Hier, à Dijon, Franck Robine, le préfet de la région Bourgogne-Franche-Comté a présenté le dispositif « fonds vert » pour l’accélération de la transition écologique dans les territoires. L’enveloppe pour la région Bourgogne Franche-Comté s’élève à 72 millions d’euros.
La rénovation énergétique des bâtiments publics, la maîtrise de la consommation d’espaces et d’énergie, la protection des espaces naturels, la renaturation des villes et le développement du covoiturage font partie des priorités affichées par l’état. Cet argent permettra de financer des projets émanant des collectivités et de leurs partenaires publics et privés. L’état assure que ce dispositif pourra être actionné rapidement pour ‘permettre aux collectivités d’engager au plus vite leurs opérations ».
Les sapeurs-pompiers sont intervenus hier soir, vers 23h15, à Métabief pour un feu de toiture. Le sinistre a pris dans un insert à bois et s’est propagé à la toiture. Une partie de cette dernière a été endommagée. Une lance a été déployée par les secours. Le propriétaire a été relogé dans sa famille.
Hier soir, le FC Sochaux Montbéliard s’est largement imposé face à Valenciennes. On disputait la 21è journée de championnat en Ligue 2. Score final, 4 buts à 0. Au classement, les Lionceaux apparaissent à la 2è place et passent devant Bordeaux. Les deux formations sont à égalité de points (36 points)
La garde à vue d’une femme a été prolongée ce mardi à Besançon. Elle est soupçonnée d’avoir donné un coup de bouteille de champagne au niveau de la tête de son ex-compagnon. Un acte qu’elle réfute. Cependant, une vidéo et le témoignage d’un tiers prouve et affirme le contraire. Les faits auraient été commis lundi soir, vers 23h30, rue des Granges, au centre-ville bisontin. A leur arrivée, les policiers avaient constaté la présence d’une flaque de sang au sol, à l’endroit indiqué. La mise en cause a été retrouvée alcoolisée, allongée au sol. Son taux d’alcoolémie était de près de 2 grammes d’alcool dans le sang.
Ce mercredi soir, l’ESBF reçoit Nice pour une place en demi-finale de la Coupe de France de handball féminin. Avec cette rencontre, les Engagées débutent une période importante, avec une série de matches capitaux pour la suite de la saison. Coupe de France, championnat et Coupe d’Europe, les handballeuses bisontines apparaissent encore dans tous les tableaux, avec la ferme intention d’aller le plus loin possible. Pour Tom Garnier, l’entraîneur adjoint de Sébastien Mizoule, le groupe doit être en mesure de disputer toutes les confrontations annoncées.
Pour la rencontre de mercredi soir, seize joueuses seront présentes sur la feuille de match. Ce qui va permettre à deux jeunes du centre de formation de figurer dans le groupe élite. Une approche du très haut niveau qu’elles ne veulent surtout pas manquer. C’est le cas de la pivot Léa Cuenot. La jeune handballeuse de N1 féminine a conscience que les places sur le banc bisontin sont chères. C’est la raison pour laquelle elle prend avec sérieux et engagement l’échéance qui arrive. Pas question de passer à côté d’une telle opportunité de grandir encore.
Une expérience formatrice
Comme le souligne Tom Garnier, en appelant cette jeunesse prometteuse, les coaches préparent l’avenir. Participer à la vie du groupe, s’immerger dans le haut niveau, vivre ses émotions de l’intérieur, s’entraîner, porter le maillot, autant de situations et d’expériences qui concourent à la formation de ces jeunes joueuses en devenir.
L'interview de la rédaction / Léa Cuenot et Tom Garnier
L’appel des syndicats a été entendu ce mardi. Des milliers de personnes se sont rassemblés dans la rue en Franche-Comté pour dénoncer la réforme des retraites. La jeunesse a animé le cortège bisontin.

