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A Pontarlier, le Centre Hospitalier Intercommunal Haute-Comté modifie ses horaires de visites pour le site des Rives du Doubs et celui du Grandvallier. Les consultations sont également soumises à des mesures particulières. L’établissement précise que des contrôles sanitaires aléatoires pourront être effectués sur le site des Rives du Doubs par le service de sécurité incendie.

Site des Rives du Doubs

Les visiteurs sont autorisés à se rendre :

  • dans tous les services de médecine, chirurgie et soins continus de 13h30 à 20h,
  • à la maternité pour le coparent une fois par jour et confinés en chambre et pour la fratrie 1 fois pendant le séjour confinés en chambre,
  • en pédiatrie et en néonatalogie, les visites restent « au cas par cas », à déterminer avec l’équipe soignante

Site du Grandvallier

Les visiteurs sont autorisés à se rendre en psychiatrie de 14h à 18h.

Il est rappelé à tous que les visiteurs sont soumis au passe sanitaire et au respect des gestes barrières (port du masque obligatoire à partir de 6 ans).

En cas d’intervention ou d’examen programmé, un test virologique négatif de – 48h reste obligatoire.

Des contrôles aléatoires pourront être effectués de 18h à 20h sur le site des Rives du Doubs par le service de sécurité incendie.

Ce lundi, une nouvelle étape a été franchie dans la lutte contre l’épidémie de covid-19. Le masque n’est  plus obligatoire dans pratiquement tous les lieux clos et le pass vaccinal n’est plus demandé également. En revanche, l’obligation demeure toujours dans les transports collectifs, les hôpitaux et les Ehpad.

Ce matin, à Besançon, devant le lycée Claude-Nicolas Ledoux, les lycéens ne cachaient pas leur satisfaction de voir cette mesure suspendue. Néanmoins, ces jeunes gens trouvent cette décision prématurée. Alors que l’épidémie connaît un nouveau rebond. Ces lycéens en sont convaincus, « l’approche de l’élection présidentielle a sans doute poussé le gouvernement et Emmanuel Macron à prendre cette voie Â».

Même s’ils s’attendent à un retour du port du masque dans les prochains jours, ces élèves de terminale apprécient de pouvoir de nouveau étudier avec cet objet en moins. Ils l’admettent bien volontiers, « de nouvelles habitudes doivent être prises’ et son absence surprend. « J’avais l’impression qu’il me manquait quelque chose ce matin Â» conclut une jeune fille.

Le reportage de la rédaction / des jeunes devant un lycée bisontin

 

C’est une nouvelle étape qui s’ouvre ce lundi dans la gestion de la crise sanitaire. En ce début de semaine, le masque ne sera plus obligatoire dans pratiquement tous les lieux clos et le pass vaccinal ne sera plus demandé également. En revanche, l’obligation demeure toujours dans les transports collectifs, les hôpitaux et les Ehpad. Cette levée des restrictions  apparaît alors qu’Olivier Veran, le ministre de la santé, alertait sur le rebond que connaît l’épidémie actuellement.

L’hôpital de Besançon indique dans un communiqué de presse qu’un réseau expert et une filière de soins pour lutter contre l’endométriose  viennent de voir le jour en Bourgogne Franche-Comté. Une femme sur dix est concernée par cette pathologie gynécologique, qui se caractérise par la présence de muqueuse utérine en dehors de l’utérus. A Besançon, un numéro d’appel téléphonique unique est également  mis en place au CHU pour les patientes souffrant de cette pathologie. Il est également destiné aux médecins qui souhaitant adresser leurs patientes. Il s’agit du 03 81 21 94 38.

Concernant l’épidémie de covid19. L’Agence Régionale de Santé de Bourgogne Franche-Comté indique que « si l’épidémie continue de reculer ces derniers jours dans la région, le rythme de ce repli s’est ralenti Â». Le taux d’incidence en population générale reste partout autour de 400 cas pour 100 000 habitants.

Concernant l’épidémie de covid19. Le rectorat de Besançon indique, qu’à la date de jeudi après-midi, aucune structure scolaire n'est fermée. En revanche, 53 classes à distance bénéficient de la continuité pédagogique dans l'académie. 651 élèves et 44 personnels sont cas confirmés à la Covid-19 en cumul sur les 7 derniers jours

Les syndicats CGT et Sud des secteurs social et médico-social appellent l’ensemble des professionnels à se mobiliser le 17 mars prochain. Les revendications portent sur la reconnaissance et les revalorisations salariales. A Besançon, le rendez-vous est fixé à 10h30 sur la place de la révolution.

Selon les derniers chiffres du rectorat de Besançon, datant de jeudi 3 mars à 13h, 229 élèves et 17 personnels sont cas confirmés à la Covid-19 en cumul sur les 7 derniers jours. Aucune structure scolaire n'est fermée et 21 classes à distance bénéficient de la continuité pédagogique dans l'académie.

A Besançon, les membres de la cellule de crise de l’hôpital Minjoz se sont prononcés ce jeudi 3 mars pour la levée du plan blanc à l’hôpital bisontin. Cette décision fait suite à la baisse constante des taux d’incidence sur le territoire, du nombre de patients hospitalisés pour Covid-19 dans les services de réanimation et dans les services de médecine et enfin une baisse de l’absentéisme des personnels en raison des contaminations.

Néanmoins, le centre hospitalier appelle à la prudence. D’autant plus que le taux d’incidence, estimé à 550 actuellement, demeure à un niveau élevé. Certains protocoles restent donc d’actualité. N’hésitez pas à consulter le site web du CHU Minjoz pour obtenir toutes les informations nécessaires.

Ce jeudi, sur TF1, Jean Castex annoncé la fin du pass vaccinal, « partout où il s’applique, à partir du 14 mars ». A compter de cette date, le port du masque ne sera plus imposé partout où il est encore en vigueur, à l’exception des transports en commun. Le Premier Ministre a également précisé que le masque sera toujours obligatoire dans les établissements médicaux où « le pass sanitaire reste en vigueur de même que l’obligation vaccinale ».