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Samedi 3 juin, la ville de Pontarlier organise, avec la participation des différentes associations de Pontarlier, la Fête Interculturelle. Les différentes cultures présentes dans la cité du Haut-Doubs sont mises à l’honneur. Différentes animations et des stands seront proposés sous la Halle Émile Pasteur.

Recréer du lien

Dans une volonté de partage, la nouvelle municipalité de Pontarlier reprend cette idée de Fête Interculturelle évoquée par l’ancien mandat. Avec la participation des associations des différentes cultures pontissaliennes et des écoles de la ville, cette journée dédiée à la culture a pour objectif de recréer du lien entre les habitants. Ces dernières années ont été compliquées au niveau social, c’est pourquoi la commune souhaite enfin rassembler tout le monde autour de cet évènement.

Une nouveauté à Pontarlier

Ce rendez-vous  est un évènement qui aborde pour la première fois le thème de la culture. C’est une première pour la ville. Les associations souhaitaient se rassembler afin de faire découvrir leur pays à travers des stands, des découvertes culinaires ainsi que des chants et danses d’ici et d’ailleurs. Cet événement est une première et c’est pourquoi l’organisation a été pensée minutieusement par les associations et la mairie afin de faire de cet évènement une réussite.

L'interview de la rédaction : Alexandra Leroux, élue pontissalienne

 

Ce sont six mains qui se sont mises en action pour l’écriture et la conception de ce recueil de poèmes. Après un temps de réflexion nécessaire, le Pontissalien René Emili, ancien élu, notamment à la culture à la Ville de Pontarlier, s’est laissé séduire quant à la sortie de ce livre. Dans cette aventure, il a sollicité l’aide de son copain d’enfance Claude Bertin Denis, qui s’est vu confier l’illustration de cet ouvrage. Sa mission mettre en parallèle les écrits de l’auteur avec des affiches de film. Le projet est original et donne une dimension complètement accessible et non élitiste à la production du poète pontissalien. Quant à Fabrice Hérard, il a mis toutes ses compétences et son réseau professionnel au service du projet. Mais il est aussi un trait d’union fabuleux entre ces deux hommes. Effectivement, il est le petit fils de l’enseignante qui a su éveiller les jeunes élèves René Emili et Claude Bertin Denis à la culture, aux mots et à la lecture.

28 poèmes

Ce recueil est composé de 28 poèmes.  Il a fallu faire un choix parmi les 150 écrits que l’auteur a rédigé depuis une vingtaine d’années. Cette passion solitaire s’est dévoilée un peu plus au grand public lors de la pandémie de  2020. Lorsque « Milo » décida de partager, via sa boite mail, ses plus beaux textes, avec son entourage, confiné également.  Tisser du lien, partager à distance et passer un message de paix et d’amour : telles étaient les motivations de l’homme de culture. Des créations qui ne sont pas passées inaperçues et qui ont plu. C’est donc dans ce contexte que « humeurs poétiques » a vu le jour.  « La vie », « la mort » et « l’amour », tel est le triptyque de cette première aventure littéraire qui en appellera peut-être d’autres.

Une séance de dédicaces est organisée ce samedi 3 juin. René Emili vous donne rendez-vous de 15h à 18h à la Brasserie le Français à Pontarlier.

L'interview de la rédaction / René Emili. Claude Bertin Denis

C’est une rue pontissalienne que les artistes affectionnent particulièrement. Sa configuration, sa proximité avec le centre-ville, son côté accessible, tout en étant à l’écart, font de la rue Vannolles, un territoire apprécié. Un luthier a déjà trouvé ses marques. Dernièrement, c’est Marion Juhe, qui a posé ses valises et surtout son talent, ses créations et son matériel dans ce quartier.

Domicilié dans le Haut-Doubs, dont elle n’est pas originaire, Marion trouve au milieu des forêts, du lac et de la faune sauvage, une véritable source d’inspiration pour son travail de sérigraphie, qu’elle décline sous différentes formes. On est bien loin des productions à la chaîne et très stéréotypées, l’artiste veut créer du lien avec ses interlocuteurs, comprendre leurs projets et leurs intentions et y apporter une touche personnelle. Une véritable conception artisanale, qui fait que chaque création est unique et différente. Un esprit libre, sain, rempli de valeurs, qui doit se ressentir au toucher et lors du regard porté sur l’œuvre.

