Dans le cadre de sa préparation, le Grand Doubs Besançon Doubs Handball disputera sept matches amicaux d’ici le 31 août. La première rencontre est prévue le 6 août face à Vénissieux (N1 élite), à 18h, à Besançon. L’équipe enchaînera deux matches : le 12 août face et à Chambéry et le 13 août, en Suisse, face à Genève. S’en suivront ensuite des confrontations face à une formation finlandaise (D1), 17 août, à Besançon, le 19 août à Vesoul (N1), le 27 août, à Chaussin, contre Dijon (Proligue) et le 31 août, à Nancy (proligue).
La reprise du championnat est programmée le 9 septembre à Billère, avant de recevoir Caen le 16 septembre.
Le virus COVID-19 s’est nettement replié ces sept derniers jours en Bourgogne-Franche-Comté. Le taux d’incidence en population générale est en baisse de plus de 25% par rapport à la semaine dernière. Le taux de positivité des tests, qui reste supérieur à 30%, montre toutefois que l’épidémie est toujours là .
On vient d’apprendre que la Ville d’Ornans revient sur l’arrêté qu’elle avait pris la veille suite à la présence de cyanobactéries dans la Loue. Il est expliqué que « suite à des recherches complémentaires effectuées ce vendredi 29 juillet », les activités nautiques restent d’actualité. Par ailleurs, la pratique de la pêche est maintenue « tant que les résultats d’éventuelles analyses réalisées par les autorités compétentes n’imposeront par l’inverse ».
Le mois de juillet est le plus sec connu depuis 1958. Dans ces conditions, les sols sont desséchés et le niveau des rivières et des nappes phréatiques continuent de baisser. Ainsi, les préfets du Doubs et du Jura ont décidé de placer respectivement le Haut-Doubs et une partie du Jura au niveau « crise » sécheresse. Ce qui renforce les mesures de restriction d’usage de l’eau dans ces territoires. Pour en savoir davantage, rendez-vous sur les site internet de ces deux préfectures.
Le mois de juillet est le plus sec connu depuis 1958. Dans ces conditions, les sols sont desséchés et le niveau des rivières et des nappes phréatiques continuent de baisser. Ainsi, le préfet du Doubs a décidé de placer le Haut-Doubs au niveau « crise » sécheresse. Ce qui renforce les mesures de restriction d’usage de l’eau dans ce territoire. Pour en savoir davantage, rendez-vous sur le site internet de la préfecture du Doubs.
Le risque est bien réel. C’est la raison pour laquelle la préfecture du Doubs, accompagnée de l’Office National des Forêts et le Service Départemental d’Incendie et de Secours du Doubs, a souhaité faire de la prévention ce vendredi. Le rendez-vous était fixé en forêt de Mazerolles, à 15 kilomètres de Besançon.
L’objectif étant de sensibiliser la population à la fragilité de nos forêts en cette période de sécheresse. Il n’y a pas que dans le sud de la France que les forêts peuvent prendre feu, en Franche-Comté aussi, la situation est très fragile. Les cartes de vigilance de Météo-France sont là pour nous le rappeler. La végétation est sèche. Elle pourrait très rapidement s’enflammer. Certes nous ne sommes pas habitués à ce genre de discours en Franche-Comté, mais il va falloir s’habituer à ce contexte. « Ca va devenir notre quotidien. Il faudra inclure ces difficultés dans notre culture » explique Philippe Portal, secrétaire général de la préfecture du Doubs.

Réfléchir à l’avenir
Il est malheureusement acquis que ces périodes de sécheresse vont s’accentuer. D’où l’importance de prendre les décisions qui s’imposent pour éviter que des drames se produisent. Tout d’abord, cela passe par le civisme, mais également une gestion et un entretien irréprochables de nos forêts, dont les premiers occupants souffrent en premier lieu. Après les épicéas, les hêtres dépérissent. Les chênes inquiètent également. Autant de bois mort, source possible d’embrasement. L’environnement forestier se dégrade. Ce qui renforce sa vulnérabilité et le risque d’incendie. Le processus s’accélère. En six mois, la forêt de Mazerolles a changé de visage par endroit.

Les nouvelles pratiques des sapeurs-pompiers
La culture des feux de forêts a gagné les rangs des sapeurs-pompiers. Les secouristes doubistes se forment localement à ce type d’intervention. Dans notre département, ce sont 400 soldats du feu qui ont acquis ce savoir-faire. Il compte onze camions citernes d’une capacité de 4000 litres d’eau et une trentaine d’autres véhicules disposant d’une plus petite capacité. Le département du Doubs ne dispose pas d’avion bombardier d’eau, mais les infrastructures les plus proches, localisées à Epinal et Mirecourt, sont à 30 minutes de notre territoire. En 2021, un test a d’ailleurs été réalisé sur les lac Saint-Point pour s’assurer que le plan d’eau serait opérationnel en cas d’intervention.
Le reportage de la rédaction / Philippe Portal (secrétaire général de la préfecture du Doubs. Marc Nouveau (directeur de l'agence ONF du Doubs). Capitaine Samuel Guichard (directeur technique feu de forêt au SDIS du Doubs).
Un accident de bûcheronnage s’est produit ce matin, vers 8h, sur la commune de Courbette (39). Une victime a été héliportée, par Dragon 25, sur un centre hospitalier en urgence absolue.
Le corps sans vie, retrouvé le 24 juillet dernier, flottant dans le Doubs, à Besançon, est celui d’un septuagénaire, dont la fille, ne vivant pas en Franche-Comté, avait signalé sa disparition le lendemain. La victime vivait seule à Besançon. Elle avait laissé un courrier faisant état de son intention de se donner la mort.