A Besançon, de nombreux étudiants ont fait le déplacement pour exprimer leur mécontentement. Ces jeunes se mobilisent pour leurs parents ou grands-parents, mais aussi pour eux et leur avenir de futurs actifs. « Je pense à mon grand-père qui a perdu la vie peu de temps après avoir pris son droit à la retraite » explique Théo. Marina est également venue exprimer ses inquiétudes. « La situation des femmes » l’inquiète tout particulièrement. « Cette réforme est tout sauf égalitaire » appuie-t-ell. Loïs, lui aussi, est venu enrichir les rangs avec ses camarades de la fac de lettres. « La mobilisation directe est la seule béquille que nous avons pour valoir notre voix ».

Le reportage de la rédaction
Les retraités étaient également présents. Ils sont venus dire qu’il était inconcevable d’allonger le temps de travail. « Ce fut tellement difficile pour moi de travailler au-delà de 60 ans que je m’oppose à cet allongement du temps de travail. D’autant plus que les conditions sont devenues difficiles partout » explique ce manifestant. Chacun appelle le gouvernement à écouter la rue et à changer de trajectoire. « Il faut trouver des politiciens qui aient le courage de s’engager vers autre chose » conclut Marie-Jeanne.

Le reportage de la rédaction
Cette année, le Carnaval de Pontarlier prendra une forme différente. A la place du traditionnel défilé en ville, il a été décidé d’organiser un après-midi récréatif. Il se tiendra le samedi 18 février, de 14h à 17h, à la salle des Capucins. La Ville de Pontarlier, en partenariat avec le collectif Parloncap et les Maisons de quartier ont concocté un évènement familial. Au menu : sculpture sur ballons, musique, danse, maquillage, phomaton, … . N’hésitez pas à vous présenter à cet évènement avec le plus beau des déguisements. Pour de plus amples informations : www.ville-pontarlier.fr
Le centre Diocésain accueille l’exposition-vente « KAMOUFLAGE ART » jusqu’au 18 février prochain, regroupant une cinquantaine d’œuvres de l’artiste ukrainien Andriy Naboka. Parmi ces créations, on y retrouve deux thématiques distinctes : des peintures à l’huile et des compositions plus récentes basées sur le tissage de filet de camouflage.

C’est avec une autorisation de sortie exceptionnelle d’une durée de trois semaines qu’Andriy Naboka apporte son soutien à son pays natal, l’Ukraine, au travers de ses peintures exposées au centre Diocésain à Besançon. Conjointement organisée avec les associations « Les convois solidaires » et « UKRaide », l’événement vise à retracer le conflit Russo-ukrainien en faisant usage d’une toute nouvelle technique artistique issue de l’inspiration du contexte actuel. Avec des réalisations faites de chutes de tissus ne pouvant plus servir à la réalisation des filets de combat, l’artiste nous fait découvrir un art nouveau.
L’art, une arme de combat pour Andriy Naboka
Douleur, souffrance, amour… Exprimer son art est devenu sa manière de combattre. Ses œuvres deviennent des témoignages qui retracent ses émotions ainsi que celle du peuple ukrainien face aux horreurs de la guerre. Une triste inspiration qui devient alors la priorité de l’artiste. L’invasion de l’Ukraine par la Russie marque un tournant majeur dans la vie et dans les travaux de l’artiste. L’assemblage de fragments de tissus devient désormais sa marque de fabrique et remplace les peintures à l’huile. Une technique imaginé lors de ses actions de bénévolat dans la confection de filets de camouflage pour soutenir son pays. Parmi cette collection symbolique on retrouve un côté avec des peintures à l’huile imaginées lors des jours heureux et paisibles retraçant les paysages de l’Ukraine mais également les créations confectionnées récemment.

Info complémentaire : L’artiste met à disposition un large choix de créations émouvantes et parlantes à la vente dont les fonds seront reversés dans son intégralité à l’Ukraine.
L'interview de la rédaction : Sophie, bénévole à l’association « Ukraide ».