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Le deuxième jour du procès de Nicolas Zepeda a été marqué par les auditions du directeur d’enquête et d’un enquêteur qui a expliqué ce qu’il avait vu sur les images de vidéosurveillance du campus. Il y a apparaît un homme, rôdant dès le 1er décembre, dans le secteur de la Bouloie. Là, où vivait la jeune étudiante japonaise. L’enquêteur  en est convaincu, cet individu n’est autre que l’ex petit ami chilien. A la vue de cette vidéo, les avocates de Nicolas Zepeda sont montées au créneau. Dénonçant, le fait que cette vidéo et les éléments décrits n’apparaissent pas dans la procédure.

Mardi, vers 17h, à Pontarlier, un homme de 29 ans a été interpellé lors d’un contrôle routier. Les forces de l’ordre ont constaté un défaut d’assurance. Son véhicule a été immobilisé. Les dépistages aux stupéfiants ont répondu positivement à la consommation de cocaïne et de cannabis. Le jeune contrevenant sera convoqué ultérieurement lorsque le résultat des analyses toxicologiques définitives sera connu.

La première journée du procès de Nicolas Zepeda aux assises du Doubs s’est conclue ce mardi soir. Comme le souligne Maître Sylvie Galley, avocate de la famille et des proches de Narumi Kurosaki, ces derniers ont été très ébranlés par les propos tenus par l’accusé ce jour.

ZEPEDA ASSISES

En compagnie de Maître Randall Schwerdorffer, qui assiste Arthur Del Piccolo, le petit ami de l’étudiante japonaise, les avocats de la défense pointent l’aplomb avec lequel Zepeda arrange la vérité, malgré parfois des faits très précis que l’enquête et les investigations ont pu mettre en évidence.

ZEPEDA ASSISES 4

Le procès se poursuit ce mercredi, à partir de 9h,  avec l’examen des faits. Notons que le premier interrogatoire de l’accusé sur les faits est prévu ce jeudi après-midi. Des experts sont également attendus à la barre.

ZEPEDA ASSISES 3

Un septuagénaire, impliqué dans une affaire relative à un conflit de voisinage, dans le secteur de Palente, à Besançon, a été présenté à la justice le 28 mars dernier. Jugé en comparution immédiate, il a écopé d’une peine de deux ans d’emprisonnement avec sursis, d'une interdiction de porter une arme, d'être en contact avec ses victimes et d’une obligation de soin concernant l'alcool.

Le 26 mars dernier, un différend de voisinage a éclaté. Arrivée sur place la patrouille entend une détonation et aperçoit un homme arme à la main qui se déplace. Elle parvient à le désarmer et à l’interpeller. L’individu, qui présentait un taux de 1 gramme d’alcool par litre de sang,  a été placé en garde à vue. L’arme s’est révélée être un révolver à bille de catégorie D. Précisons que la victime s’est vue prescrire une ITT de 3 jours.

Un jeune homme de 17 ans, qui a été retrouvé porteur d’une arme de poing, garnie de cartouches, dans la nuit de lundi à mardi, dans le quartier Planoise, à Besançon, devra s’expliquer le 12 avril prochain devant le juge pour enfants au tribunal judiciaire de Belfort. Il était en possession de plus de 5 grammes de résine de cannabis. Il est apparu qu’il faisait  l’objet d’une interdiction de s’absenter de son domicile belfortain la nuit. Il était également recherché suite à une condamnation judiciaire en rapport avec les stupéfiants.

C’est un procès hors norme qui va s’ouvrir ce mardi matin au palais de justice de Besançon. A compter du mardi 29 mars, et jusqu’au mardi 12 avril, le Chilien Nicolas Humberto Zepeda Contreras comparaît devant la cour d’appel de Besançon pour l’assassinat de l’étudiante japonaise Narumi Kurosacki, en 2016, à Besançon. Soit onze jours de procès. Précisons que le corps de la jeune femme n’a jamais été retrouvé.

Il aura fallu toute la détermination de la justice française et d’Etienne Manteaux, le Procureur de la République de Besançon, pour obtenir l’extradition du Chilien en France. C’est en mai 2020, après le déplacement des autorités françaises au Chili, qui avaient pu obtenir et assister à un entretien entre une magistrate chilienne et l’accusé, et pour lequel 95 questions avaient été posées, que la cour suprême du Chili a autorisé l’extradition de Zepeda. En juillet 2020, Il se voyait notifier sa mise en examen par le juge d’instruction de Besançon. En février 2021, l’ordonnance de renvoi de Zepeda devant la cour d’assises de Besançon du chef d’assassinat était actée. Le 19 mai de la même année, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Besançon confirmait cette ordonnance.

Nicolas Zepeda sera assisté par Maîtres Jacqueline Lafont et Julie Bendetti, avocates au barreau de Paris. Cinq personnes se sont constituées parties civiles. Les proches de la victime seront défendus par Maître Sylvie Galley, avocate au barreau de Besançon. Arthur Del Piccoloh-Saleh sera assisté de Maître Randall Schwerdorffer, également avocat au barreau de Besançon.

Le procès débutera mardi matin, à 10h. Il sera alors procédé au tirage au sort du jury de jugement. La personnalité de l’accusé sera détaillé mardi après-midi. L’examen des faits sera effectué mercredi. Ce n’est que jeudi après-midi que Nicolas Zepeda sera interrogé.

Un jeune homme de 18 ans a été placé en garde à vue hier soir à Besançon. Lors d’un contrôle, ce jeune automobiliste a tout d’abord donné une fausse identité aux policiers, avant de revenir sur ses déclarations. Les investigations ont permis d’établir qu’il n’était pas titulaire du permis de conduire.

Un jeune homme de 16 ans a été interpellé par les policiers bisontins hier soir, vers 18h30, sur le secteur de Planoise à Besançon. Sur son scooter, ce dernier a pris de nombreux risques vis-à-vis des usagers. Le jeune contrevenant, qui avait d’échapper aux forces de l’ordre,  a été ramené manu militari au commissariat et placé en garde à vue.

Un automobiliste de 53 ans a été contrôlé avec 1, 22 gramme d’alcool dans le sang à Besançon, rue de Savoie. Il est également apparu qu’il était au volant malgré une annulation de son permis de conduire et avec un défaut d’assurance. Il a été conduit au commissariat et placé en garde à vue. Il s’expliquera en juin prochain devant la justice.

Un jeune homme de 18 ans devra s’expliquer le 18 novembre prochain devant la justice. Mercredi, à Besançon, il a été interpellé sur un point de deal au centre-ville, rue du petit Battant. Après plusieurs échanges avec d’autres personnes venues sur le site, il a été contrôlé. Assistés du chien stup, les policiers ont découvert du cannabis et de la cocaïne. Ramené au commissariat, il a été placé en garde à vue, avant d’être fixé sur son sort.