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La police nationale bisontine fait savoir que dans le cadre des engins motorisés saisis lors des rodéos urbains, elle vient, dans le cadre d’une convention signée,  de confier, à des fins pédagogiques, quatre engins, voués à la destruction, au lycée Fertet de Gray. Cet établissement est spécialisé dans les métiers de l’automobile et des transports. Les motocycles serviront aux élèves dans le cadre de leurs cours en atelier.

L’université de Franche-Comté met tout en œuvre pour aider et soutenir la communauté universitaire afghane, notamment grâce au programme PAUSE. Ce programme a pour objectif d'accueillir et de protéger des chercheurs originaires de pays où la situation politique met leurs travaux et leurs familles en danger. L’établissement bisontin indique que «  ce programme est ouvert à tous les membres de la communauté universitaire afghane qui en feraient la demande ».

Ancien élève du lycée agricole de Levier, le Jurassien Paul Vacelet (20 ans), originaire de Cuvier, a reçu ce lundi à Paris, le premier prix national du meilleur dossier de stage BTS agricole par le Conseil de l’Ordre des Experts Comptables. Après une sélection régionale à Beaune en octobre 2020, son travail a été reconnu nationalement.

Le jury a apprécié la façon dont le jeune homme a raconté son vécu, mais surtout le regard,  les problématiques et les solutions qu’il a su poser sur le métier. L’étudiant s’est intéressé à ce qui pouvait être mis en place au sein d’une ferme pour diversifier son activité et ses revenus et mieux mettre en valeur la production, tout en ne surchargeant pas de travail l’exploitant, dont les journées sont déjà bien remplies.

Pour Paul, cela passe sans doute par une diminution de la quantité de lait produit pour mieux valoriser le produit final. L’idée étant de faire endosser aux producteurs, l’habit de VRP. Qui mieux qu’eux sont capables de parler de leur terroir et partager surtout la passion et l’investissement qui sont mis en œuvre pour apporter le meilleur produit aux clients. Peut-être une révolution parfois dans les mentalités, mais qui correspond aussi aux attentes de la clientèle, désireuse de consommer local et de privilégier les achats au plus près de chez elle, pour des raisons économiques, mais également environnementales.

L'interview de la rédaction

Pour la cinquième année, à l’initiative du proviseur de l’établissement, deux journées d’intégration sont organisées actuellement au lycée professionnel Toussaint Louverture.

Pour l’équipe éducative, les objectifs sont multiples. Tout d’abord, cette action éducative permet aux jeunes et aux adultes de mieux se connaître et au groupe d’adolescents d’apprendre à vivre ensemble. Pour l’établissement scolaire, cela permet aussi de repérer les jeunes les plus fragiles et les plus en difficulté et de prévoir l’accompagnement qui leur permettra de réussir au mieux leur scolarité.  Pour se faire, ces journées pédagogiques se déclinent en trois temps :

Une première journée d’intégration qui permet de rencontrer les adultes référents de l’établissement et connaître leur mission et leur rôle. Lors de la deuxième journée, les participants vivent différentes activités qui, cette année, se déroulent à Malbuisson. Le lycée se sert d’un évènement auquel il a activement participé l’année précédente pour organiser ces temps collectifs. L’établissement ayant fabriqué le kiosque d’accueil de l’exposition « Malbuisson Art » et les plots assurant la mise en place des œuvres présentées, c’est tout naturellement que jeunes et adultes ont fait le déplacement à Malbuisson.

LYCEE TOUSSAINT LOUVERTURE INTEGRATION 2

Vivre des activités culturelles et sportives

TOUSSAINT LOUVERTURE INTEGRATION 2

 

90 jeunes étaient présents ce jeudi. 90 autres leur emboîteront le pas vendredi. Au programme : un parcours culturel à la découverte des œuvres présentées dans le village, une croisière en bateau et une randonnée en canoë kayak sur le lac Saint-Point. L’ambiance est bon enfant. Tout le monde s’amuse et semble parer pour bien amorcer cette nouvelle année scolaire.

Le reportage de la récation

Du 13 au 18 septembre, le CCAS de Pontarlier et son service, le Relais Petite Enfance, organisent  la semaine "Tous famille » qui abordera des questions autour de la parentalité.  Cette initiative est portée par le collectif Petite Enfance,  qui est un ensemble de partenaires exerçant dans le champ de l'enfance sur tout le Haut Doubs. Ainsi,  des activités gratuites et des moments pour parler, écouter, et s’enrichir de l’expérience des autres seront proposés. Animations, ateliers et conférences rythmeront cette semaine.

