Choix du secteur :
Se connecter :
 

La Ville de Besançon définit une nouvelle organisation à son service « hygiène et santé » et lui donne également une nouvelle identité. Désormais, appelez-le « service de santé publique ». A travers cette perspective, Anne Vignot et son équipe s’engagent dans une démarche « une seule santé ». Pour faire simple, la majorité municipale veut s’inscrire dans une évolution plus large, répondant aux enjeux sanitaires et environnementaux d’aujourd’hui. L’objectif est de faire savoir et d’appliquer des actions reconnaissant que la santé va au-delà de l’hygiène individuelle, mais englobe d’autres composantes que sont la santé humaine, animale et environnementale dans un ensemble interconnecté. « Ce service fait un travail de coordination de toutes les actions qui peuvent être menées dans toutes nos politiques » explique Anne Vignot.

Engagement des différents services de la Ville

Ainsi, cette nouvelle démarche prend forme dans une approche globale, impliquant différents services de la ville de Besançon. Anne Vignot veut  une réponse coordonnée face aux défis croissants en matière de santé publique tels que le changement climatique, les enjeux liés à l’alimentation, la nécessité d’une vaccination étendue, la lutte contre la sédentarité et la gestion des maladies vectorielles. Des actions qui s’organisent également avec Grand Besançon Métropole, via le Contrat Local de Santé.

Trois grands champs

Le service santé publique s’articule ainsi autour de trois grands champs que sont : la salubrité publique santé environnement, la prévention et la promotion de la santé et la vaccination. C’est dans ce cadre-là que de nombreuses actions sont mises en œuvre, avec différents autres partenaires et experts,  comme : la lutte contre les îlots de chaleur, la présence du moustique tigre et  les piqûres de tique, la qualité de l’air, … . Précurseur dans ce domaine, en se dotant d’un service spécifique depuis 1890, la Ville de Besançon continue d’exister dans ce domaine. Elle organisera, en 2024, les états généraux de la santé en région, et, en 2025, le colloque national du réseau français Villes-Santé.

L'interview de la rédaction : Anne Vignot

Les oppositions municipales, « Ensemble Bisontins ! » et « Besançon Maintenant » et leurs chefs de file Laurent Croizier et Ludovic Fagaut dénoncent l’utilisation par la ville de Besançon du magazine d’information municipale, en l’occurrence le N°451, « pour sa propagande ». Il est dénoncé l’interview d’Anne Vignot, « sur six pages », sur la récente loi dite « immigration ». Les élus exigent « le remboursement de l’intégralité de l’argent public utilisé à des fins de propagande politique personnelle ». Ils disent avoir « saisi le préfet » et étudient « la possibilité de saisir le tribunal administratif ».

La rénovation, notamment thermique, de l’école maternelle Pauline Kergomard, implantée avenue de l’Observatoire à Besançon, est désormais terminée. Cette école fait partie des quatre premiers sites bisontins qui ont bénéficié du soutien de la Ville de Besançon dans le cadre du plan école,  que la cité met en œuvre. D’un montant global de 70 millions sur ce mandat, cette enveloppe conséquente a pour objectif de financer des travaux importants dans les domaines de la consommation énergétique, de la sécurité, mais également du mieux être et du vivre ensemble de tous les acteurs de l’école, qu’il s’agisse des enfants, des enseignants et des familles. La Ville de Besançon a bien compris que ce sont dans ces établissements que l’avenir se joue.

Un investissement de 2,5 millions d’euros

Concernant le seul projet de l’école maternelle Kergomard, le coût de l’opération s’élève à 2,5 millions d’euros. Ce chantier a lancé de nombreux travaux qui ont permis de diviser par quatre la consommation énergétique. Parmi les interventions qui ont été menées, on notera  la mise en place d’une toiture végétalisée, l’installation de panneaux photovoltaïques et d’une centrale de ventilation double flux, le remplacement des huisseries et des menuiseries existantes et l’utilisation de matériaux bio-sourcés pour un meilleur confort thermique… . Concernant les aménagements extérieurs, les sols ont été désimperméabilisés, pour une meilleure gestion et économie des eaux de pluie, et végétalisés, avec l’apport d’arbres supplémentaires. La direction de l’école le certifie, les conditions d’accueil et d’enseignement ont changé et le quotidien est devenu plus agréable.

