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Un nouveau conseil communautaire est prévu ce jeudi soir. Parmi les sujets qui seront abordés, celui concernant le  Règlement Local de Publicité Intercommunal. Un document clé pour encadrer l’affichage publicitaire à l’échelle de Grand Besançon Métropole (GBM).

 Cette réflexion est menée depuis 2023. L’objectif étant d’harmoniser les 18 règlements hérités des différentes communes. La collectivité a souhaité ainsi établir un cadre cohérent et partagé, tenant compte des enjeux paysagers, environnementaux, patrimoniaux et commerciaux. « Depuis 2019, l’agglomération est compétente en matière de publicité. Nous avons donc lancé une concertation large avec les élus concernés, les afficheurs, les associations environnementales et les professionnels du secteur », a expliqué Aurélien Laroppe, vice-président à Grand Besançon Métropole, en charge de ce dossier. Aujourd’hui, sur les 69 communes que compte Grand Besançon Métropole, 49 ont souhaité transmettre ce dossier à GBM.

L'interview de la rédaction : l'élu Grand bisontin Aurélien Laroppe

Cinq zones, deux logiques

Le document  repose sur un zonage à cinq niveaux, allant du plus contraint au plus permissif.

Zone 1 : les centres historiques, comme la Boucle ou Battant, où seules les publicités inférieures à 2 m² seront autorisées, uniquement sur du mobilier urbain type abribus.

Zone 2 : les quartiers résidentiels, également soumis à de fortes restrictions.

Zone 3 : les espaces naturels, où la publicité est quasiment proscrite.

Zone 4 : les grands axes d’entrée de ville (rue de Vesoul, rue de Dole…), avec un format publicitaire autorisé jusqu’à 4,7 m².

Zone 5 : les zones d’activités et commerciales, où la publicité pourra atteindre le maximum légal de 10,5 m², dans des formats standard.

« Il s’agit de concilier visibilité pour les annonceurs et qualité du cadre de vie pour les habitants », a souligné M. Laroppe.

L'interview de la rédaction : l'élu Grand bisontin Aurélien Laroppe

Une écoute des acteurs du territoire

Les professionnels du secteur — notamment les enseignistes et commerçants — ont été associés à la démarche. Les discussions ont notamment porté sur les enseignes commerciales, souvent plus sensibles pour les commerçants que l'affichage urbain classique. Des ajustements ont été intégrés au projet de règlement pour tenir compte des contraintes techniques et esthétiques. C’est la raison pour laquelle, si la réflexion est approuvée demain soir, elle laissera deux ans aux entreprises disposant de panneaux publicitaires pour se mettre aux normes. Les commerçants auront six ans pour prendre les dispositions nécessaires.

L'interview de la rédaction : l'élu Grand bisontin Aurélien Laroppe

Avec une fréquentation annuelle, comprise entre 7.500  et plus de 10.000 congressistes,  entre 2022 et 2025, Besançon  est une terre qui séduit. Anne Vignot, maire de Besançon, ne cache pas son plaisir de voir son territoire de vie et la politique qu’elle y décline susciter un intérêt national.  Les congrès jouent un rôle essentiel dans l'économie locale, apportant des retombées directes aux commerces, hôtels et restaurants, mais ils mettent également en lumière des décisions novatrices et intéressantes dans certains domaines. Le prochain colloque « Ville Santé », qui se tiendra les 11, 12 et 13 juin, en est la preuve.

Un levier économique majeur

À Besançon, les congrès génèrent une dynamique économique importante. Chaque euro investi dans l'organisation d'un colloque ou d'un événement revient sous forme de consommation locale. Les hôtels affichent complet, les restaurants voient leur fréquentation grimper et les visiteurs prennent le temps de parcourir les rues, visitant musées et sites emblématiques.

