Un ressortissant belge de 41 ans a été pris en charge par les secours cet après-midi, vers 17h30, aux Combes (25), au niveau du site d’escalade. Le quadragénaire présentait un malaise après avoir été piqué à plusieurs reprises par des guêpes. Il a été transporté, dans un état grave, à l’hôpital de Pontarlier.
Ce samedi, vers 11h30, à Besançon, les sapeurs-pompiers sont intervenus pour un corps flottant au niveau de l’écluse, situé faubourg Tarragnoz. Malgré l’intervention rapide de l’équipe nautique pour sortir la victime de l’eau et une tentative de réanimation, l’homme, âgé de 70 ans, a été déclaré décédé par le médecin du SMUR. Un obstacle médico légal a été posé par le médecin. Durant l’intervention, Voie Navigable de France a coupé la circulation. La police nationale s’est également rendue sur place.
À l’occasion de Septembre Turquoise, mois national de sensibilisation aux cancers gynécologiques, le CHU de Besançon renouvelle son engagement en organisant une journée d’information et d’échange ouverte à tous. Elle se déroulera le vendredi 19 septembre. Professionnels de santé, patientes, proches et grand public sont invités à participer à une série d’ateliers, de stands et de tables rondes pour mieux comprendre ces pathologies encore trop méconnues.
Une mobilisation essentielle
Chaque année en France, près de 16 000 femmes sont diagnostiquées avec un cancer gynécologique. Ces cancers, qui touchent l’appareil génital féminin, se déclinent en cinq formes principales : endomètre, ovaires, col de l’utérus, vulve, vagin et trompes de Fallope. Si certains sont rares, d’autres comme le cancer du col de l’utérus peuvent être détectés précocement grâce au dépistage, augmentant ainsi les chances de guérison. La prévention joue un rôle clé : activité physique, vaccination et suivi gynécologique régulier sont autant d’actions qui peuvent réduire les risques.
Le CHU de Besançon, centre expert
Le CHU de Besançon est reconnu comme centre expert pour la prise en charge des tumeurs gynécologiques rares. Son approche multidisciplinaire réunit chirurgiens gynécologues et digestifs, oncologues, radiothérapeutes, et professionnels du soin de support. L’établissement propose également des essais cliniques innovants en chirurgie, radiothérapie et oncologie. Un hôpital de jour dédié aux soins de support accompagne les patientes tout au long de leur parcours : diététique, activité physique adaptée, soutien psychologique et sexothérapie font partie des services proposés.
Programme de la journée
Stands d’information
10h-15h | Hall de l’hôpital Jean-Minjoz – Accès libre
Atelier « Vie intime / Santé sexuelle ». Animé par Céline Bruchet, sexothérapeute. Hôpital Jean-Minjoz – Sur inscription : https://framaforms.org/formulaire-dinscription-a-latelier-sante-sexuelle-1753788632
3 Sessions :
10h-11h et 11h30-12h30 (patientes uniquement)
13h30-14h30 (couples)
Café Imagyn
15h-16h | Maison des familles – Sur inscription : https://framaforms.org/formulaire-dinscription-au-cafe-imagyn-1753715884
Un moment d’échange convivial pour les patientes et leurs proches, animé par Babette Gonzales.
Table ronde – Soignants, patientes et proches
16h-17h30 | Thème : Activité physique adaptée avant et après chirurgie pelvienne
Intervenants : Dr Brice Paquette et Quentin Jacquinot, PhD
Inscriptions : https://framaforms.org/formulaire-dinscription-a-la-table-ronde-soignantspatientes-1753789211
Table ronde – Professionnels de santé
15h-16h | Échanges sur les traitements, la recherche et les parcours de soin
Intervenantes : Pr Mougin, Drs Toubin et Mansi
Inscriptions : https://framaforms.org/formulaire-dinscription-a-la-table-ronde-reservee-aux-professionnels-de-sante-1753789501
Cette journée est une invitation à briser les tabous, à mieux comprendre les enjeux des cancers gynécologiques et à renforcer les liens entre patientes, proches et soignants. Une mobilisation turquoise pour une cause qui mérite toute notre attention.
Jusqu’au 27 septembre, la région vibre au son du 78ᵉ édition du prestigieux Festival international de musique Besançon Franche-Comté. Deux semaines de découvertes, de grands rendez-vous et de moments festifs où les territoires de Besançon, Dole, Arc-et-Senans, Vesoul se mettent au diapason.
