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Un jeune homme de 19 ans a été placé en garde à vue. Hier soir, vers 19h30, il a été interpellé, non sans difficulté par une patrouille de police. Il a été immédiatement repéré parce qu’il conduisait à vive allure et qu’il occupait un véhicule volé. L’automobiliste a tenté de prendre la fuite à deux reprises. Lors d’un premier essai, il est venu percuter l’un des deux véhicules policiers, lui occasionnant des rayures sur tout le côté droit. Aucun policier n’a été blessé.

Dans l’affaire du meurtre de Théo Decouchant, on a appris que la jeune femme de 19 ans, qui l'avait accueilli durant la nuit du 29 au 30 novembre,  a été mise en examen pour homicide volontaire et incarcérée à la maison d’arrêt de Lutterbach, près de Mulhouse, hier. Elle est soupçonnée d’avoir donné la mort au jeune homme de 23 ans.

Selon nos confrères de la presse régionale, se sentant oppressée par la victime, Camille Anguenot lui aurait donné un premier coup de couteau au niveau du foi et l’aurait ensuite étouffé. Rappelons que le corps a été retrouvé par les enquêteurs au domicile de la jeune femme,  à Oiselay-et-Grachaux, en Haute-Saône.

Selon les premières informations recueillies, il semblerait que cette dernière  ait caché le corps durant plusieurs jours, chez elle,  dans un placard. Tout en menant une vie la plus normale possible. La préméditation n’a pas été retenue. Le Procureur de la République de Besançon doit donner une conférence de presse ce jeudi matin à 8h30.

Un feu de hangar agricole s’est déclaré cette nuit, vers 00h30, à Autechaux. La bâtisse de 500 m2 contenait du fourrage et du matériel agricole. Trois lances incendie ont été nécessaires pour éviter la propagation des flammes au bâtiment accolé, abritant des génisses.

Un homme de 30 ans est actuellement en garde à vue à Besançon. Ce matin, vers 11h, lors d’un contrôle routier, il est apparu qu’il conduisait alors que son permis avait été suspendu pour cinq mois. Les faits se sont passés rue de la Basilique. Lors de son audition, le trentenaire a reconnu les faits.

Rashid Askari comparaît à partir de ce mercredi devant la cour d'assises du Doubs pour répondre de l'assassinat en pleine rue de son épouse Razia Askari. Cette femme de 34 ans d'origine afghane avait été découverte morte, égorgée et frappée de 19 coups de couteau, le 30 octobre 2018 à Besançon. L'accusé reconnaît les faits mais nie toute préméditation. 

Ce matin les bancs de la salle d'assises étaient remplis, d’ailleurs plusieurs personnes n'ont d’ailleurs pas pu entrer. Après le tirage au sort des jurés, et le rappel des faits effectué par le président de la Cour d’assises Matthieu Husson, c’est Diana Molin, cheffe d’unité de la police qui a dressé la totalité de l’enquête ayant conduit à l’interpellation de Rashid Askari. Ce fut ensuite au tour du premier témoin de se présenter à la barre. Un étudiant de 17 ans à l’époque des faits, ayant assisté à toute la scène. “Il savait où il allait” dit le jeune homme. "J’ai vu l’homme frapper cette femme. Elle courait pour s'échapper et a crié. J’ai distingué quelque chose de brillant et il l’a frappé trois fois sur le côté puis au niveau du cou."

Peu avant 13h, les enfants sortent de la salle avant que les photos de la rue où a été tuée Razia Askari soient projetées dans la salle, ainsi que des photos du corps et des blessures de la victime. La sœur de cette dernière s'effondre en pleurs dans les bras de l'ancienne présidente de Solidarité Femmes, Christine Perrod. Une atmosphère pesante prend place dans la salle. L’audience est ensuite suspendue, avant de reprendre à 14h.

Le médecin légiste du CHU de Besançon est appelé à la barre en début d'après-midi. Il est intervenu pour la réalisation de l'autopsie du corps de la victime et fait état en détail de ses constatations et des examens effectués, de manière très technique. Ce dernier confirme des plaies franches sur le corps de la victime, douze exactement, sur un total de 19 plaies retrouvées.