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Des réalisations à la main

Artiste, graphiste, sérigraphe, plasticienne, ses compétences et ses savoir-faire ne manquent pas. Dans son atelier, qui sent bon le bois, Marion joue avec les couleurs, les formes et les pochoirs. Les mises en scène et les représentations sont différentes. Pas question de s’enfermer dans des cases, les concepts et les idées peuvent tellement être différents et novateurs, qu’il serait dommage de s’imposer des barrières et un cadre bien trop rigide.

L'interview de la rédaction : Marion Juhe

L’atelier est prêt à vous accueillir. Actuellement, et jusqu’à la fin de l’été, il propose l’exposition collective 8/8, à laquelle 20 artistes ont participé. Chacun a laissé son imagination s’exprimer. La seule obligation étant de donner naissance à des créations en petits formats.

Le théâtre universitaire de Franche-Comté organise, dans le cadre du dispositif d’accompagnement « La Pépinière », le festival « Prélude » qui se déroulera du 24 au 28 mai. Cet évènement répond à la principale mission du Théâtre Universitaire qui est de « soutenir et valoriser la création étudiante ». Différents groupes provenant des quatre coins de la France présentent leurs projets artistiques. C’est l’occasion avant tout de créer des rencontres entre les étudiants, le public et des équipes techniques.

Un programme bien chargé

Au programme de ce festival, de nombreuses animations avec notamment les spectacles qui se dérouleront le 24 et 26 mai au théâtre de la Bouloie. « Qui sont-elles ? » et « Tribun ’Aze » sont les deux projets proposés par les groupes de création, nés au sein de la Pépinière. L’évènement est composé de plusieurs temps forts, la soirée d’ouverture qui se déroule ce mercredi 24 mai au théâtre de la Bouloie. Au programme : plusieurs animations telles que la tarologie, des jeux d’extérieurs et la création de badges par une association étudiante. À noter également la soirée de clôture, au Bastion, où plusieurs animations sont également proposées avec de la musique, un concert ou encore un bar à tatouage éphémère. Des fragments sont organisés tout au long du festival, en journée. Ce sont des petits spectacles qui se tiennent sous une forme différente. Mise en voix, lectures ou encore documentaires seront proposés au centre-ville. Un des objectifs de ce festival est de créer des moments conviviaux, de rencontres et d’échanges. C’est pourquoi cet évènement est ouvert à un public de tout âge.

Un festival responsable

Au-delà de la dimension artistique, le théâtre universitaire a voulu donner un aspect durable et responsable au festival Prélude. Cette association est en plein processus de labellisation. Le développement durable est important pour l’organisateur. Une mission de lutte contre le jet des mégots a été lancée. Un autre objectif zéro déchet est également en vue pour ce festival. L’éco-responsabilité est donc au rendez-vous de ce festival artistique.

L'interview de la rédaction : Manon Millet, chargée de communication du théâtre

 

Ce samedi, les musées du centre-ville de Besançon, les Musées des Beaux-Arts et d’Archéologie et du Temps, participent à la nuit européenne des musées. Cet évènement, organisé par le ministère de la Culture, s’est fixé comme objectif de s’adresser au plus grand nombre, afin que tous les publics viennent découvrir ces lieux et toute la richesse culturelle qu’ils concentrent.  

Pour l’occasion, les deux établissements proposent plusieurs rendez-vous qui devraient séduire les visiteurs. Onze visites, thématiques ou plus traditionnelles, seront proposées au Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie. Il y en aura douze au musée du Temps. En plus, deux ateliers en continu rythmeront la soirée. Au musée des Beaux-Arts, il sera possible de s’initier à la mosaïque romaine de 19h30 à 22h, et de composer une œuvre avec les deux médiatrices culturelles présentes. Au musée du Temps, c’est la marqueterie qui sera mise à l’honneur. Là aussi, les participants, petits ou grands, pourront repartir avec leur création.

Des visites thématiques et accessibles

Tout le monde, quelque soit ses connaissances, y trouvera son compte. Les organisateurs ont souhaité mettre en place des visites thématiques, qui répondront à toutes les attentes. Personnes valides, en situation de handicap, connaisseurs, ou non, jeunes ou moins jeunes, les approches répondront à la diversité des publics. Une démarche intellectuelle qui s’inscrit pleinement dans les valeurs défendues par la nuit européenne des musées. Visite guidée des sculptures de l’établissement, visites guidée et sensorielle, des collections archéologiques, pour explorer les émotions, … . Les propositions ne manquent pas.

