Hier soir, vers 19h30, les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus pour un feu d’appartement dans un bâtiment de deux étages à Dole, quai Pasteur. L’action rapide des secouristes a permis d’éviter la propagation des flammes. Il n’y a pas eu de blessé.

Ce jeudi matin, vers 11h45, les sapeurs-pompiers sont intervenus pour un feu d’origine électrique dans l’isolation du faux plafond dans la cuisine de la boulangerie de Chalezeule, près de Besançon. Le feu a été éteint avant l’arrivée des secours. Sept personnes ont été placés au chômage technique.

Une légère pollution aquatique s’est produite jeudi matin à Villers-le-Lac dans la rivière. Les pluies de la matinée sont sans doute à l’origine de cet incident. Deux éléments de barrage de 15 mètres ont été mis en place par les secouristes.

La foudre a touché les équipements de la station dans la nuit de mercredi à jeudi. Généralement, la radio, qui dispose de sa propre équipe technique, a tous les éléments pour dépanner 7 jours sur 7 les éléments de diffusion à destination des auditeurs. « Mais là, c’est un incident rarissime qui vient de se produire, que nous n’avions pas connu depuis 15 ans » précise le responsable de la station Sébastien Widmer.

« La foudre s’est abattue sur l’ensemble de nos équipements et perturbe les émissions FM à Pontarlier, nous devons déployer des moyens conséquents ainsi que du personnel extérieur agrée pour les travaux en grande hauteur pour y remédier » poursuit-il.
Et de terminer : « nos équipes techniques travailleront ce week end pour assurer un rétablissement dans les meilleurs délais, qui sera connu dans les prochaines heures »

Seules les émissions sur le secteur de Pontarlier sont concernées par ces perturbations.

Ce week-end, les policiers sont intervenus rue Tristan Bernard à Besançon pour un différend familial. Au cours de l’intervention, un homme a été découvert en possession de 1,5kg d’héroïne. Il a été placé en garde à vue. Il était jugé ce jeudi en comparution immédiate. Il a été condamné à 15 mois de prison, dont 5 mois ferme.

La Pive évolue. L’objectif est de proposer un paiement numérique en complément des billets. Via une application, les particuliers pourront payer avec leur smartphone. Ainsi, pour changer d’échelle, elle a lancé un financement participatif jusqu’au 25 juillet. L’organisateur aimerait atteindre la somme de 10.000 euros.

4.300 euros ont déjà été récoltés depuis la mi-juin. Pour participer à cette campagne, il suffit de se rendre sur le site « Hello Asso ». La levée de fonds actuelle servira à déployer cette monnaie numérique, c’est-à-dire l’installer chez les professionnels, les former à son utilisation et à la gestion des paiements.

Jean-François Colombet, le nouveau préfet du Doubs, prendra officiellement ses fonctions ce lundi 12 juillet à 15h30. A 11h, le représentant de l’état se rendra au mémorial de l’esplanade des Glacis à Besançon, en l’honneur des victimes de guerre, puis au monument aux morts de la préfecture.

A 15h30, il recevra les représentants de la presse régionale. M. Colombet exerçait jusqu’à présent à Mayotte. Il succède à M. Joël Mathurin, nommé dans le Morbihan.

Ce jeudi, la chaîne d’info BFM TV a publié un sondage stipulant que 61% des Français étaient favorables à des mesures de restriction plus contraignantes pour les non-vaccinés. Qu’en pensent les Bisontins ? Nous sommes allés leurs poser la question ce matin dans les rues du centre-ville.
Même si notre micro-trottoir n’a aucune valeur de sondage sur la question, il apparaît que majoritairement nos interlocuteurs ne souhaitent pas qu’une telle mesure soit imposée.

Et ce, pour différentes raisons. Tout d’abord, parce qu’ils n’ont pas confiance en ces vaccins et parce qu’ils jugent le recul insuffisant pour apprécier leur efficacité et leur éventuel effet à plus ou moins long terme sur la santé. Globalement, si certains souhaiteraient que la vaccination soit imposée aux soignants, d’autres sont plus nuancés et prônent la liberté de choix.

Ils demandent ainsi au gouvernement de prendre les mesures nécessaires pour que chacun, en fonction de ce qu’il souhaite, puisse évoluer avec les mêmes libertés au sein de la société. Certains comptent sur la lucidité de chacun pour adopter les comportements adéquats lorsque l’on est en collectivité.
Si une loi venait à imposer la vaccination, nos interviewés admettent qu’ils se soumettront à cette décision, mais personne ne le souhaite vraiment.

Le micro-trottoir de la rédaction