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En raison des conditions météo annoncées dès le petit matin, le Préfet du Doubs a pris la décision d’interdire la circulation des poids-lourds sur la nationale 57 à compter de minuit. Les transports scolaires ne circuleront pas également demain matin dans toutes les communes situées à partir de 600 mètres d’altitude.

 

Ce samedi 11 décembre, le lycée Louis Pergaud organise son forum des grandes écoles de commerce. Les étudiants, lycéens et leurs familles pourront circuler parmi les stands représentant la plupart des grandes écoles de management et échanger avec des étudiants actuellement en école. On notera également la présence des professeurs des classes préparatoires du lycée Pergaud pour renseigner les visiteurs sur les meilleures voies pour intégrer ces établissements.

Deux rendez-vous sont à noter : A 10h : une conférence animée par Romain Casiez de Burgundy School of Business de Dijon sur le thème : « Pourquoi faire une classe préparatoire pour intégrer une grande école de management ? ». A 11h : une table ronde sur la problématique « Quels métiers après une grande école ? », en présence d’anciens étudiants actuellement en activité qui viendront présenter leurs parcours professionnels.

Jusqu’au 22 décembre, à l’occasion du 3è anniversaire du commissariat du secteur de Planoise, la direction départementale de la sécurité publique du Doubs organise un concours de dessin sur le thème « dessine ta police ». Il s’adresse aux enfants des classes de CP au CM2 ou habitants sur le quartier de reconquête républicaine du quartier.

Des petits lots sont à gagner pour les meilleurs dessins de chaque catégorie scolaire. Les jeunes participants sont invités à venir accrocher leurs créations sur le sapin du secteur du commissariat, 6 avenue du parc à Besançon. Procurez vous les documents nécessaire. Que les meilleurs gagnent.  

Le 2 décembre dernier, à 9h52 précisément, un exercice attentat-intrusion a été menée dans les établissements scolaires de l’académie de Besançon. Il avait pour objectif principal de tester la chaine d’alerte entre les structures scolaires, les services départementaux de l’éducation nationale et le rectorat.

Le scénario relatait l’évasion d’un détenu, jugé dangereux, d’une maison d’arrêt située en Franche-Comté. Lors de cette opération, qui s’est conclue par l’interpellation de cet individu par les forces de l’ordre, 220 observateurs ( policiers nationaux et municipaux, gendarmes, élus locaux…) ont pu suivre le déroulement de l’exercice, qui a duré près de 30 minutes.

Cette action a permis de développer une culture de la sécurité dans les structures scolaires, d’exercer les élèves et la communauté éducative à réagir lors du déclenchement du Plan particulier de mise en sûreté attentat-intrusion et d’identifier les points à améliorer.

La crise épidémique n’épargne pas les écoles bisontines. A la date de ce jeudi, la mairie indique que 24 écoles comptent des cas positifs parmi les enfants, avec plusieurs dizaines de classes fermées. Par ailleurs, la Ville craint devoir fermer des accueils périscolaires. Mercredi, par exemple, 160 personnels municipaux travaillant dans les écoles étaientde absents et 50 n’ont pu être remplacés.

Après 25 ans de fuite, de réelles perturbations dans la dispense des enseignements et pour la sécurité des étudiants, la toiture du gymnase de l’UFR STAPS de Besançon a enfin été réparée. « Notre budget serpillère va pouvoir diminuer » a lancé avec ironie le directeur de l’établissement. Effectivement, ce dernier a dû menacer de fermer l’infrastructure pour obtenir un écho favorable à sa demande. Macha Woronoff, la présidente de l’université de Franche-Comté, le promet d’autres toitures subiront le même sort. Une cure de jouvence avant l’existence, d’ici deux ans, d’un campus flambant neuf à la Bouloie.

Comme un bonheur n’arrive jamais seul, l’établissement vient également de se doter d’un PIMS, un Pôle d’Initiation à la Métrologie Sportive. Cet outil sert à former les étudiants en master et doctorat dans le domaine de la mesure de la performance sportive. Cet équipement se décline en plusieurs appareils de mesure. Ainsi, vitesse de pédalage, hauteur, longueur, activités cérébrale et cardiaque sont évaluées. D’autres innovations technologiques sont également désormais à la disposition des étudiants comme le système de capture de mouvement sur fond vert et la réalité virtuelle, avec la simulation d’environnements divers et variés lors d’un effort.

L'interview de la rédaction / Syndney Grosprêtre

 

Ce samedi, Micropolis Besançon accueille Studyrama, le salon de l’orientation. Masqués et munis de leur passe sanitaire, lycéens, le plus souvent accompagnés de leurs parents, et étudiants sont nombreux à faire le déplacement pour se choisir un avenir. En pleine crise sanitaire, et a quelques semaines de faire connaître leurs premiers vœux sur la plateforme parcoursup, nous leur avons demandé si leur manière de penser leur orientation avait changé avec la crise sanitaire ambiante ? Réponses de jeunes.

