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Un coup de chapeau au Maîchois Benoît Ego. Ce chef d’entreprise, traiteur, a pris la troisième place du 1er championnat de planche apéritive qui s’est déroulé le 12 avril dernier à Paris lors du salon Sandwich & Snack Show. Les participants devaient réaliser des planches alliant esthétisme et mélange de saveurs, avec de la charcuterie italienne et d’autres produits, tels que des fromages, des légumes, des fruits et bien d’autres choses. Trois épreuves techniques et créatives étaient au programme.

Après l’annonce du départ du portier Aristide Ewe, après deux saisons en Franche-Comté, le Grand Besançon Doubs Handball annonce la venue de l’international belge Sébastien Danesi la saison prochaine. Le jeune arrière gauche s’est engagé pour deux saisons avec le club du président Christophe Vichot.

Le triptyque cycliste franc-comtois se poursuit. Après la Classic Grand Besançon, les amoureux de la petite reine vont encore pouvoir se régaler. Ce samedi 15 avril, place au Tour du Jura et ses près de 166 kilomètres entre Poligny et le Mont de Poupet. Dimanche, on remet cela, avec le Tour du Doubs, qui s’annonce, cette année encore, périlleux, avec une arrivée sur les hauteurs de Pontarlier, au Larmont, après six kilomètres d’ascension et un parcours de 200 kilomètres

TOUR DU JURA

Le coup d’envoi de l’épreuve jurassienne sera donné fictivement à Poligny, avenue de la Gare à 10h13. La caravane prendra le départ à 9h45. L’arrivée se tiendra au sommet du Mont Poupet entre 14h20 et 14h35. Le peloton traversera notamment les communes de Montholier, Bersaillin, Mont-Sous-Vaudrey, Vadans, Arbois, Marnoz, Cernans, Salins les Bains et Lemuy. Trois difficultés sont au programme : le col du Coda, la côte de Thésy et le Mont Poupet, à 836 mètres d’altitude.

Le Tour du Doubs

PARCOURS TOUR DU DOUBS 2

 

Le lendemain, il faudra également du jus  aux coureurs du Tour du Doubs. Comme les deux jours précédents, 20 équipes seront alignées sur la ligne de départ. Les supporters de Thibaut Pinot seront au rendez-vous pour la dernière saison de sa carrière. 200 kilomètres animeront les débats, avec un départ fictif de Morteau, place de la Halle, dimanche matin, vers 11h40. L’arrivée est prévue au Larmont, entre 16h15 et 16h30. Le parcours traversera les communes de Remonot, Gilley, Orchamps-Vennes, Belleherbe, Pierrefontaine, Epenoy, Levier, Frasne, Malbuisson, Oye et Pallet et Pontarlier, par l’avenue de l’Armée de l’Est, avant d’attaquer la montée du Larmont.

PARCOURS TOUR DU DOUBS

Publié dans Actualités

Ligue 2

FC Sochaux Montbéliard 2 – 3 Pau

National 2 masculine

Wasquehal 0 – 1 Racing Besançon

Bobigny 1 – 0 ASM Belfort

Jura Sud 4 – 2 Sète

National 3 masculine

Besançon Football 4 – 1 Quetigny

Jura Dolois 3 – 2 Saint Apollinaire

Gueugnon 0 – 0 CA Pontarlier

Selongey 1 – 0 FC Sochaux Montbéliard (2)

Grandvillars 0 – 3 Macon

Dijon (2) – FC Morteau Montlebon

Régional 1

Groupe B

Champagnole 2 – 1 Chalon

Lons le Saunier 4 – 1 La Chapelle Guinchay

Levier – Bresse Jura Foot (reporté)

Pontarlier (2) 3 – 1 Fauvernay

Jura Sud Foot (2) 2 – 0 Jura Lacs

Louhans Cuiseaux (2) 3 – 2 Saint Vit

Groupe C

Ornans 1 – 1 Jura Dolois (2)