L'interview de la rédaction : Anne Vignot

 

Le colloque "Ville Santé"

Au-delà des aspects économiques, certains congrès revêtent une portée sociale et politique particulière. Le colloque "Ville Santé", organisé à Besançon, met en avant la thématique de la santé globale et du bien-être. La ville s'est distinguée par des politiques intégrant ces enjeux, que ce soit sur la mobilité, la qualité de l'air et de l'eau ou encore l'aménagement des espaces publics pour favoriser une meilleure qualité de vie. Cette reconnaissance pour le travail accompli et ses résultats, ce petit laboratoire local, n’ont pas manqué de susciter l’intérêt de l’Organisation Mondiale de la Santé, qui a choisi Besançon pour son prochain colloque, qui portera sur la thématique « « jeunesse, santé et bien-être ». À travers des politiques locales axées sur l'accompagnement, Besançon vise à créer un cadre propice à l'épanouissement de ses habitants.

L'interview de la rédaction : Anne Vignot

Un engagement politique affirmé

Les décisions politiques autour du soutien aux initiatives culturelles et sociales sont scrutées. La ville, historiquement engagée dans le domaine de la santé et de la recherche, cherche à préserver ses financements, malgré certaines réductions budgétaires. Ce positionnement témoigne de la volonté de maintenir une politique urbaine centrée sur le bien-être des citoyens, à travers la culture, l'aménagement du territoire et la préservation des espaces publics adaptés à tous.

Besançon poursuit ainsi son ambition de ville engagée, où les congrès et événements participent activement à son rayonnement et à l'amélioration de la qualité de vie de ses habitants.

Au 4ᵉ trimestre 2024, la Bourgogne-Franche-Comté enregistre une diminution de 2.720 postes de salariés, marquant la plus forte baisse depuis la crise sanitaire. Sur un an, 3 600 emplois ont été perdus, principalement dans la construction et l’intérim.

La Franche-Comté accuse une baisse de -1,1 % sur un an, avec 3 070 emplois supprimés, impactant notamment les services, l’intérim et l’industrie. Le Doubs est particulièrement touché, avec 560 emplois perdus (-240 intérims). La perte est de 200 dans le Jura (-50 intérims).

À la fin de 2021, le Jura comptait près de 100 000 emplois, avec une progression constante de l’emploi salarié privé depuis une décennie. Le secteur industriel reste un pilier du département, porté notamment par la chimie et les industries agroalimentaires (IAA), tandis que la plasturgie, le travail du bois et la lunetterie maintiennent leur empreinte.

L’emploi agricole, bien que marqué par une concentration des exploitations, connaît une hausse, avec une montée du salariat. À l’inverse, le secteur non marchand, et en particulier la sphère publique, voit son nombre d’emplois légèrement reculer. Si l’économie jurassienne s’appuie sur des entreprises de taille intermédiaire et des groupes étrangers, ce sont les PME qui ont contribué à 75 % des créations d’emploi entre 2017 et 2021. Ces structures, ancrées localement, affichent une forte productivité, en particulier dans les métiers artisanaux. L’industrie du travail du bois reste stable, tandis que plusieurs secteurs industriels traditionnels souffrent de la concurrence internationale et enregistrent des pertes significatives d’emploi. Le Jura est également confronté à des défis économiques et écologiques majeurs, notamment la hausse des prix de l’énergie et la nécessité de décarboner les processus de production. Face à ces enjeux, le département devra concilier compétitivité et durabilité, tout en assurant la transmission des savoir-faire face aux nombreux départs à la retraite des travailleurs issus du baby-boom.

Qui sont les plus gros employeurs jurassiens ?