Pensez à réserver votre place. Pour ce faire et obtenir de plus amples informations : www.mbaabesancon.fr

L'interview de la rédaction : Nicolas Bousquet, chef du service développement culturel des musées de Besançon

Comme chaque année, en octobre prochain, l’association Grain d’Pixel présentera son Festival consacrée à la photographie. Cette septième édition se déroulera du 7 au 29 octobre prochain. Comme chaque année, photographes amateurs et professionnels seront au rendez-vous pour présenter leurs plus belles œuvres. Cette année, en partenariat avec la Maison natale Victor Hugo, l’évènement déclinera une nouvelle initiative. Pour la première fois de son histoire, il décernera le prix Victor Hugo de la photographie engagée.

Ouvert aux professionnels, et doté de 1000 euros, l’organisateur et son partenaire  invitent les participants à mettre en image un des huit thèmes chers au célèbre écrivain français : défense des droits humains, liberté d’expression, droits des enfants, des femmes, luttes contre la peine de mort, la pauvreté et l’oppression. Les photographes professionnels désireux de tenter l’aventure ont jusqu’au 15 mai pour s’inscrire. Trois candidats seront sélectionnés, puis un seul, qui présentera le fruit de son travail cet automne, et jusqu’à fin décembre à la maison Victor Hugo. L’objectif est bien entendu de conserver ce travail et de pouvoir le diffuser le plus largement possible.

60 photographes exposés

L’édition 2023 du Festival s’annonce des plus riches. Elle se déroulera les 7 et 8 octobre au Kursaal, ou 1800 visiteurs sont attendus, et du 7 au 29 octobre « hors les murs » et à la galerie de l’ancienne poste, avec des expositions proposées au musée des maisons comtoises de Nancray, à la mairie de Saône et dans différents lieux  à Besançon. On notera la présence cette année de trois invités d’honneur. Le public franc-comtois et les amoureux des beaux clichés pourront ainsi découvrir l’univers de Mélanie Wenger, Isabelle Durand et Laurent Penvern.

L'interview de la rédaction : Yves Gravelin, président de l'association "Grain d'Pixel"

 

Pour la huitième année consécutive, la cathédrale Saint-Jean de Besançon participera,  ce samedi et ce dimanche, à la nuit des cathédrales. A cette occasion, on célébrera également les 20 ans d’épiscopat de Mgr Jean-Luc Bouilleret, nommé archevêque de Besançon,  le 10 octobre 2013. Pour cette nouvelle édition, les amis de la Cathédrale et de son trésor ont voulu donner un esprit religieux, mais également plus profane. Le programme s’annonce riche et varié et proposera une totale mise en lumière de cet édifice. Animations, exposition, concert, visites et conférences rythmeront ces deux belles journées.

L'interview de la rédaction : Chloé Baverel, chargée de mission culture à la cathédrale Saint-Jean

Consacrée le 5 mai 1148, la cathédrale Saint-Jean s’ouvre au public, qui pourra découvrir toute la richesse patrimoniale qu’elle regorge. Classée au titre des Monuments historiques depuis 1875, l’édifice est une église, basilique et cathédrale carolingienne, avec des parties romanes, gothiques et baroques, construit dès le IIIè siècle, puis reconstruite plusieurs fois, notamment au IXè et XII siècles.  La bâtisse comprend un patrimoine remarquable. Elle est l’une des rares à disposer de deux chœurs opposés et recéler une trentaine de tableaux classés au titre des monuments historiques, une horloge astronomique, une salle du trésor , ou encore la Rose de Saint-Jean, un autel circulaire datant du XIè siècle.

De nombreux rendez-vous à vivre

La cathédrale Saint-Jean accueillera les visiteurs de 14h30 à 22h30 ce samedi et de 10h30 à 16h30 ce dimanche. Parmi les évènements à ne pas manquer :

Samedi

14h30 : visite thématique « le Beau siècle ». Par Nicolas Boffy, guide agréé Ville et Pays d’Art et d’Histoire.

15h30 : visite de la cathédrale autrement.

17h30 : vêpres avec le chapitre cathédrale de Besançon et la chorale diocésaine.

18h : Conférence sur l’histoire de la cathédrale. Par Thomas Flum, historien de l’art.

Visite de la cathédrale autrement.

Visite thématique « le Beau siècle ».

