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La Ville de Besançon rappelle que le dépôt des dossiers pour l’affouage est possible jusqu’au 5 février prochain. Pour cette campagne 2024, 18 lots de bois sont proposés. Toutes les informations et les documents réglementaires sont à retrouver sur le site de la ville, rubrique « actualités ». Le tirage au sort aura lieu le jeudi 8 février et la liste des affouagistes sera approuvée lors du Conseil municipal du jeudi 29 février. Le tarif est fixé à 21.52 euros le stère (bois abattu, débardé, découpé en 4m et déposé en bord de route). Chaque lot étant composé d’environ 10 stères.

13 millions d’euros. C’est la somme que la Ville de Besançon injectera cette année pour l’entretien des équipements majeurs de la cité. Chaque année, depuis 2021, la majorité municipale multiplie par deux cette enveloppe, nécessaire au bon fonctionnement des infrastructures,  qui concourent à la qualité de vie de la population locale. Le patrimoine bâti, la maîtrise énergétique, la biodiversité, le numérique, … font partie des domaines pour lesquels la Ville investit toujours et encore.

Cette année, plusieurs chantiers seront menés. Ces investissements de proximité s’inscrivent dans une démarche liée au climat, à la transition écologique  et au vivant. Les autres choix se porteront sur le quotidien et le vivre ensemble  comme : les mises en accessibilité, la modernisation du fonds des bibliothèques, l’équipement de la police municipale,  l’aménagement des espaces à la Citadelle, … .

Focus sur deux projets

Un plan arbre : Pour un montant de 105.000 euros, les élus vont poursuivre la végétalisation de la ville par la réalisation de la campagne 2024 de plantation d’arbres et arbustes. A travers ce plan, la Ville de Besançon veut prendre les bonnes décisions. « Il s’agit d’un engagement pour l’avenir ». L’objectif est de porter un diagnostic, définir une stratégie, qui impliquera ensuite une prise de décision. Rappelons que cette initiative s’inscrit dans une action annuelle de plantation de 1000 arbres sur le territoire.

L'interview de la rédaction / Fabienne Brauchli, en charge de la transition écologique, des espaces verts et de la biodiversité

Le sport. Chaque année, le conseil municipal investit un million d’euros pour la rénovation et l’entretien de ses équipements sportifs. En 2024, il est notamment prévu la rénovation du terrain synthétique de football du Rosemont, pour un montant de 300.000 euros. Créé en 2012, cette infrastructure était devenue vétuste après 12 ans de pratique. Par ailleurs, une enveloppe de 750.000 euros permettra de mener des travaux à la piscine Lafayette. Il est prévu  la requalification de la pataugeoire, avec la mise en place d’équipements ludiques, le renouvellement du système d’éclairage et le remplacement de filtres. Dans ce contexte, le site sera fermé aux visiteurs du 17 juin au 14 septembre prochain. Les usagers pourront se diriger vers la piscine Mallarmé et les piscines de Chalezeule et Port Joint cet été.

L'interview de la rédaction / Abdel Ghezali, 1er adjoint, en charge des sports

La Ville de Besançon vient de communiquer la liste des quatre porteurs de la flamme olympique. Une flamme qui arrivera à Besançon le 25 juin prochain après avoir traversé le département. L’arrivée est prévue à la Gare d’Eau. La Ville a voulu une équipe présentant le sport dans toute sa diversité, à l’image de l’esprit de l’olympisme. Ainsi, Awa Séné (athlétisme), Vincent Schmidt ( handi sport), Sandrine Mariot (handball) et Michel Chapuis ( canoë kayak) participeront à ce bel évènement. David Matam Matam (haltérophilie) et Maïté Davidovi ( lutte) ont été nommés remplaçants. Ces personnes n’ont pas caché leur plaisir d’avoir été choisies par la cité comtoise. Des champions, éducateurs, bénévoles, qui reconnaissent aisément ce que le sport leur a apporté en tant qu’athlète et personne, et qu’ils essaient de transmettre désormais à des échelons divers.

L'interview de la rédaction : Anne Vignot

Un village olympique

La Ville de Besançon et Grand Besançon Métropole veulent faire des Jeux Olympiques une véritable fête, à laquelle la population locale sera associée. Si le point d’orgue sera le passage de la flamme, les deux collectivités enrichissent cet évènement avec de nombreux rendez-vous. Au menu, dès avril prochain, le public pourra participer à des tournois et des ateliers sportifs avec les acteurs locaux, … . Des initiatives se tiendront dans les quartiers et dans les écoles. Le sport féminin sera également à l’honneur. La ville veut un mélange de culture et de sport, permettant de tisser du lien avec les habitants.  En parallèle, durant toute la durée des jeux, Grand Besançon Métropole proposera un village olympique. Autrement dit, un véritable lieu de rencontre, qui sera ouvert durant tout la durée de l’évènement. Au programme : des retransmissions sur grand écran, des temps d’échange avec le monde sportif local et des animations sportives.

L'interview de la rédaction : Abdel Ghhezali

Pour son traditionnel concert du Nouvel An, l’Orchestre Victor Hugo de Besançon a décidé de mener la danse sur des airs de musique, aux consonnances bien différentes. Le rendez-vous est fixé les 13 et 14 janvier prochains, respectivement à Micropolis Besançon et à l’Axone de Montbéliard, sous la direction de Jean-François Verdier.