En 2021, selon les derniers chiffres de l’Insee en vigueur, les sites Inovyn et Solvay de Tavaux et V33 de Domblans sont les trois premiers employeurs du département du Jura. Le premier affiche entre 750 et 999 salariés pour le premier et de 500 à 749 pour le second. La première entreprise du Haut-Jura, implantée à Bellefontaine, la société Signaux Girod, enregistrait, en 2021, entre 200 et 249 collaborateurs.  Précisons qu’un un tiers des établissements, créateurs d'emplois,  dépend d’un groupe. Ils concentrent 65 % de l’emploi salarié, quatre points de moins qu’au niveau régional. Néanmoins, les groupes étrangers sont un peu plus implantés dans le département. Ainsi, près d’un emploi sur huit est lié à une multinationale étrangère, surtout dans l’industrie.

Selon une dernière étude de l’INSEE , avec 258.400 habitants en 2022, le Jura se caractérise par son territoire rural et un faible maillage urbain, rendant l’accès aux services parfois difficile. Le vieillissement de la population accentue les besoins en santé et proximité, tandis que le recul industriel contraste avec un chômage relativement bas, porté par l’attractivité des emplois suisses.

Ce contexte fait que le département doit relever les défis du changement climatique, de la dépendance à la voiture et de la transition énergétique. Si le nord bénéficie de sa proximité avec Dijon et Besançon, le sud reste économiquement fragile, malgré une dynamique démographique dans certaines zones frontalières.

La campagne de déclaration des revenus pour l’année 2025 est officiellement lancée. Dans le Doubs, les services fiscaux sont pleinement mobilisés pour accompagner les contribuables, avec plusieurs nouveautés cette année. Depuis le 10 avril, les contribuables peuvent déjà accéder au service de déclaration en ligne. Pour certains départements, comme le Doubs, la date limite de télédéclaration est fixée au mercredi 28 mai. Ceux qui choisissent encore la voie papier ont jusqu’au mardi 20 mai pour déposer leur déclaration, les envois ayant été effectués entre le 20 mars et le 2 mai.

Quatre grandes nouveautés marquent cette campagne 2025

1. Un taux individualisé par défaut

Cette année, le taux individualisé du prélèvement à la source devient la norme par défaut pour les foyers fiscaux, sauf si ces derniers optent explicitement pour le taux du foyer. Cette mesure vise une meilleure équité fiscale en répartissant l’impôt selon les revenus respectifs de chaque membre du couple. À noter que cette option reste modifiable, via l’espace en ligne sécurisé ou sur les formulaires papier.

2. Moins de déclarations papier envoyées

Face à une réalité frappante — 18 millions de déclarations papier envoyées pour seulement 5 millions retournées en 2024 — la Direction Générale des Finances Publiques (DGFiP) limite désormais l’envoi automatique des formulaires. Seuls les contribuables ayant expressément coché la case “Je souhaite recevoir une déclaration papier en 2025” continueront à les recevoir. Objectif : réduire les coûts, optimiser les ressources et diminuer l'empreinte écologique — une pile de ces déclarations équivaudrait à 10 tours Eiffel !

3. Une application mobile enrichie

Utilisée par 500 000 contribuables en 2024, l’application mobile évolue : elle permet désormais de modifier sa déclaration sur tablette ou smartphone, de signaler un changement d’adresse, et de recevoir un accusé de réception géolocalisé.
Autre nouveauté : les locataires de résidences secondaires à usage professionnel doivent désormais les déclarer, même s’ils ne sont pas propriétaires.

4. Double authentification renforcée dès l’été

Pour sécuriser l’accès à l’espace personnel, la DGFiP mettra en place à l’été une authentification à deux facteurs : en plus du numéro fiscal et du mot de passe, un code de sécurité unique envoyé par mail sera exigé. Cette mesure a été testée avec succès dans l’Eure-et-Loir et le Pas-de-Calais à l’automne dernier.

