Choix du secteur :
Se connecter :
 

Du 12 au 14 décembre,  Morez vivra au rythme des marionnettes. Le festival investit la ville du Haut-Jura pour trois jours de spectacles gratuits. Après des représentations réservées aux écoles et crèches le vendredi, l’événement s’ouvrira à tous dès le soir avec un spectacle intimiste marquant le lancement officiel.

Petits et grands pourront ensuite profiter d’une programmation variée, entre poésie, humour et imaginaire, portée par des compagnies venues de la région et d’ailleurs. Pour de plus amples informations : www.ville-morez.fr ou 03.84.33.10.11. Il s’agit du numéro de téléphone du Pôle Culture et Animation de la cité jurassienne.

À l’approche des fêtes de fin d’année, le CROUS Bourgogne–Franche-Comté organise un Marché de Noël, pour la troisième année consécutive.  Un temps de rencontre sur le parvis du LIVE à Besançon. Un événement chaleureux qui répond à un besoin croissant de convivialité sur les campus bisontins

 

Un rendez-vous devenu incontournable

« D’année en année, cet événement devient encore plus chaleureux », observe Clémence Gadriot, coordinatrice étudiante pour le CROUS BFC à Besançon. Organisée pour la troisième fois sur le parvis du LIVE, cette rencontre traduit une demande de plus en plus forte des étudiants pour des moments informels de partage. L’objectif est clair : créer des instants conviviaux sur les campus et offrir aux étudiants un cadre accueillant, propice aux échanges, à l’approche de la fin du semestre.

L'interview de la rédaction :Clémence Gadriot, coordinatrice étudiante pour le CROUS BFC à Besançon

 

BOULOIE NOEL 4

Des acteurs engagés pour la vie étudiante

De nombreux partenaires sont présents pour animer l’événement et informer les étudiants. Parmi eux, l’Université Marie-et-Louis-Pasteur, Grand Besançon Métropole ou encore Campus Sport. Tous œuvrent tout au long de l’année pour améliorer le quotidien étudiant. Le CROUS est également au cœur de l’événement avec son traditionnel « chalet gourmand ». Chocolat chaud, vin chaud et brioches sont distribués gratuitement, dans une ambiance festive et hivernale.

L'interview de la rédaction :Clémence Gadriot, coordinatrice étudiante pour le CROUS BFC à Besançon

Convivialité, culture et solidarité

Au-delà du simple moment de détente, la rencontre permet aussi de faire découvrir les traditions de fin d’année aux étudiants internationaux. Une dimension culturelle essentielle pour favoriser l’inclusion. L’événement prend également une tournure solidaire grâce à la participation, pour une nouvelle année, du Lions Club. L’association propose une distribution de vêtements chauds, couettes, vaisselle et fournitures du quotidien, destinées aux étudiants en situation de précarité.

BOULOIE NOEL 2

Informations pratiques

Après une première ouverture ce lundi, le village étudiant rouvrira ces mardi 9 et mercredi 10 décembre, de 11h30 à 13h30, afin de permettre au plus grand nombre d’étudiants de profiter de ces temps de rencontre.

 

Le 4 décembre, vers 13h30, une opération anti-drogue menée à la maison d’arrêt de Besançon a permis d’interpeller un jeune homme de 19 ans. Le chien spécialisé a marqué l’individu au parloir : trois bonbonnes de poudre blanche étaient dissimulées dans sa chaussette.

Les analyses ont révélé 3,5 grammes de cocaïne répartis en deux doses, ainsi qu’une dose de produit non identifié. Placé en garde à vue, le suspect a reconnu avoir acheté la drogue pour sa consommation personnelle, mais pas pour son père détenu. La garde à vue a pris fin le 5 décembre. L’affaire sera jugée par ordonnance pénale le 2 avril.

Le 4 décembre, vers 15h, à Besançon, place Saint-Jacques, une patrouille a contrôlé une conductrice au volant d’un véhicule signalé volé. Âgée de 35 ans, elle n’était pas titulaire du permis de conduire. Interpellée et placée en garde à vue, elle a reconnu qu’elle ne devait pas conduire. Le véhicule aurait été acheté par son compagnon, sans précision supplémentaire pour l’instant. La garde à vue a pris fin le 5 décembre. L’affaire sera jugée par ordonnance pénale le 7 avril.