Une programmation riche et variée
Plus de quarante concerts sont programmés cette année, offrant un large panorama musical : œuvres symphoniques, musique de chambre, créations contemporaines, mais aussi jazz et musiques du monde. Au cœur de cette édition, des compositeurs phares comme Ravel, Mahler, Schubert, Schumann ou Chostakovitch, mais aussi des pièces plus récentes, notamment celles du compositeur en résidence Régis Campo.
Le Concours de jeunes chefs d’orchestre, moment phare
Événement incontournable du festival, le Concours international de jeunes chefs d’orchestre vivra en 2025 sa 59ᵉ édition. Les épreuves finales, prévues du 22 au 27 septembre, réuniront à Besançon des candidats venus du monde entier. Ce concours, unique par son exigence et sa transparence, a révélé par le passé de grands noms de la direction orchestrale.
Une fête pour tous
Le festival se déploie bien au-delà des grandes salles de spectacle. Concerts en plein air, représentations dans des lieux patrimoniaux, rencontres avec les artistes : autant d’occasions de rapprocher la musique du public. Une attention particulière est portée aux jeunes, avec des tarifs réduits — parfois dès 3 € pour les épreuves du concours — et des concerts spécialement pensés pour le public scolaire.
Les places sont disponibles auprès du festival et des points de vente partenaires.
Pour de plus amples informations : https://festival-besancon.com/programme
Une voiture est tombée dans le Dessoubre ce samedi, à la mi-journée, à Bretonvillers. L’occupant, âgé de 60 ans, est parvenu à sortir par ses propres moyens de son véhicule. Après bilan, il a été laissé sur place.
Un corps a été repêché, à la mi-journée, ce samedi, dans le Doubs, au niveau du faubourg Tarragnoz à Besançon. La victime a été sortie de l’eau par les équipes de secours nautiques. Les secouristes ont procédé à la réanimation de la victime, un homme de 70 ans.
Comme chaque année en septembre, Maîche vit au rythme du Concours national des chevaux Comtois. L’édition 2025 a débuté vendredi et se poursuit ce samedi, rassemblant éleveurs, passionnés et visiteurs autour de cette race emblématique de Franche-Comté. Plus qu’une fête, l’événement est un rendez-vous identitaire et professionnel incontournable.
Une première journée sous le signe de l’élégance
La première journée s’est achevée vendredi soir, placée sous le signe de l’élégance, avec la présentation des femelles et chevaux de travail. Des juments majestueuses, des pouliches prometteuses et de robustes chevaux de traction ont défilé devant un public venu en nombre.
Les résultats marquants de cette première journée :
Une reconnaissance précieuse pour les éleveurs, pour qui être sélectionnés dans ce concours reste « une fierté et une belle récompense ».
Une race mise à l’honneur
Rustique, puissant et élégant, le cheval Comtois demeure un symbole de la région. Historiquement utilisé pour les travaux agricoles et forestiers, il connaît aujourd’hui un regain d’intérêt dans un contexte de transition écologique, permettant de travailler sans moteur et donc sans pollution.
Des critères de sélection exigeants
Les juges passent chaque animal « au peigne fin » : conformation (tête, ligne de dos, épaules, puissance) puis déplacements (amplitude, souplesse, justesse des appuis). Cette année, plus de 150 poulains, 240 juments et 200 étalons venus de Franche-Comté et d’autres régions françaises participent aux épreuves.
Un week-end riche en animations
Le concours se poursuit ce samedi avec la présentation de plus de 200 étalons, moment attendu des passionnés. Vers 11h45/12h : présentation de l’invité d’honneur, le cheval Castillonnais, accompagnée de tenues traditionnelles et de chants de montagne. De 14h à 16h : spectacle offert par l’ANCTC, avec Jérôme Sefer (pour la première fois), les Écuries de la Chaux Denis et les Écuries du Bel Horizon. Après 16h : démonstration de maréchalerie avec Fabien Arguedas, pour mettre en valeur ce savoir-faire ancestral.
Un enjeu économique et patrimonial
Au-delà de l’ambiance festive, l’événement reste un moteur économique pour la filière équine et contribue au rayonnement de la région. « Ce concours, c’est le Graal des éleveurs », confient plusieurs participants, attachés à perpétuer un patrimoine vivant. Entre compétition, spectacle et convivialité, le Concours national des chevaux Comtois 2025 s’annonce comme une édition inoubliable.
L’info est donnée par nos confrères su site Arcinfo. Considéré comme une verrue urbaine, le bâtiment Aciera de la rue de France au Locle sera démoli et dépollué en 2026. Racheté par l’entreprise horlogère Tudor, déjà implantée en face depuis 2021, le site fera l’objet d’une déconstruction financée conjointement par le propriétaire et le canton de Neuchâtel. Une étape attendue pour redonner souffle et cohérence au paysage urbain.