20h30 : Mystica Voce – Polyphonie « de Byzance à Cluny ». Par Odo ensemble, direction Claire Merigoux.

22h : mise en lumière de la cathédrale

Dimanche

10h30 : visite de la cathédrale autrement

11h30 : projection du film « les Danseuses cachées ». Sur la volée de cloches de la Cathédrale.

15h : célébration du Jubilé de Mgr Bouilleret.

En continu

  • Exposition
  • Chasse aux trésors
  • Visite de l’horloge astronomique

 

L'interview de la rédaction : Chloé Baverel, chargée de mission culture à la cathédrale Saint-Jean

 

La 26è édition du festival des littératures policières, noires et sociales se tiendra ce samedi et ce dimanche à Besançon, à la salle Proudhon. Cette année, 26 autrices et auteurs feront le déplacement pour partager le fruit de leur travail et leur passion avec les visiteurs. Ce genre littéraire rassemble de plus en plus d’adeptes. Un livre sur quatre vendu est un polar. Preuve de ce succès également, le catalogue des plateformes de streaming et les programmes des chaînes de télévision généralistes regorgent de téléfilms et films liés à cet univers.

Il est vrai que ces écrits et ces créations séduisent. Les intrigues et les questions qu’ils soulèvent et le suspens qui s’en dégage, … sont autant de situations qui captivent et intéressent le lectorat. « On est  attiré, en tant qu’être humain, vers des choses qui nous font peur. Ce voyeurisme-là existe et contribue à ce succès » explique Thierry Loew, un des responsables de l’évènement.

« Mystère au square Castan »

Dans le cadre d’un atelier d’écriture, quatre écrivains ont encadré un groupe d’enfants de CM2 de l’école Rivotte à Besançon. Ensemble, ils ont écrit une nouvelle baptisée « Mystère au Square Castan ». Une création que l’imprimerie de la ville de Besançon a tiré  à 250 exemplaires, et qui sera vendue lors du salon. Ce travail pédagogique a permis de développer plusieurs compétences. Les domaines de l’écriture, de la rencontre et du partage se sont conjugués à la solidarité. Effectivement, l’argent récolté grâce à la vente de cette nouvelle sera reversé à une association qui vient en aide aux personnes qui vivent dans la rue.

Trois rencontres débat

Pour cette nouvelle édition, trois conférences sont également prévues. Samedi après-midi, à 16h, à la Maison natale de Victor Hugo, Marin Ledun présentera son dernier ouvrage « Free Queens », dont l’intrigue se déroule dans le milieu de la prostitution nigérienne à Paris et sur le droit des femmes dans ce pays. Dimanche, à 15h, au même endroit, Romain Slocombe évoquera sa saga sur l’affaire Sadorski, dans lequel il revient sur l’occupation et la collaboration pendant la seconde Guerre Mondiale. Enfin, à 15h30, à la Citronnade (19 rue Ronchaux), l’autrice jeunesse Sylvie Allouche échangera avec le public présent.

La 26è édition du Festival des littératures policières, noires et sociales se déroulera ce samedi de 14h à 19h et dimanche de 10h à 18h à la salle Proudhon, vers le Kursaal, au centre-ville de Besançon.

L'interview de la rédaction : Thierry Loew

La Citadelle de Besançon renouvellera pour la seconde fois, du 8 avril au 1er octobre 2023, son escape game “L’Affaire des poisons”, nous plongeant en plein cœur du 17ème siècle, aux côtés du Roi Soleil et de sa célèbre amante Mme de Montespan.

Pendant une heure et par groupe de 6 personnes au maximum, vous aurez l’occasion de découvrir une autre facette de l’histoire de la Citadelle de Besançon, en tentant de résoudre différentes énigmes plus difficiles les unes que les autres. Entre trahisons, magie noire et sorcellerie, petits et grands mais aussi personnes à mobilités réduites pourront dévoiler leurs ingéniosités afin d’éclaircir cette triste affaire de poisons.

Plus d'infos sur www.citadelle.com

On prépare déjà la fête de la musique du 21 juin prochain à Besançon. La  Ville appelle les groupes, musiciens et les commerçants qui souhaitent organiser des concerts à se faire connaître. Pour ce faire, il convient de contacter le comité technique de la cité comtoise qui apportera ses précieux conseils et répondra aux questions de ses interlocuteurs. Pour ce faire, n’hésitez pas à envoyer un mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.