L'interview de la rédaction / Annaïck Chauvet, élue en charge de la transition énergétique

 

Ca ne l’aura échappé à personne, c’est la Saint Valentin et, dans ce cadre-là, le Musée des Arts et du Temps de Besançon organise une nocturne thématique. Le rendez-vous est fixé de 18h à 22h. L’entrée est gratuite.  La Ville de Besançon veut profiter de ces évènements populaires pour ouvrir son musée au plus grand nombre. Et surtout, rendre la culture accessible à celles et ceux qui n’ont pas toujours le réflexe de pousser les portes de ces établissements, qui peuvent paraître austères.  Il y a quelques mois, la jeunesse avait notamment répondu présent.

Pour l’occasion, plusieurs animations seront proposées tout au long de la soirée.  Sur place, le public pourra apprécier la prestation d’un chanteur lyrique. Un blind test, autour de chansons d’amour, est également au programme. Il a été pensé par l’association « Le Cercle ». D’une durée de 30 minutes, il sera proposé, dans le hall du musée, à 18h30, 19h30 et 20h30. Enfin, parmi les autres rendez-vous, il y aura également l’animation des équipes du Musée, qui ont concocté une séquence sur le thème de l’amour, en s’inspirant des œuvres du site bisontin. Pout rendre la soirée encore plus cocooning, l’association des étudiants kiné de Besançon assurera des massages relaxants.

L'interview de la rédaction / Aline Chassagne, adjointe au Maire en charge de la Culture

La Ville de Besançon rappelle que les personnes intéressées par l’achat d’un bien immobilier dans le quartier Grette-Brulard-Polygones doivent se faire connaître avant le 29 février. Une démarche importante pour que Territoire 25, l’aménageur de la Ville de Besançon, puisse finaliser la programmation des logements mis en vente. Pour connaître les démarches nécessaires : https://welcooom.fr/ad/page/projet/quartier-grette-brulard-polygones

La Ville de Besançon s’est dotée de quatre chaufferies bois mobiles. Ces nouveaux équipements sont installés dans quatre bâtiments publics de la cité, particulièrement énergivores : l’institut supérieur des Beaux-Arts, la cuisine centrale, le groupe scolaire  Jean Zay et prochainement le Centre International de Séjour. Le coût global de ces acquisitions s’élève à 1 million d’euros. En même temps qu’elle procède à la rénovation énergétique de ces bâtiments et que se poursuit les travaux liés à la création d’un réseau de production de chaleur, la ville développe ce dispositif.

Contraintes de faire face aux augmentations constantes des prix de l’énergie, les collectivités doivent porter des réflexions pertinentes pour alléger la facture. Alimentées par la ressource en bois, provenant des forêts bisontines ou situées à 40 km autour de Besançon, réceptionnées sous forme  de plaquettes, ces machines ont cette vocation. Selon la Ville, un gain de 80.000 euros est estimé pour l’année 2024. En année pleine, avec les quatre chaudières en fonctionnement, une réduction de 130.000 euros est envisagée.

 

besancon chaudiere 2

Utiliser toutes les énergies renouvelables

La Ville de Besançon a également choisi cette option car elle salvatrice pour la planète. Anne Vignot, la Maire de la cité comtoise,  explique qu’elle permet « une baisse de 20% des gaz à effet de serre ». Parce que c’est bon pour la planète, mais aussi parce que la Ville veut s’éloigner de sa dépendance financière avec les énergies fossiles, Mme Vignot entend développer, sur son territoire d’action, toutes les énergies renouvelables possibles. Cela passe également par la géothermie.

Le reportage de la rédaction : Mr Titeux, technicien à la ville, et Mme Chaumet, élue.