Lure 1 – 0 Valdahon Vercel

Vesoul 5 – 0 4 Rivières 70

USPV 1 – 2 Racing Besançon (2)

Belfort (2) 1 – 1 Belfort Sud

Baume les Dames 3 – 1 Audincourt

Douzième journée de mobilisation contre la réforme des retraites ce jeudi. Des rassemblements se sont tenus ce matin dans le Jura. Ils étaient 350 à Saint-Claude et plus de 900 à Dole. Cet après-midi, les opposants à la réforme se sont donné rendez-vous à Besançon, où ils étaient 4000, et Lons-le-Saunier. Le dernier rassemblement est prévu à Pontarlier, sur la place d’Arçon.

Dans les cortèges, la décision du conseil constitutionnel de ce vendredi est très attendue. Cette nouvelle mobilisation pourrait être la dernière dans sa forme actuelle. Laurent Berger, le leader de la CFDT, ayant annoncé qu'il respecterait le verdict des Sages et a assuré que son syndicat « ne fera pas de manifestations pendant six mois Â».

Dans l’affaire du corps retrouvé calciné le 9 mars dernier, dans un bois, sur la commune de Thise, on a appris ce jeudi matin, par le Procureur de la République de Besançon, que cinq hommes avaient été interpellés et placés en détention. Parmi ces individus, le dénommé Tiks, le tueur présumé d’Abdelkader Mesref, dans le quartier des Vaîtes, interpellé le 24 mars à Marseille, mais également quatre autres proches de cet homme, âgés de 35, 33, 31 et 21 ans, issus de la communauté des gens du voyage. Ces personnages présentent, pour certains, « des casiers judiciaires particulièrement lourds Â». L’enquête a permis d’établir leur implication, dans l’affaire du bois de Thise, grâce à des données de téléphonie.

Selon toute vraisemblance ces individus seraient impliqués dans l’assassinat de Selim Touel et pour ce qui est, pour l’heure en tout cas, la disparition d’un jeune homme de 21 ans, dont les autorités restent sans nouvelles. Les investigations menées par la section de recherche de la gendarmerie de Franche-Comté ont permis de récolter de précieuses informations qui ont fait grandement avancer cette enquête, qui, pourtant semblait bien difficile au départ.

L’appartement de la rue des Roses

L’autopsie du corps de Sélim Touel a révélé que ce dernier avait été tué avant d’être brûlé. La location d’une voiture, de marque audit, par une des victimes, équipée d’un système GPS, a facilité les investigations. Son balisage a permis de constater que ce véhicule, retrouvé brûlé, le 10 mars, à Pirey, s’était rendu à quelques mètres de l’endroit où le corps de Touel avait été découvert. Il aurait donc servi à transporter la victime, décédée ou vivante, dans le bois où son corps  a été brûlé. Autre point important, la localisation de l’appartement où les deux victimes auraient été séquestrées. Il s’agit d’un logement situé rue des Roses à Besançon. A ce sujet, des traces de sang ont été retrouvés dans ce lieu, dont celles du jeune homme toujours  porté disparu. Autre point décisif dans cette enquête, l’identification de deux individus, proches de Tiks, qui ont été aperçus,  grâce à une caméra de vidéosurveillance,  entrain de remplir deux  jerricanes d’essence dans une station-service. « Ce qui peut correspondre au volume d’essence nécessaire pour faire brûler le corps Â» indique Etienne Manteaux, le Procureur de la République de Besançon.

Pour l’heure, les cinq hommes ont été entendus. Ils ont été placés en détention. Trois d’entre eux ont été mis en examen. Les deux autres ont été réincarcérés et seront entendus prochainement. Le dénommé Tiks a fait valoir son droit à garder le silence. Néanmoins, le magistrat instructeur a décidé de sa mise en examen pour les chefs d’assassinat, séquestration sans libération volontaire avant sept jours en lien avec un autre crime, association de malfaiteurs en lien avec du trafic de stupéfiants et trafic de stupéfiants  Quant aux quatre autres individus, ils nient toute implication.

