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Une rixe avec arme à feu s’est produite, ce matin, à Pontarlier, rue de Morteau. Un homme est décédé et un autre s’était  retranché à son domicile. Un périmètre de sécurité a été établi. Selon nos informations, l’individu en question a pu être interpellé, sans heurts. Les causes et les circonstances précises de ce drame ne sont pas encore connues.

Nous avons  très peu d’information pour le moment, mais une rixe avec arme à feu s’est produite, ce matin, à Pontarlier, rue de Morteau. Un homme est décédé et un autre s’est retranché dans son domicile. Un périmètre de sécurité a été établi. Les secours se sont rendus sur place.

La natalité atteint un niveau historiquement bas en Bourgogne-Franche-Comté. En 2024, seulement 22 500 bébés y sont nés, faisant de la région l’une des plus touchées par la baisse des naissances en France métropolitaine. Ce phénomène s’explique par le recul du nombre de femmes en âge de procréer depuis vingt ans et par un ralentissement accru de la fécondité depuis 2010, qui concerne désormais toutes les classes d’âge. Cependant, certains territoires,  comme la bande frontalière, affichent une fécondité plus élevée. Dans le Jura, entre 2000 et 2024, la baisse est de 38%. Dans le département du Doubs, elle est de 25%.

Depuis avril 2025, la Mission Locale Haut-Doubs déploie Mil'Ô Doubs, un minibus aménagé en bureau mobile pour accompagner les jeunes de 16 à 25 ans éloignés des services d’insertion professionnelle et sociale. Ce dispositif itinérant propose des conseils, un suivi personnalisé et des ateliers pour faciliter l’accès à l’emploi et à la formation. En partenariat avec les entreprises locales et les associations, Mil'Ô Doubs sillonne les communes du territoire, avec des arrêts prévus à Mouthe, Labergement-Sainte-Marie et Malbuisson.

Les services de l’État dans le Doubs seront exceptionnellement fermés au public le vendredi 30 mai 2025. Cette fermeture concernera la préfecture du Doubs, les sous-préfectures de Montbéliard et Pontarlier, ainsi que la direction départementale des territoires (DDT) et la direction départementale de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations (DDETSPP).

Les usagers pourront de nouveau accéder à ces services dès le lundi 2 juin, aux horaires habituels. En attendant, les démarches administratives restent accessibles en ligne sur www.doubs.gouv.fr.

Dans la nuit du 25 mai, à Besançon, 35 avenue du soixantième TRI, un homme de 22 ans a refusé de se soumettre aux vérifications lors d’un contrôle routier, invoquant un précédent contrôle dans la journée. Malgré les avertissements des policiers, il a persisté, avant d’être interpellé, opposant une résistance sans violences.

Au commissariat, il a continué à refuser les tests d’alcoolémie et de dépistage de stupéfiants, ainsi que de donner son identité. Son véhicule, dont l’immatriculation n’était pas en règle, a été immobilisé. Placé en garde à vue, il s’est vu remettre une  convocation pour se présenter  devant le délégué du procureur le 1er octobre.

Moins de 48 heures après leur installation, les banderoles dénonçant la fermeture de l’unité Étape au Centre Hospitalier de Novillars ont été retirées, suscitant l’indignation syndical. Ce dernier dénonce « une atteinte à la liberté d’expression Â», « alors qu’un médecin du service avait déjà vivement pris à partie l’équipe militante vendredi dernier Â».

Alors que la suppression de 14 lits de psychiatrie inquiète les professionnels de santé, les syndicats rappellent que « la liberté d’expression syndicale est un droit Â» et annoncent « leur volonté de poursuivre leur mobilisation contre cette décision jugée préoccupante pour l’accès aux soins des patients les plus vulnérables Â».

novillars banderole 2

Le député de la cinquième circonscription du Doubs, Eric Liégeon, s’est fendu d’un communiqué de presse après le vote de la motion de rejet sur la proposition de loi visant à lever les contraintes pesant sur le métier d’agriculteur. Déplorant le dépôt de plus de 3 500 amendements par la gauche, LFI et les écologistes, il accuse ces groupes d’« obstruction massive et revendiquée » empêchant tout débat constructif sur le texte.

Estimant que les agriculteurs méritent un soutien législatif plutôt que des manœuvres politiques, le député justifie son vote en faveur de la motion de rejet comme la seule option permettant au projet de poursuivre son parcours parlementaire. Selon lui, cette proposition de loi, qui vise notamment à simplifier les démarches administratives et faciliter l’accès à l’eau pour l’agriculture, est essentielle pour redonner de la liberté aux producteurs.

Elle sera désormais examinée en commission mixte paritaire.