 

Tout d’abord, veuillez ne plus les appeler, musées du centre, mais musées d’arts et du temps. Cette nouvelle identité s’accompagne d’une réflexion sur un nouveau projet scientifique et culturel, qui permettra de donner une nouvelle dimension aux collections, et notamment à celles du musée du Temps. Avec cette nouvelle démarche, la ville de Besançon veut transmettre  un nouveau souffle culturel à ces établissements. Ce travail de fond « nécessaire », qui s’inscrit dans les Assises de la Culture de la Ville, s’est fixé comme objectif de porter un regard neuf sur les moyens existants et faire un inventaire précis de son patrimoine pour réfléchir à la meilleure mise en lumière, répondant aux enjeux de demain, pour encore  mieux asseoir ces établissements et les ouvrir sur l’international.

Une nouvelle programmation

2024 sera rythmé par plusieurs rendez-vous culturels. Parmi les grands évènements à venir : celui qui mettra à l’honneur, du 24 février au 2 juin, l’œuvre de Claude Monet, « Déjeuner sur l’herbe », avec la présentation du fragment central de cette peinture. Un temps qui s’inscrit dans le cadre du 150è anniversaire de l’impressionnisme, et qui se conclura, le 2 juin, par un déjeuner sur l’herbe musical sur la place de la Révolution. Par cette initiative, et tous les autres rendez-vous, animations et ateliers qu’elle propose, la cité veut créer du lien avec le public néophyte ou confirmé et rendre la culture la plus accessible possible.  Ainsi, ateliers, nocturnes mensuelles, boum anniversaire, expositions, des évènements, autour d’acquisitions majeures… rythmeront cette nouvelle saison culturelle à Besançon.

L'interview de la rédaction : Aline Chassagne, élue en charge de la culture à la Ville de Besançon

 

 

A l’appel de la fédération des taxis du Doubs, les professionnels du secteur se mobilisent ce  lundi  à Besançon. Cette action s’inscrit dans une action nationale. Le coup d’envoi s’est tenu, ce matin, à Chateaufarine. Le cortège bisontin, composé d’une centaine de participants, a sillonné les routes de la cité comtoise, avant de s’installer devant le siège de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie. Au cœur de la contestation la nouvelle convention de l’Assurance maladie concernant les transports sanitaires de patients. Ce qui engendre une baisse de la rémunération de ces professionnels lors des prises en charge.

 

TAXI MANIF 3

« Concrètement, nous redonnions, jusqu’à présent, 8% de nos prestations à la sécurité sociale. Depuis le 4 janvier, la nouvelle réglementation nous impose une hausse de 22% supplémentaire » explique ce manifestant, salarié d’une entreprise. Et de conclure : « c’est la deuxième que je me mobilise. Cela fait six ans que je suis taxi. La première fois, c’était en 2022 pour la hausse des carburants. Nous nous étions donnés rendez-vous devant la préfecture du Doubs ».

L'interview de la rédaction

 

 

TAXIS MANIF

La Ville de Besançon organise un stage, à destination des adultes, pour combattre ou atténuer les effets de  l’aquaphobie. Cette offre vient compléter les formations en natation et en sports de glace mises en place pour les enfants de 4 à 10 ans. Le stage aura lieu du 26 février au 1er mars, à partir de 9h, à la piscine La Fayette et comptera 5 séances de 45 minutes. Les inscriptions débutent ce lundi 29 janvier, à 10 heures.

Les informations pratiques sont consultables en ligne : https://www.grandbesancon.fr/infos-pratiques/sports-loisirs/piscines/

La Ville de Besançon est fière d’annoncer qu’elle a obtenu la dénomination « commune touristique ». Selon le communiqué de la cité, « ce classement, accordé pour cinq ans, est un signal très positif envoyé à tous les professionnels du tourisme ». Elle prouve « l’attractivité et le dynamisme de ce territoire ». Ce label reconnaît les atouts culturels, patrimoniaux et environnementaux de la ville, comme ses chemins de randonnées, sa boucle VTT de 200 km, son patrimoine et son centre-ville historique, …