STUDYRAMA 2

Les incertitudes et les difficultés de trouver la bonne formation professionnelle et l’école la plus adaptée sont bien réelles, mais elles ne sont pas liées à la crise sanitaire du moment. Les jeunes ont conscience de la réalité, mais ils croient en l’avenir. L’intérêt pour la formation qui leur ouvrira les portes du métier qu’ils veulent faire reste une priorité. Les parents d’ailleurs les encouragent en ce sens. « Ils souhaitent le meilleur pour nous et que l’on réussisse » raconte Thibaut. Néanmoins, ces jeunes gens ont conscience qu’en raison de la pandémie, certaines professions  vont évoluer avec les savoir-faire qui en découlent. C’est donc toute la réflexion qui est menée. Autrement dit, s’adapter aux nouvelles exigences de l’instant, imposées par une crise sanitaire qui a remis en cause certains schémas. Garder son objectif, tout en essayant de contourner l’obstacle, et se former en tenant compte et en anticipant les  enjeux de demain. Pour d’autres, la crise les a conduits à repenser leur projet.  Les conditions de travail dégradées et difficiles dans le secteur de la santé par exemple sont à l’origine d’une toute autre réflexion .

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Partir à l’étranger

Reste le problème des formations à l’étranger. « Faut-il prendre ce risque ?  Et si je me retrouvais sans rien en raison de la fermeture des frontières » s’interroge ce lycéen. L’idée d’intégrer le programme Erasmus reste son souhait premier, mais les incertitudes actuelles et futures ne sont pas pour le rassurer concrètement. Alors, « histoire d’assurer (ses) arrières », on envisage quand même un plan B dans la région.

Selon les derniers chiffres du Rectorat de Besançon concernant l’épidémie de Covid-19, aucune structure scolaire n’est fermée, mais 190 classes à distance bénéficient de la continuité pédagogique dans l'académie. 586 élèves et 49 personnels sont cas confirmés à la Covid-19 en cumul sur les 7 derniers jours. Précisons que ces chiffres ont été arrêtés le jeudi 25 novembre à 13h.

Le 15è salon Studyrama se tiendra ce samedi 27 novembre à Micropolis Besançon. Cette manifestation s’adresse aux lycéens, étudiants et leurs familles. D’ici quelques semaines, les lycéens vont devoir faire connaître leurs premiers choix d’orientation. Autant dire que cette manifestation est la bienvenue. A Besançon, les 15-29 ans représentent près de 29% de la population et ils sont 30.000 à avoir choisi cette ville pour y faire leurs études supérieures.

Ce samedi, à Besançon, une centaine d’exposants seront présents. Ils déclineront au total 400 formations dans des domaines extrêmement variés (art, sport, management, ingénieur, numérique, commerce,…). Professionnalisation ou généraliste ? En alternance ou en initiale ? Les possibilités sont multiples et répondent aux choix et projets des jeunes. Universités, écoles spécialisées, grandes écoles, prépas, … accueilleront les visiteurs.  Des formations, longues ou courtes, professionnalisantes ou généralistes, allant de Bac à Bac +5, BTS, DUT, Licences, Masters, … seront proposées.  

Rendez-vous ce samedi, de 9h à 17h, à Micropolis Besançon. Entrée gratuite.

L'interview de la rédaction / Thomas Durieux, responsable du salon Studyrama de Besançon

Ce samedi 20 novembre, on célébrait partout en France la journée internationale des Droits de l’Enfant. Être éduqués, soignés, protégés, considérés,… les enfants ont des droits qu’il est bon de rappeler et veiller à leur application. Malheureusement, c’est loin d’être le cas. A Besançon, la maison de quartier municipale Montrapon Fontaine-Ecu le constate. La pandémie est clairement venue fragiliser le cocon familial. Les situations de stress et de souffrance inquiètent les éducateurs.

JOURNEE INTERNATIONALE DES DROITS  DE L ENFANT

La mobilisation est totale. Les adultes sont présents pour apporter ce qu’il est possible d’apporter pour améliorer le quotidien. Cela passe par l’aide alimentaire, l’accompagnement scolaire et une offre d’activités éducatives et de loisirs pour s’aérer la tête et sortir de ce mal-être qui n’est pas sans poser problème.

Ainsi, durant deux jours, mercredi et samedi, les Francas du Doubs et la structure sociale bisontine ont présenté un alléchant programme d’animations composé de jeux collectifs, de spectacles, de représentations, d’ateliers manuels et de création,… . Lors de cette ultime journée, parents et enfants étaient conviés à venir se divertir en ces temps incertains et bien compliqués.

L'interview de la rédaction  / Loïc Iwasinta, directeur de la Maison de quartier Montrapon  Fontaine Ecu