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Dans un simple communiqué de presse sur son site internet, la commune de Valdahon indique que l’école Saint-Exupéry peut rouvrir ses portes. Les investigations menés par un  cabinet d’experts « n’a identifié aucun risque à l’amiante Â». Il est précisé que « les taux mesurés sont conformes aux exigences du code de santé publique Â». Une nouvelle expertise sera menée en juillet, comme l’exige la loi. D’ici là, la commune promet de continuer à surveiller le bâtiment et trouver des solutions au décollement des dalles au sol.

Dans un communiqué de presse, la commune de Valdahon annonce la fermeture de l’école Saint-Exupéry Â« par mesure conservatoire Â», jusqu’à nouvel ordre. La présence d’amiante, connue et surveillée, dans l’enceinte de l’école a forcé la Maire à prendre cette décision.

La directrice de l’établissement s’est émue dernièrement de la détérioration de la situation auprès des parents d’élèves.  L’écrit communal précise qu’un rapport de 2021 certifiait « qu’aucun risque pour la santé Â» n’existait. Comme l’exige la loi, la prochaine certification aura lieu en juillet prochain. Néanmoins, une expertise sera menée avant « pour lever l’ensemble des doutes Â».

La rénovation, notamment thermique, de l’école maternelle Pauline Kergomard, implantée avenue de l’Observatoire à Besançon, est désormais terminée. Cette école fait partie des quatre premiers sites bisontins qui ont bénéficié du soutien de la Ville de Besançon dans le cadre du plan école,  que la cité met en Å“uvre. D’un montant global de 70 millions sur ce mandat, cette enveloppe conséquente a pour objectif de financer des travaux importants dans les domaines de la consommation énergétique, de la sécurité, mais également du mieux être et du vivre ensemble de tous les acteurs de l’école, qu’il s’agisse des enfants, des enseignants et des familles. La Ville de Besançon a bien compris que ce sont dans ces établissements que l’avenir se joue.

Un investissement de 2,5 millions d’euros

Concernant le seul projet de l’école maternelle Kergomard, le coût de l’opération s’élève à 2,5 millions d’euros. Ce chantier a lancé de nombreux travaux qui ont permis de diviser par quatre la consommation énergétique. Parmi les interventions qui ont été menées, on notera  la mise en place d’une toiture végétalisée, l’installation de panneaux photovoltaïques et d’une centrale de ventilation double flux, le remplacement des huisseries et des menuiseries existantes et l’utilisation de matériaux bio-sourcés pour un meilleur confort thermique… . Concernant les aménagements extérieurs, les sols ont été désimperméabilisés, pour une meilleure gestion et économie des eaux de pluie, et végétalisés, avec l’apport d’arbres supplémentaires. La direction de l’école le certifie, les conditions d’accueil et d’enseignement ont changé et le quotidien est devenu plus agréable.

L'interview de la rédaction / Annaïck Chauvet, élue en charge de la transition énergétique

 

Ce jeudi 15 février, dans la salle du conseil municipal de Pontarlier, la Maison de l’Europe de Bourgogne Franche-Comté organise une simulation du Parlement européen. Cette simulation s’adresse aux élèves des lycées Xavier Marmier et les Augustins, qui suivent les cours de Sciences économiques et sociales. L’exercice a pour objet d’approfondir les connaissances du processus législatif de l’Union européenne, en s’y confrontant sous la forme d’un jeu de rôle.

Dans un contexte très houleux concernant la mise en Å“uvre de la prochaine carte scolaire dans le Doubs, Nicolas Pacquot, le député doubiste de la majorité présidentielle, fait savoir qu’il est cosignataire d’une proposition de loi pour conditionner la fermeture d’une classe, disposant d’au moins 15 élèves,  Ã  l’accord des conseils municipaux dans les communes rurales de moins de 2.000 habitants. Selon le parlementaire, « l’adoption de cette loi offrirait aux maires la possibilité de contester une telle décision si elle est jugée préjudiciable à l’intérêt et à l’avenir de leur commune Â».

Un rassemblement s’est tenu, à la mi-journée, ce mardi, devant le collège Edgar Faure de Valdahon. Les enseignants dénoncent la nouvelle carte scolaire dans le Doubs, qui a des répercussions sur les moyens accordés aux établissements et aux écoles du département.  Sur le territoire des Portes du Haut-Doubs, le collège valdahonnais se voit supprimer quatre postes d’enseignant et quatre classes, pour les quatre niveaux, en septembre prochain. De plus, dans ce contexte, les quatre classes à projets (orientation, jeux et environnement) disparaîtront également.