Cette enquête n’est pas encore bouclée. D’autres investigations sont en cours.

Le Grand Besançon Métropole a annoncé ce jeudi 13 avril la future acquisition de nouvelles rames de tramways, mises en place dès la rentrée scolaire de septembre 2025. Au nombre de cinq, elles viendront s’ajouter aux 19 autres, un changement qui viendra améliorer la fréquence de passage de ceux-ci ainsi que leur capacité de transport.   

Ce jeudi 13 avril s’est tenu un vote au Conseil communautaire au cours duquel l’entreprise ALSTOM s’est vu attribuer le marché d’acquisitions des nouvelles rames de tramway. La décision avait été prise par l'ensemble des élus du Grand Besançon Métropole en 2021, afin d’atténuer la saturation fréquente des lignes T1 et T2 aux heures de pointe. Après mûres réflexions, un choix de groupement de commandes avec d’autres collectivités fut avancé, en l’occurrence avec les villes de Brest et de Toulouse. C’est lors du second appel d’offre, que le candidat français ALSTOM a réussi à rafler la mise, en négociant efficacement 3,6 millions d’euros le prix d’une seule rame de tramway.  Bien plus que le prix des premières rames achetées lors des débuts du tramway bisontin, qui était à cette époque d’environ 2 millions d’euros. Une hausse importante due à l’inflation des prix des matières premières mais aussi, à la taille des nouvelles rames de tram qui est plus importante.  

Le temps, c'est de l’argent 


Ces nouvelles rames françaises et Ã©co-conçues, livrées entre mars 2025 et juin 2025, seront bien plus performantes que celles déjà en service. Celles-ci mesurant 24 mètres environ et pouvant transporter 150 voyageurs au maximum, les nouvelles rames de tramway feront elles, 32 mètres de long avec une capacité de transport de plus de 200 voyageurs. Ã€ terme, cette acquisition va ainsi permettre de passer d’un tram toutes les 12 minutes à un tram toutes les 10 minutes sur chaque ligne, raccourcissant le temps d’attente maximum des usagers à 5 minutes sur le tronc commun des Hauts du Chazal jusqu’à Parc Micaud. 

Pas de nouvelles infrastructures pour l’instant mais de nouvelles rames dont les matériaux sont français. En effet, les moteurs seront fabriqués à Ornans, les bogies et amortisseurs au Creusot, les transformateurs et système de traction à Petit-Quevilly, la chaine de traction électrique à Tarbes, l’électronique ferroviaire à Villeurbanne, l’assemblage des rames et l’intégration des équipements se feront à La Rochelle. Par ailleurs, ALSTOM prend également en compte l’empreinte environnementale de son nouveau matériel roulant dès sa conception pour la minimiser. Notamment grâce à des éclairages 100% LED, l’intégration de 25% de matériaux recyclés ainsi qu’une réduction de la consommation globale de traction de 33%. 

L'interview de la rédaction : Marie Zehaf, en charge des transports à Grand Besançon Métropole

Un individu devra s’expliquer en juin prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Le 11 avril dernier, les policiers ont été avertis qu’un individu, alcoolisé, tenait deux couteaux de cuisine, avec lames apparentes dans une main,  et une bouteille de whisky au ¾ vide dans l’autre main, dans les parties communes d’un immeuble à Besançon, rue des Boucheries.

Malgré les injonctions des forces de l’ordre, le quadragénaire refusait de lâcher les objets coupants et continuait de boire son breuvage. Son interpellation a été mouvementée. Il a finalement été placé en garde à vue avec droits différés en raison de son état d’ivresse. Il refusa que l’on procède à son contrôle d’alcoolémie. Aucune plainte n’a été déposée. Au cours de son audition, il a reconnu les faits et a été remis en liberté le 12 avril, en fin d’après-midi.