Pontarlier, le fait savoir, les forces de l’ordre ne laissent rien passer et sont intransigeantes. Idem pour le parquet de Besançon qui , depuis quelques années et le passage de la procureure Edwige Roux Morizot,  mène une politique très forte en la matière. Preuve que tout est mis en Å“uvre pour lutter contre ces violences, et mieux protéger les victimes, à Besançon, la justice s’est vue doter d’outils supplémentaires comme les téléphones grave danger et les bracelets anti rapprochement. « Il y a une tolérance zéro. Toutes les plaintes sont reçues. L’accueil des victimes a été revue au sein de notre commissarait. Nous ne laissons rien passer Â» explique Mr Trousseau.  Il en va de même dans la prise en charge des agresseurs. « La garde à vue est quasiment appliquée et les déferrements nombreux Â» ajoute le policier.

L’AAVI

Comme le rappelle le commandant Trousseau les sanctions et les condamnations sont proportionnées. Elles tiennent compte des faits et de la situation personnelle des protagonistes. Néanmoins, aucune violence, qu’elle soit physique ou verbale, ne doit rester sans réponse. La prise en charge de la victime est la priorité, mais l’agresseur doit également prendre conscience de la gravité de la situation. C’est la raison pour laquelle à la peine doit se conjuguer un suivi et un accompagnement.  Ainsi, l’Association d’Aides aux Victimes d’Infractions, qui Å“uvre aux côtés des forces de l’ordre et de la justice, joue ce rôle. Ses professionnels sont aux côtés des victimes pour les accompagner au mieux durant la procédure judiciaire. Pour l’agresseur, d’autres prises en charge sont possibles, comme le foyer altérité, qui héberge des auteurs de violences conjugales. Les personnes accueillies, en attente de jugement ou déjà condamnées, bénéficient d’un suivi psychosocial, visant à éviter une récidive. 

L'interview de la rédaction

Comme chaque semaine, la gendarmerie du Jura communique les chiffres de l’insécurité routière sur le département. Concernant la période s’échelonnant du 17 au 24 août, les forces de l’ordre jurassiennes ont enregistré 38 excès de vitesse, 37 conduites addictives, 3 accidents, faisant 3 blessés, 4 défauts de permis, 18 téléphones au volant et 13 fautes de priorité.