Pour tout savoir sur cet évènement : https://www.ville-pontarlier.fr/page/vivre-a-pontarlier/vie-quotidienne-2/petite-enfance/relais-petite-enfance

Suite à un cas de covid-19 dans une classe de Vaux-et-Chantegrue, dans le Haut-Doubs, les autorités ont décidé de procéder à la fermeture, durant une semaine, de cette classe de CM1/CM2. Cette mesure fait suite au protocole mis en place par le gouvernement pour éviter la propagation du virus.  Rappelons que, dans le 1er degré, la présence d’un seul cas de covid, engendre automatiquement la fermeture de la classe durant sept jours.  Cette décision inquiète certaines familles, qui doivent désormais organiser la prise en charge de leurs enfants. Pas facile de se rendre disponible en journée lorsque l’on doit assurer sa vie professionnelle également.

Continuité pédagogique

Eloignés de l’école, les enfants suivront la classe à distance. Selon le parent que nous avons pu joindre, cette organisation est d’ores et déjà mise en place. Dès qu’elle a eu connaissance de cette situation, l’ARS a pris contact avec les familles et des tests ont été réalisés. Beaucoup craignent que ces situations se multiplient Le Rectorat devrait communiquer dans les prochains jours sur la situation épidémique dans les établissements scolaires de l’académie de Besançon.  

L'interview de la rédaction : Un parent d'élève

Deux jours après la rentrée des classes, Patrice Durand, directeur de l’inspection académique du Doubs, a présenté le visage définitif de la carte scolaire dans le 1er et le 2nd degrés. Au final, dans le 1er degré, l’inspection académique du Doubs a procédé à 95 fermetures et 60 ouvertures. Malgré 300 élèves en moins, huit postes d’enseignants supplémentaires ont été accordés. Concernant la situation de l’école Courbet d’Ornans et celle de Durnes, Mr Durand ne rouvre pas les deux classes souhaitées par les parents. Néanmoins, le DASEN a décidé d’annuler les fermetures envisagées dans six écoles (Bethoncourt Ferry, Chaffois, Geneuille, Mesandans, Naisey-les-Granges et Taillecourt et de procéder à l’ouverture de trois classes à l’école Prairie de Montbéliard, à Exincourt et à Besançon Helvétie.

Concernant le 2nd degré, Jean François Chanet, le recteur de l’académie,  avait annoncé la suppression de 41 postes, « au titre de l’évolution démographique nationale et du redéploiement entre académies. Concernant le département du Doubs, M. Durand annonce « une répartition en fonction des spécificités sociales ».

Les tests salivaires

En coordination avec l’ARS, des tests salivaires seront menés dans les territoires où le besoin s’en fera sentir. Cette mesure mise en place lors de la précédente année scolaire se poursuit. Elle avait montré toute son efficacité dans la traçabilité du virus. Rappelons que pour mieux lutter contre la propagation du virus, un plan, composé de 4 niveaux, a été mis en place par l’éducation nationale, en collaboration avec l’ARS. Actuellement, le plan 2 est activé.

La vaccination

La campagne de vaccination dans les établissements scolaires débutera ce lundi dans le département du Doubs. Une équipe mobile de l’ARS assurera cette mission. Selon des chiffres de l’inspection académique du Doubs, le  taux de vaccination des 12-17 ans  s’élève à 60% pour les primo-vaccinés et à  40% pour les  vaccinés totalement. Rappelons que dans l’académie de Besançon,  90%  des enseignants sont primo-vaccinés.

L'interview de la rédaction : Patrice Durand

Ce matin, dans le secteur du Grand Besançon, dans le cadre du plan Vigipirate, une opération de sécurisation des abords des établissements scolaires était menée par la gendarmerie. Au collège Jean Jaurès de Saint-Vit, deux patrouilles étaient présentes. Cette action avait pour principaux objectifs de rassurer les enfants et les parents,  veiller à la sécurité des lieux et éviter des rassemblements de contestation, liés au pass sanitaire, qui auraient pu venir perturber cette deuxième journée de rentrée des classes. Le collège saint-vitois  compte 800 jeunes et 100 adultes.