A 15h, le directeur de l'école des deux enfants de la victime et de l'accusé, scolarisés à Besançon en CE2 et CM2 à l'arrivée de Razia Askari en Franche-Comté est appelé à la barre. "Le 24 avril 2018, Razia Askari a refusé de quitter l'école et m'a demandé de prendre contact avec l'association Solidarité Femmes, qui s'est déplacée, de mémoire. Madame Askari avait peur et semblait avoir vu son mari. Elle pensait qu'il l'avait retrouvée" explique l'enseignant. Le mari de la victime a demandé un rendez-vous avec le directeur de l'école le 25 avril, qui a reçu monsieur Askari le 26 avril. Ce dernier, accompagné d'une traductrice, s'est renseigné sur les résultats de ses enfants à l'école et a cherché à connaître l'adresse de sa femme, en vain.

« Razia Askari bénéficiait du dispositif de "mise en sécurité pour les femmes en grand danger", proposé par l'association Solidarité Femmes au niveau national. L'antenne de Besançon avait répondu favorablement à cette mise en sécurité. C'est à cette occasion que la victime était arrivée en Franche-Comté »

 A 16h, l'assistante sociale de Solidarité Femmes est appelée à la barre. Elle partage le parcours chaotique et douloureux de Razia Askari et l'accompagnement qui lui avait été prodigué par l'association bisontine spécialisée dans la protection des femmes victimes de violences conjugales. Avec beaucoup d'émotion, elle dresse la liste des sévices subis et dénoncés par la jeune femme mais aussi ceux constatés par les enfants.

A 18h, l’interprète apparaît très émue devant la cour, tout en rapportant comment l'accusé a tout tenté pour entrer en contact avec elle et l'intimider, dans le but de retrouver sa femme. Elle était son interprète mais avait noué des liens avec la victime : "Nos enfants avaient le même âge". Visiblement intimidée par la cour, elle précise : "J'ai été traumatisée par cette histoire et je le suis toujours, donc c'est assez difficile".

La police de Pontarlier appelle les commerçants à la prudence. Elle a dû gérer trois filouteries d’essence. Les auteurs ont été identifiés. Ils seront convoqués ultérieurement pour s’expliquer sur ces faits.

Le corps de Théo Decouchant, un jeune homme de 23 ans disparu dans la nuit du 29 au 30 novembre en Haute-Saône, a été découvert ce lundi 6 décembre, vers 13 heures, au domicile d’une jeune femme de 18 ans à Oiselay-et-Grachaux. Le jeune homme d'une vingtaine d'années, domicilié à Besançon, n'avait pas donné signe de vie depuis cette nuit-là, après avoir passé la soirée chez cette jeune fille. Cette dernière a été placée en garde à vue dans la même journée, soupçonnée d'être liée à un « homicide volontaire ». Une autopsie du corps était prévue ce matin et devrait permettre de déterminer les causes du décès.  

Les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus ce mardi matin vers 11h30 sur la RN5 à hauteur du Vaudioux, dans le Jura, pour un accident impliquant un poids lourd de type grumier et un TER. La circulation et le trafic SNCF ont été coupés pour une durée indéterminée. 27 sapeurs-pompiers et 11 engins ont été déployés sur les lieux. 8 personnes ont été laissées sur place.

Ce lundi à 18h10, les effectifs de police sont intervenus pour un vol à l’étalage aux Galeries Lafayette à Besançon. Un homme de 22 ans était retenu par les agents de sécurité du magasin. L’individu était en possession d’un porte carte de marque « Le Tanneur » d’une valeur de 69€. Interpellé, il a été placé en garde à vue.

Ce lundi aux alentours de 17h20, les motards de la police constataient un véhicule circulant avec le phare avant gauche brisé au niveau du boulevard Allende à Besançon. Après avoir suivi le véhicule qui franchissait un feu rouge, les policiers actionnaient leur avertisseur sonore mais le conducteur refusait de s’arrêter. Le conducteur de 20 ans, sans permis de conduire, interpellé quelques mètres plus loin indiquait avoir eu peur. Son véhicule n’était pas assuré. Il a été placé en garde à vue.