L'interview de la rédaction : Mme Chantal Goubert, directrice départementale des finances publiques du Doubs

Doubs : un département connecté et fiscalement actif

Dans le Doubs, 64,63 % des contribuables déclarent en ligne, soit près de 200 000 usagers. Le département se distingue également par une part importante de foyers imposables : 53,46 %, contre 46,54 % de non-imposables. Une singularité qui s’explique en partie par la forte présence de travailleurs frontaliers.
En effet, leur nombre ne cesse de croître : 41 510 en 2024, contre 38 694 en 2023, soit une hausse de plus de 7 %. Si la majorité est suivie par les services de Morteau et Pontarlier, Montbéliard et Besançon prennent également une part croissante de cette gestion.
Côté fiscalité patrimoniale, 373 foyers sont soumis à l’Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI) dans le Doubs, pour un montant total de 3,4 millions d’euros en 2024.

L'interview de la rédaction : Olivier Dumont, responsable de la division entreprises et particuliers à la direction départementale des finances publiques du Doubs

Un accueil renforcé pour les contribuables

Pour répondre aux nombreuses questions, les services des impôts des particuliers accueillent les usagers sans rendez-vous chaque matin, notamment à Besançon (08h15-12h45), Montbéliard, Pontarlier et Morteau. L’après-midi est réservé aux rendez-vous individuels.
En complément, 27 Maisons France Services et des permanences dans les casernes (police, gendarmerie, armée) sont aussi mobilisées. Un numéro national gratuit (0 810 094 140) est mis à disposition pour une assistance téléphonique.

Depuis une quinzaine d’années, Grand Besançon Métropole s’est doté de la compétence insertion. Dans un contexte économique compliqué, où le taux de chômage se détériore également sur le territoire du Grand Besançon, jusque-là préservé, la collectivité veut répondre présent. Il en va de la « justice sociale ». Les prochains chiffres de 2025 devraient confirmer cette tendance. A l’image d’Oerlikon, à Mamirolle, ou des enseignes comme Gifi et C&A, à Besançon,  des plans sociaux sont annoncés.

L'interview de la rédaction : Nicolas Baudin, le 2è Vice-président de GBM, en charge de l’économie, de l’emploi et de l’insertion.

Grand Besançon veut jouer un rôle dans le domaine de l’emploi sur son territoire d’action. La collectivité, qui tisse des liens permanents avec le monde de l’entreprise, se présente comme « un facilitateur entre les recruteurs et les futurs salariés ». Elle mène également une stratégie en direction des populations les plus éloignées de l’emploi. L’objectif étant d’accompagner les habitants et les entreprises et de créer les synergies nécessaires pour ne pas fragiliser la capacité des entreprises à répondre aux demandes du marché.

L'interview de la rédaction : Nicolas Baudin, le 2è Vice-président de GBM, en charge de l’économie, de l’emploi et de l’insertion.

Des secteurs en difficulté

Les décisions américaines récentes entraînent une augmentation immédiate de 20% des coûts pour certaines entreprises locales. La construction, la sous-traitance automobile, l’horlogerie, le luxe d’entrée et de gamme intermédiaire et la santé font partie des activités traditionnelles du territoire les plus impactées. En parallèle, le secteur de la défense montre des besoins croissants, pour lesquels les entreprises du territoire doivent être en capacité de répondre. La diversification de ces dernières fait partie des grands enjeux du moment, qui leur permettront d’écarter les risques liés à une dépendance excessive, comme peut la connaître les firmes liées à l’automobile.

L'interview de la rédaction : Nicolas Baudin, le 2è Vice-président de GBM, en charge de l’économie, de l’emploi et de l’insertion.

Suite au décret publié  en France, modifiant les critères définissant l’offre raisonnable d’emploi (ORE) pour les travailleurs frontaliers en situation de chômage, le 21 mars dernier, la confédération européenne des frontaliers monte au créneau et n’a pas tardé de réagir. Ses membres ont pris plusieurs décisions. La création d’une cellule juridique pour la défense des travailleurs frontaliers a été actée. Tout comme, l’interpellation de la ministre du travail et des parlementaires nationaux et européens. Cette décision suscite de réelles inquiétudes quant à son impact sur l’attractivité économique des régions frontalières et sur les droits des travailleurs concernés.

