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Un corps calciné a été découvert dans une forêt à Thise, dans le secteur du Grand Besançon. La macabre découverte a été effectuée, ce matin, par une promeneuse. Selon nos informations, une enquête pour assassinat a été ouverte. Néanmoins, aucune piste n’est pour l’heure privilégiée par les enquêteurs.

Un individu de 35 ans devrait être déféré ce jeudi pour s’expliquer sur des violences qu’il a commises mardi après-midi rue de Belfort à Besançon. Le trentenaire s’en est pris gratuitement à une dame de 75 ans. Il lui a porté un coup de pied au niveau de l’abdomen, provoquant sa chute au sol. L’agresseur présumé a été placé en garde à vue différée du fait de son comportement instable. Il a reconnu les faits qui lui sont reprochés.  

Ce vendredi, à 18h, la CGT du Doubs, organise une soirée-débat gratuite sur le thème de la réforme des retraites. Le rendez-vous est fixé à la salle David, 11 rue Battant, à Besançon. Des intervenants de différents secteurs d’activité prendront la parole à l’issue de la projection de courts métrages. S’en suivra ensuite un temps de discussion sur des sujets d’actualité : l’âge de départ à 64 ans,  l’espérance de vie ou encore les 1200 euros de pension promis par le gouvernement aux retraités ayant une carrière complète.

L’info est relatée par le journal « Le Progrès Â». L’homme, soupçonné d’avoir agressé au couteau une femme et son bébé aux Rousses, le 4 février dernier, est toujours en soins psychiatriques. Nos confrères ont interrogé Lionel Pascal, le procureur de la république du Jura, qui leur a confié que l’enquête se poursuivait et que l’individu serait interrogé lorsque son état mental sera stabilisé.

Les sapeurs-pompiers ont circonscrit un feu de cheminée, avec propagation à la toiture, hier soir, aux Hôpitaux-Neufs. Trois lances ont été établies. On ne déplore aucun blessé, mais deux personnes ont dû être relogées.

A Pontarlier, après la manifestation qui s’est tenue ce mardi, avec plus de 1000 participants, l’intersyndicale s’est fixée un nouveau rendez-vous pour organiser et prévoir la suite du mouvement. Il se tiendra ce jeudi matin. Il est d’ores et déjà annoncé deux rendez-vous : le samedi 11 mars, à 11h et le mercredi 15 mars.

Serge Dornier, représentant du syndicat CFE-CGC, fait savoir que la lutte se poursuit. Il dénonce « une reforme injuste Â» et pointe l’ensemble des professionnels, exerçant dans des secteurs d’activité difficiles,  qui ne pourront pas physiquement continuer à exercer  leur mission jusqu’à 64 ans. Les personnes mobilisées veulent partir à la retraite « en bonne santé Â» et pas cassé par le travail. « Les gens veulent vivre, passer du temps avec leurs familles et leurs petits-enfants et s’engager aussi dans les associations. Celles-ci ont besoin de nous, les bénévoles de demain Â» ajoute M. Dornier.

Par la voix de Serge Dornier, l’intersyndicale  maintient l’idée que cette réforme est « injustifiée Â». Elle appelle le gouvernement à revenir sur sa décision et aux parlementaires à s’y opposer.  Â« Il y a trop d’argent gaspillé par nos têtes pensantes et qui part dans les paradis fiscaux Â». Pour l’intersyndicale, d’autres moyens d’action et de financement sont possibles. Dans ces conditions, « non à la retraite à 64 ans et à l’allongement des années de cotisation Â».

L'interview de la rédaction / Serge Dornier

 

Ce mercredi, c’est la journée internationale des droits des femmes. Cette année, elle se déroule sur le thème de l’innovation et des technologies pour l’égalité des sexes. Un sujet qui fait débat en pleine polémique sur la réforme des retraites, et de ses mesures, jugées sexistes et inégalitaires.

A Besançon, face à « l’inaction gouvernementale Â», qu’il dénonce, le milieu associatif se prend en main. A travers des collectifs comme « Nous Toutes Â», la nouvelle génération se mobilise pour faire changer les mentalités et démontrer que  les femmes veulent prendre toute la place qui est la leur dans la société. A l’image de Marine, étudiante bisontine, certaines d’entre elles montent au créneau pour imposer une juste équité entre les sexes, se battre contre toutes les violences et les préjugés et en finir avec l’insécurité.

« Lorsque nous faisons des collages sauvages la nuit, nous ne sommes pas en confiance. Nous nous méfions. À tout moment, on peut se faire casser la gueule par des personnes opposées à nos actions Â» explique l’étudiante. « Nous luttons tous les jours pour faire bouger les choses. Nous utilisons tous les moyens qui sont à notre disposition pour le faire Â». Et de conclure : « l’insécurité dans la rue, c’est de pire en pire. J’ai vraiment envie de me révolter par rapport à cela. Je n’ai pas du tout envie d’avoir un homme à mes côtés pour m’accompagner ». Marine pense à toutes ses amies qui ont déjà fait de mauvaises rencontres dans la rue.

L'interview de la rédaction : Marine, jeune étudiante bisontine

Un homme a dernièrement été extrait quelques heures de la maison d’arrêt de Besançon pour être entendu sur plusieurs affaires dans lesquelles il pourrait être impliqué. Il s’agit de vols et dégradations, commis à plusieurs endroits dans Besançon. Le quinquagénaire a reconnu les six faits qui lui sont reprochés.

On le soupçonne notamment d’être entré par infraction dan un local, mis à disposition des réfugiés ukrainiens, à la Malcombe, et d’avoir consommé de la nourriture. Il aurait également pénétré, à plusieurs reprises,  l’été dernier, à l’intérieur du CHU Minjoz pour y dérober des effets personnels et des cartes bancaires après avoir forcé 37 casiers destinés au personnel soignant.