Rendez-vous ce samedi à 16h et 20h à Besançon (la deuxième représentation affiche compet) et le lendemain dans la Cité des Princes. Pour de plus amples informations : https://www.orchestrevictorhugo.fr/concerts/danses-du-nord-au-sud/

L’appel à idée du budget participatif de la ville de Besançon est officiellement terminé. Pour cette nouvelle édition, plus de 130 projets ont été déposés par les Bisontins dans l’ensemble des quartier de Besançon. Ils émanent de collectifs désireux de proposer de nouveaux services, de nouvelles infrastructures, de nouvelles animations sur leur territoire de vie.

De décembre 2023 à mai 2024, les services municipaux étudieront la faisabilité technique, juridique et financière des projets déposés. Par ailleurs, du 11 mai au 1et juin prochain, les initiatives qui respectent le règlement intérieur du budget participatif seront soumis aux votes des Bisontins. La ville de Besançon a prévu une enveloppe de 250.000 euros sur cette édition, pour un montant de 1 million d’euros sur la totalité du mandat. Soit 100.000 euros par projet.

Il est possible de retrouver l’ensemble des projets citoyens sur atelierscitoyens.besancon.fr, rubrique « budget participatif-saison 2 ».

L'interview de la rédaction  / Kevin Bertagnoli

 

La ville de Besançon et le Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie viennent d’acquérir une huile sur toile de François Boucher, intitulée « le Mérite de tout pays ». La cité bisontine évoque une toile « très rare par son format et ses dimensions ». Cette acquisition a été obtenue lors d’une vente aux enchères pour un montant de 115.000 euros. Le fonds du patrimoine et le fonds régional d’aide aux musées ont été sollicités,  ainsi que les amis du musée,  pour le financement de cette œuvre.

Dans un communiqué de presse, la majorité bisontine, composée des élus écologistes, socialistes, d’à gauche citoyens et de la société civile, demandent à la préfecture du Doubs une dérogation pour que les commerces de proximité puissent accueillir leur clientèle le dimanche 31 décembre. L’objectif étant de ne pas mettre en concurrence ces commerces, avec certaines grandes surfaces, qui seront ouvertes ce jour-là.

Depuis le début du mandat, la majorité municipale a fait de l’éducation sa priorité. Depuis leur prise de fonction, Pascale Billerey et Claudine Caulet,  ont souhaité travailler avec tous les acteurs éducatifs de la ville, les parents y compris. Et ce,  pour mettre en place, dans les quartiers,  des projets au plus près des réalités du terrain et du territoire. Neuf zones ont été définies. Sous la forme d’ateliers participatifs, ce sont 101 référents qui ont été réunis pour définir et écrire le projet éducatif de la cité. La parentalité, l’inclusion et l’accompagnement des enfants à besoins spécifiques, le vivre ensemble et l’écocitoyenneté sont les quatre piliers de cette démarche. En procédant ainsi, les élus ont voulu créer du lien entre ces différents intervenants et instaurer une continuité éducative tout au long du temps de vie des enfants.

Création d’outils et d’actions éducatives

Cette réflexion commune et ciblée à donner naissance à des outils et des actions pédagogiques. Un groupe de travail sur la sécurité routière aux abords des écoles a permis d’initier l’installation de pastilles de couleurs pour signaler les écoles et la pose d’une borne pour fermer les rues à l’heure d’arrivée et de départ des enfants, dans le secteur Pesty. La création d’un kit d’outils pour aider les équipes à accompagner les enfants à besoins spécifiques, la création d’un jardin dans une école, pour sensibiliser à la biodiversité, et la formation des agents périscolaires, enseignants et enfants à la gestion de conflits font partie des initiatives qui ont pu voir le jour.

L''interview de la rédaction : Pascale Billerey

Dans le cadre de son plan Climat Air Energie, la Ville de Besançon entend, d’ici 2026, prendre les mesures nécessaires pour consommer 60% d’énergie renouvelable dans les bâtiments publics et diminuer, à hauteur de 20%,  ses consommations énergétiques et les gaz à effet de serre.. En parallèle, la cité comtoise continue de développer l’utilisation des énergies renouvelables. C’est dans ce cadre-là que s’inscrivent différents projets, qui trouvent encore plus leur sens avec la crise énergétique que nous connaissons encore. Bois énergie, solaire photovoltaïque, solaire thermique, … les initiatives ne manquent pas. Au total, la Ville a prévu, sur l’intégralité de l’actuel mandat, une enveloppe de 5,9 millions d’euros pour financer son plan sobriété

Focus sur deux projets novateurs

Sur le secteur Granvelle, la production d’énergie se fera par la géothermie. La nappe du Doubs à Granvelle est suffisante pour fournir la ressource nécessaire pour assurer les besoins de chaleur du musée du Temps, du Kursaal et du Théâtre Ledoux. Une reprise des travaux est prévue l’année prochaine.

Par ailleurs, à compter de demain, les travaux pour l’installation d’une première chaudière à bois mobile débuteront à l’école des Beaux-Arts de Besançon. Elle couvrira plus de 80% des besoins en énergie de la structure. Trois autres sites en seront prochainement dotés : la cuisine centrale, le groupe scolaire Jean Zay et la mairie. Ces installations sont transitoires, à terme ces sites seront raccordés au réseau de chaleur urbain. Cependant, la ville  ne veut pas attendre la fin des travaux en cours, compte tenu de la hausse du prix du gaz de ces deux dernières années. Le coût de cet investissement s’élève à plus de 1 million d’euros. Cet équipement devrait être mis en place pour une durée de 4 à 5 ans, avant de connaître d’autres destinés. Avec les quatre chaudières la Ville de Besançon entend faire une économie de 124.000 euros environ. 

L'interview de la rédaction / Annaïck Chauvet, élue en charge des bâtiments et de l'énregie à la Ville de Besançon