Le 4 décembre, vers 18h, rue Pierre Mesnage, un équipage de la BAC a procédé au contrôle d’une femme de 37 ans faisant l’objet d’une recherche judiciaire. Les investigations ont confirmé une fiche d’écrou émise par le juge d’application des peines de Besançon. L’intéressée a été interpellée et placée en rétention judiciaire jusqu’au 5 décembre. Elle est convoquée devant le Juge d’Application des Peines  le 8 janvier.

La ville de Pontarlier fait savoir que les premières phases du plan de circulation et de stationnement débuteront à la mi-janvier, sous réserve de conditions météo favorables. L’objectif étant d’améliorer la sécurité, fluidifier la circulation et réduire les vitesses excessives dans les quartiers.

Plusieurs rues passeront en sens unique :

Rue du 8 Mai : suppression de deux tourne-à-gauche pour fluidifier le trafic vers la Rue des Abattoirs.

Rues Antoine Patel et Eugène Droz : sécurisation de la voirie pour Patel, création de places de stationnement près de l’école maternelle Vauthier pour Droz.

Rue Junod : test de sens unique descendant de janvier à avril 2026, afin d’éviter le contournement de la RN 57.

Rue de Joux : test de sens unique pour limiter les traversées rapides du quartier.

Quartier des Castors – Gravières : passage en sens unique de toutes les rues et limitation de vitesse à 30 km/h. Même limitation sur la Rue de Doubs, entre le funérarium et la sortie d’agglomération après le lycée Xavier Marmier.

La Suisse a choisi une stratégie de vaccination préventive et ciblée pour éviter l’apparition de foyers de dermatose nodulaire contagieuse (DNC). Contrairement à la France, elle n’a pas imposé d’abattages massifs mais a misé sur la surveillance vétérinaire et la vaccination obligatoire des bovins sensibles.  Les cantons de Genève, Vaud et Valais ont été directement concernés par la vaccination obligatoire. Neuchâtel reste en vigilance, sans foyer ni vaccination imposée.

Un contexte transfrontalier

La dermatose nodulaire contagieuse (DNC) est apparue en France à l’été 2025.  À ce jour, aucun foyer de DNC n’a été identifié en Suisse. Les autorités fédérales (Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires – OSAV) soulignent que « la vaccination est le seul véritable rempart contre la maladie et qu’elle permet d’éviter le dépeuplement total des exploitations en cas de foyer Â».

La stratégie suisse

Contrairement à la France, qui a opté pour des abattages systématiques de troupeaux contaminés, la Suisse a privilégié une approche préventive et proportionnée : Vaccination obligatoire des bovins, buffles et bisons dans les zones de surveillance, surveillance vétérinaire renforcée et restriction des mouvements d’animaux dans les zones concernées, avec laissez-passer sanitaire et examens vétérinaires. A la mi-novembre, les dernières zones de surveillance en Suisse ont pu être supprimées, même si la vaccination reste obligatoire dans certaines régions.

Une approche saluée

La Confédération suisse et les cantons concernés mettent en avant une gestion fondée sur « la prévention plutôt que la répression, la concertation avec les éleveurs et vétérinaires et la protection du cheptel sans recourir à des abattages massifs, contrairement à la stratégie française Â». Cette politique est perçue comme plus respectueuse du travail des éleveurs et de la santé animale, tout en garantissant la sécurité sanitaire du territoire.

La Confédération paysanne Bourgogne-Franche-Comté et la Coordination rurale du Doubs appellent à un rassemblement ce mercredi 10 décembre à 12h, devant la gare Viotte de Besançon. Cette mobilisation fait suite à l’abattage de 83 vaches vaccinées contre la Dermatose Nodulaire Contagieuse Bovine, survenu le 2 décembre à Pouilley-Français. Les syndicats dénoncent « une gestion sanitaire  autoritaire Â» et réclament « une politique fondée sur la prévention et le dialogue avec les éleveurs Â». La manifestation se veut « citoyenne et paysanne, organisée dans le calme et la dignité Â».