Rappelons que, par cette décision, le gouvernement veut réduire le déficit de l’assurance chômage, estimé à 800 millions d’euros par an, en raison des indemnités versées aux travailleurs frontaliers. En 2023, plus de 25.000 travailleurs frontaliers, résidant en France, et travaillant en Suisse, ont ouvert des droits à l’assurance chômage.   

Le Conseil Départemental du Doubs doit-il revoir l’argent qu’il octroie au monde économique, via les EPCI , autrement dit les anciennes Communauté de Communes ? Doit-il être plus vigilant sur  la manière dont ces deniers publics sont  gérés ? C’est toute la problématique qu’a lancée hier le socialiste Raphaël Krucien à la majorité départementale. Selon lui, alors qu’une dizaine d’emplois sont  menacés dans l’éducation spécialisée dans le département du Doubs, la collectivité ferait preuve d’une grande largesse auprès de certaines entreprises qui, pourtant, selon lui, n’en n’auraient pas besoin.

Il fustigeait l’argent public accordé à certaines sociétés locales, dont l’une d’elles aurait « rendu millionnaire son actionnaire unique ». Ainsi, « les 50.000 euros accordés à un affineur de comté, les 14.500 euros consentis à un agent immobilier mortuacien et 50.000 euros à un sous-traitant du luxe » sont pointés par l’élu de gauche. Christine Bouquin s’est défendue en expliquant que cette réserve était accordée aux collectivités locales, qui la redistribue ensuite.

 

 

La 4è édition du salon de l’emploi, « Doubs pour l’emploi », organisé par le Conseil Départemental du Doubs et ses partenaires, dont Grand Besançon Métropole,  se tiendra le 19 mars prochain à Besançon  Micropolis, de 9h à 18h. L’an dernier, l’évènement avait attiré plus de 3.200 visiteurs et 133 entreprises, avec près de 250 contrats signés. A travers cette initiative, le Conseil Départemental du Doubs et Ludovic Fagaut, son vice-président, veulent faciliter l’insertion dans le monde du travail des demandeurs d’emploi. Le salon est ouvert à tous, mais la collectivité souhaite remettre le pied à l’étrier aux allocataires du RSA, notamment les 25 – 39 ans, afin que, rapidement, ils s’éloignent des aides sociales et retrouvent un emploi plein et entier. Pour l’élu bisontin LR, le travail est « facteur de lien social,  d’émancipation, d’autonomie dans la société et de dignité ».

L'interview de la rédaction : Ludovic Fagaut

 

Des nouveautés

De nombreux secteurs seront représentés, qu’il s’agisse de l’aide à la personne, l’industrie, le bâtiment et les travaux publics, …. . 1.000 offres d’emploi sont d’ores et déjà proposés. Pour ce nouveau rendez-vous, en plus des temps d’échanges et de rencontres, des ateliers sur l’utilisation des réseaux sociaux, et notamment l’usage de LinkedIn, seront proposés.  Des ateliers CV et 5 minutes pour convaincre sont également au programme. Un espace job dating sera également installé. L’apprentissage y aura toute sa place. Enfin, pour faciliter la recherche d’emploi, une crèche sera installée pour accueillir les enfants des allocataires du RSA. Parce que cet évènement se veut le plus complet possible, les gestes professionnels seront également mis à l’honneur.

L'interview de la rédaction : Ludovic Fagaut

Les coaches filières

Les coaches filières, issus de France Travail, dont les postes sont financés par le département du Doubs, préparent activement les bénéficiaires du RSA à cet évènement. Ayant une connaissance très fine du monde de travail local et de ses besoins et attentes, ils sont des relais indispensables. A quelques jours de l’évènement, ils préparent leur public. Selon Ludovic Fagaut, cette organisation porte ses fruits. « Un taux de sortie de 40% du RSA est enregistré » sur le département du Doubs, grâce à ce fonctionnement.