Formée au Val de Gray Handball puis à l’ESBF depuis 2017, Ema Cordier a franchi toutes les étapes jusqu’à intégrer l’équipe professionnelle cette saison. Après un passage à Saint-Amand Handball en décembre 2024, elle poursuivra son parcours en Division 2 au sein de l’ASUL Vaulx-en-Velin.
Ce samedi 7 juin à 16h, au gymnase des Montboucons, le Besançon Académie Futsal disputera son match retour d’accession à la Division 2 Nationale face à Saint-Priest (69). Sacrés champions régionaux de Bourgogne-Franche-Comté, les Bisontins auront besoin du soutien de leur public pour renverser la tendance après un match aller difficile. Ouverture des portes à 15h15, entrée à 2 euros pour toutes et tous. Buvette et paiements CB disponibles.
À l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, Keolis Besançon Mobilités et la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO) Bourgogne-Franche-Comté ont officialisé leur partenariat en signant une convention visant à renforcer la prise en compte des enjeux écologiques sur les deux sites stratégiques de l’entreprise : le dépôt de bus de Planoise et le centre de maintenance du Tramway des Hauts-du-Chazal
Cette collaboration s’inscrit dans la démarche RSE de Keolis Besançon Mobilités et a déjà donné lieu à des actions concrètes, telles que la mise en place d’une gestion raisonnée des espaces verts, l’installation de nichoirs et l’organisation de journées de sensibilisation.
Pour suivre les avancées de ce projet, rendez-vous sur www.keolis-besancon.com.
La Communauté de communes Loue Lison annonce des avancées concernant les via ferrata locales. À Ornans, les travaux de sécurisation ont permis d’éliminer les risques géotechniques élevés. La mairie a pris un arrêté officialisant la réouverture complète de la via ferrata de la Roche du Mont ainsi que de son sentier d’accès dès ce samedi 7 juin. À Nans-Sous-Sainte-Anne, les travaux ont débuté et une réouverture partielle est envisagée pour la deuxième quinzaine de juin. Plus d’informations à venir sur www.cclouelison.fr.
Le tribunal correctionnel de Besançon a annulé ce vendredi 6 juin le procès pour diffamation visant Yona Faedda, militante du groupe d’extrême droite Némésis, à la suite d’un vice de procédure. Elle était poursuivie pour avoir diffusé sur les réseaux sociaux un tract accusant la maire écologiste de Besançon, Anne Vignot, de soutenir les "violeurs étrangers". La citation à comparaître, jugée irrégulière, a été déclarée nulle, provoquant la fin immédiate de l’audience.
À l’extérieur comme à l’intérieur du tribunal, l’ambiance était tendue, avec des rassemblements de part et d’autre. L’annulation du procès n’éteint pas l’affaire : une seconde plainte déposée directement par Anne Vignot est en cours d’instruction. Une nouvelle audience est attendue, à une date encore inconnue.
Le 3 juin, place Cassin, à Besançon, un contrôle mené par la brigade spécialisée de terrain sur un point de vente illégal de cigarettes a conduit à l’interpellation d’un homme de 20 ans. Pris en flagrant délit, il a tenté de fuir, puis a opposé une résistance avant d’être maîtrisé. Il était en possession de 1.655 euros, issus de la vente.
Déjà sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français, il a été placé en garde à vue et a reconnu les faits. À l’issue, il a été assigné à résidence et convoqué pour une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité en décembre.
Dans la nuit du 3 juin, un contrôle routier effectué par la BAC sur le boulevard Kennedy, à Besançon, a conduit à l’interpellation de quatre occupants d’un véhicule roulant à vive allure. Une forte odeur de cannabis émanait de l’habitacle.
La fouille a permis la découverte de 249 g de cannabis, 8800 euros et un couteau à cran d’arrêt détenu par l’un des passagers. Les trois autres individus ont été remis en liberté après perquisition. Le principal suspect, âgé de 17 ans, a reconnu vendre des stupéfiants depuis trois semaines et a été déféré au parquet.
Le 2 juin, à Planoise, une patrouille de police est intervenue près du collège Diderot après des jets de pétards visant la façade de l’établissement à l’entrée des élèves. Un mineur de 13 ans a été identifié comme l’auteur des tirs de mortier d’artifice, causant une blessure légère à un élève de 14 ans.
Rapidement identifié grâce aux informations du Principal, le suspect avait été exclu de l’établissement pour menaces envers une enseignante et du personnel scolaire. La police a exploité la vidéosurveillance, permettant d’obtenir une description précise de l’individu. Le 3 juin, à 6h50, le jeune a été interpellé au domicile de sa mère et placé en garde à vue. Une perquisition a permis de retrouver les vêtements portés lors des faits.
Le collégien blessé a reçu une ITT d’un jour et son responsable légal a porté plainte. L’auteur des tirs a reconnu les faits, expliquant avoir agi en représailles à sa exclusion disciplinaire, sans viser particulièrement quelqu’un. L’enquête n’a révélé aucun processus de radicalisation. À l’issue de sa garde à vue, le mineur a été remis en liberté sous contrôle judiciaire.