Une situation que dénonce notamment Thibault Villeret, enseignant d’EPS au collège Edgar Faure, et dont la classe projets, tournée vers le sport, est en sursis. Le professeur ne comprend pas cette décision en pleine année olympique et alors que le gouvernement ne cesse de vanter les bienfaits de l’activité sportive chez les jeunes. « Ce sont des classes où l’on peut utiliser des pédagogies innovantes. Les élèves ont un temps propre où ils peuvent développer des savoir être et des savoir faire particuliers. La classe sportive est très importante pour l’épanouissement et le dépassement de soi Â» précise l’enseignant. Et de conclure : « en cette année olympique, le sport devrait encore prendre plus de place dans chaque établissement scolaire et dans la société Â».

Thibault Villeret a mis en ligne une pétition, qui est consultable sur : https://chng.it/VxCmGWJBTL

L'interview de la rédaction : Thibault Villeret

 

 

Une mention toute particulière au collège des Louataux de Champagnole qui a remporté, le 19 janvier dernier, le titre suprême dans la catégorie collèges mixtes établissement lancers lors du championnat de France d’athlétisme indoor. On notera également la 5è place du collège Aristide Briand dans la catégorie collège mixte établissement haies.

Hier, Patrice Durand, directeur de l’inspection académique du Doubs, a présenté la carte scolaire, pour le département, pour la rentrée de septembre prochain. Il a confirmé la suppression de 28 postes dans le 1er degré , avec 758 élèves en moins, et la suppression de près de 11 postes d’enseignants, avec une baisse de 393 élèves dans le 2nd degré.  Plein Air fait le point.

Les ouvertures

Ecoles maternelles

Besançon / Île de France

Besançon / Bute

Jougne

La Chenalotte

Les Hôpitaux-Neufs

Pontarlier / Jolio Curie

Ecoles élémentaires

Bugny

Chamesol

Chapelle d’Huin

Dampierre les Bois

Gilley

Houtaud

Labergement-Sainte-Marie

Pontarlier / Louis Pergaud

Les fermetures

Ecoles maternelles

Bannans

Besançon  / Champagne

Besançon / Saint-Claude

Besançon / Fontaine Argent

Besançon / Raymond Vauthier

Besançon / Jules Ferry

Besançon / Vieilles Perrières

Besançon / La Viotte

Dannemarie-sur-Crête

Ecole-Valentin

Fontain

Franois

Les Auxons

Miserey Salines

Montrond-le-Château

Noironte

Ornans ( groupe scolaire Courbet)

Pelousey

Pontarlier / Vannolles

Roche-lez-Beaupré

Thise

Ecoles élémentaires

Amancey

Besançon / Bourgogne

Besançon / Albrecht Durer

Besançon / Île de France

Besançon / Arènes

Besançon / Henri Fertet

Besançon / Butte

Besançon / Helvetie

Besançon / Jean Macé

Epeugney

La Rivière Drugeon

Les Combes

Les Fins

Les Premiers Sapins

Métabief

Miserey-Salines

Pontarlier / Jolio-Curie

Pontarlier / Charles Péguy

Pouligney-Lusans

Villers-le-Lac (Centre)

Vorges-les-Pins

Dans un communiqué de presse, le syndicat SNUipp-FSU du Doubs fait savoir qu’il répond à l’appel national et boycotte, ce vendredi, le Conseil Départemental de l’Education National. L’instance devait entériner la première partie de la prochaine carte scolaire. Ils disent « ne pas vouloir cautionner la politique de la casse de l’école publique, organisée par le gouvernement Â». Ils se rassembleront en début d’après midi devant l’entrée, où se tiendra l’instance, à Besançon, avenue de la Gare d’Eau.

Le gouvernement est enfin au complet. Et ce, un mois après l’arrivée de Gabriel Attal à Matignon. Parmi les changements et nominations à retenir, il y a l’éviction d’Amélie Oudéa Castéra au ministère de l’Education national. Elle reste néanmoins aux Sports, Jeux Olympiques et Paralympiques. Elle est remplacée par la socialiste Nicole Belloubet, ancienne rectrice d’académie et garde des Sceaux sous Edouard Philippe.