Cette action s’effectue tout au long de l’année. Les chefs d’établissement appréciant d’ailleurs de pouvoir rencontrer et échanger avec les forces de l’ordre. A Saint-Vit, comme ailleurs, les opérations de sensibilisation et de sécurisation sont nombreuses durant l’année scolaire. A ce sujet, une convention existe entre le ministère de l’éducation nationale et le ministère de la sécurité intérieure pour permettre aux forces de l’ordre d’intervenir dans les établissements scolaires afin d’échanger avec les adultes et les élèves. Un référent sécurité est également nommé dans chaque collège et lycée. Cet intervenant a pour mission de conseiller les chefs d’établissement dans le domaine de la sécurisation des lieux par exemple ou de mener et d’organiser des opérations éducatives pour les adolescents et leurs familles.  L’aspect répressif n’est également pas à occulter.

Le reportage de la rédaction :

En ce jour de rentrée des classes, Anne Vignot, la maire de Besançon, et Claudine Caulet, l’élue à l’éducation , aux écoles et à la restauration, se sont rendus durant la pause méridienne à l’école Bersot. Un moyen d’évoquer cet autre aspect de l’école et l’intérêt que porte la Ville à la qualité des repas qu’elle propose quotidiennement aux enfants. Chaque jour, la cuisine centrale bisontine confectionne 6000 repas, dont 5500 pour les écoles et 500 pour les enfants accueillis en crèche. Consciente que cela reste encore insuffisant, la majorité municipale espère pouvoir améliorer encore le dispositif existant. D’une part parce qu’environ 180 enfants ne peuvent toujours pas être accueillis dans les cantines bisontines, mais aussi parce que la municipalité veut tendre vers une composition des menus élaborés à partir de produits frais, émanant du local.

Et pour demain ?

CANTINE BESANCON

 

Les plats proposés tous les midis sont concoctés par 21 cuisiniers bisontins. A travers son cahier des charges, la Ville de Besançon est très attachée à la qualité des produits utilisés. Chaque année, elle consacre 1,4 million d’euros dans l’achat des denrées alimentaires « pour permettre d’avoir du bio, du local et des produits frais ». Par exemple, les yaourts proviennent de l’ENIL de Mamirolle. Concernant l’avenir, la cité comtoise  aimerait pouvoir agrandir davantage sa cuisine municipale, mais les finances manquent sur ce mandat.  L’idée « d’optimiser au maximum » l’achat des matières premières vers la filière locale est un objectif prioritaire.

L'interview de la rédaction : Claudine Caulet, 

 

Depuis ce matin, les jeunes français ont repris le chemin de l’école. Cette année, Christine Bouquin, la présidente du département du Doubs a choisi, parmi les 61 collèges que compte le département du Doubs, de se rendre à Ornans, au collège Pierre Vernier. Un moyen d’apprécier les moyens mis à disposition à cet établissement scolaire. En 2021, le Département du Doubs a budgété environ 35 millions d’euros pour la politique des collèges. A cela viennent s’ajouter 850.000 euros supplémentaires pour répondre aux enjeux sanitaires du moment et renforcer les équipes pour lutter contre la diffusion du virus dans les collèges du département. Christine Bouquin est au micro de la rédaction.

A travers ce déplacement dans la vallée de la Loue, Christine Bouquin a voulu mettre en valeur l’engagement de sa collectivité sur tous les territoires, qu’ils soient ruraux ou urbains. La patronne du Département du Doubs a voulu également mettre en exergue les différentes politiques qu’elle soutient, comme l’inclusion des élèves en situation de handicap le renforcement des circuits courts dans la conception et la préparation des repas en direction des jeunes et le développement du numérique.

Soutien aux agents des collèges

Une fois n’est pas coutume, Christine Bouquin a souhaité commencer sa visite par un temps d’échange et de discussion avec les agents du collège Pierre Vernier. L’élue est venue les remercier pour « l’investissement dont ils ont fait preuve depuis le début de la pandémie ». Les agents en ont également profité pour lui faire part de la situation actuelle de l’établissement, qui se trouve en sous-effectif, ce qui rend la tâche de travail encore plus compliquée. A Ornans, comme dans beaucoup d’autres collèges du département, seuls les élèves de sixième ont fait leur rentrée ce jeudi. Les élèves des autres niveaux seront de retour à compter de ce vendredi.

L'interview de la rédaction : Christine Bouquin