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A Chailluz, les travaux de sécurisation de la forêt se poursuivent. Ils font suite aux dégâts occasionnés par la tempête survenue en juillet dernier, impactant près de 5.000 m3 de bois. Depuis août dernier, 2 366 arbres ont été traités (soit 85% de l’emprise à traiter) et 1 300 tonnes de petits bois ont été récoltées et livrées en usines.

La Ville de Besançon pointe l’inconscience de certains promeneurs qui ne respectent pas le barriérage mis en place, ralentissant les interventions. De ce fait, la police municipale et l’ONF vont renforcer les contrôles et procéderont à des verbalisations si nécessaires. Le site bisontin propose 1.350 hectares de périmètre sécurisé. La réouverture du site est prévue le 15 mars prochain.

Comment se débarrasser de son sapin de Noël ? Une fois les décorations retirées, la Ville de Besançon, invite la population à venir les déposer dans les déchetteries du Sybert, dont les horaires sont consultables sur le site : www.sybert.fr . Par ailleurs, dans la cité comtoise, un ramassage spécifique est organisé depuis ce lundi 6 janvier, et jusqu’au 31 janvier. Il est possible de déposer son sapin, sans décoration et sans sac, en dehors des copropriétés et espaces privatifs. Pour de plus amples informations : 03.81.61.51.26 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Cette semaine, en Namibie, le travail Patrick Giraudoux, professeur émérite d’écologie au laboratoire Chrono-environnement du CNRS et de l’université de Franche-Comté, a été remarqué lors de la onzième session de la plénière de la plateforme intergouvernementale scientifique et politique et les services écosystémiques.

Il a été présenté aux 147 états membres. Ce rapport, impliquant une équipe pluridisciplinaire, dresse un bilan des connaissances scientifiques sur les liens complexes entre biodiversité, eau, alimentation, santé et changement climatique et fait des propositions pour lutter contre les crises environnementales mondiales.

La gendarmerie du Jura indique que, depuis le 15 décembre dernier, l’arrêté préfectoral hivernal de protection de biotope est en vigueur. Il consiste notamment à préserver les zones sensibles. Ces endroits où vivent des espèces rares, comme le Grand Tétras.  

Ce qui signifie que des précautions sont à prendre lors de vos sorties en forêt. Cinq zones sont concernées : les Massifs du Massacre, du Bois de Ban-Arobiers, du Risoux, de Haute-Joux et de Combe Noire.

Pour dénoncer le plan de chasse de la saison 2024/2025 dans le Doubs, « qui prévoit le prélèvement de 478 chamois Â», Humanimo, association de défense de la cause animale et de la protection du vivant, organise un rassemblement citoyen ce samedi, à 14h30, devant la préfecture du Doubs. Selon le collectif, cette décision représente « la suppression de quasiment 50% des effectifs Â».

Dans un communiqué de presse, le comité local bisontin des Soulèvements de la Terre exprime « toute ( son) indignation Â» après l’annonce de la mairie du lancement d’un acte 2 pour la construction d’un écoquartier aux Vaîtes. Il juge que « ce projet n’est pas digne face aux enjeux du dérèglement climatique Â».

Selon le collectif, « les espaces autogérés et les espaces occupés par le vivant non humain doivent être défendus coûte que coûte Â». Il est regretté « la violence et le mépris de la municipalité Â». Le comité local des Soulèvements de la Terre appelle « tous les collectifs de défense des droits humains et du vivant à rejoindre cette lutte écologique et sociale Â».

Sous la pression des éleveurs, une cinquantaine de pays se sont mis d'accord mardi à Strasbourg pour abaisser la protection du loup en Europe. Plus précisément, la Convention de Berne a approuvé un déclassement du statut de protection du loup, qui va passer d’espèce « strictement protégée Â» à « protégée Â». Cette décision pourrait faciliter son abattage. Les défenseurs des animaux dénoncent "une décision politique et purement démagogique"

Anne Vignot, Maire de Besançon, rappelle son attachement à « Ã©loigner les véhicules en transit sur les routes nationales 83 et 57, « notamment les poids lourds, afin de privilégier leur maintien sur l’autoroute Â». Pour Mme Vignot, cette démarche vise « Ã  réduire les impacts négatifs sur la qualité de vie des riverains, notamment en termes de nuisances sonores et de pollution Â».

La maire écologiste de Besançon soutient pleinement l’initiative également portée par l’association « Bonne route Â». Dans le même temps, il est rappelé que, dans le cadre du plan Climat Air et Energie Territorial, elle a sollicité un travail sur l’attractivité de l’autoroute A36, « afin de favoriser son usage par les véhicules, en lieu et place des routes nationales et boulevards qui les traversent les zones urbaines et les villages Â».

Dans le cadre de la semaine européenne de la réduction des déchets, le SYBERT, chargé du traitement des déchets, organise, jusqu’au 22 novembre, des animations gratuites et ouvertes à tous dans son nouvel espace pédagogique, situé rue de Dole à Besançon. Au programme : jeu d’énigmes en famille, visite du centre de tri, atelier de fabrication de produits ménagers naturels, … .  On notera la présence des animateurs prévention du SYBERT, qui pourront répondre aux interrogations des visiteurs. Pour participer à l’évènement et tout savoir sur son organisation : https://www.sybert.fr/fete-du-reemploi-et-de-la-reparation/

Ce samedi après-midi, le groupe local de L.214 se mobilisera à Besançon, entre 14h et 15h, au Monoprix de la Grande Rue, pour lutter contre les « pires pratiques de l’élevage intensif des poulets Â». Les militants iront à la rencontre de la clientèle pour l’inviter à « tourner le dos Â» à certaines marques. Cette opération s’inscrit dans le cadre d’une opération nationale, qui se tient dans une vingtaine de villes. L’objectif est de retourner 100.000 barquettes en rayon, avec l’aide du public.