Le 14 septembre, à Planoise, un individu a pris la fuite à la vue des policiers en surveillance avenue de Bourgogne. Il a jeté deux sachets de cannabis (6 g) et 11 bonbonnes de cocaïne (3 g) avant d’être interpellé. Âgé de 18 ans, il portait 55 euros et a nié tout trafic, évoquant une consommation personnelle. Il a déclaré être en situation irrégulière et travailler au noir. La garde à vue a été levée le 16 septembre à 11h00. L’homme a été remis en liberté avec une convocation judiciaire pour le 3 juillet 2026.
Le 11 septembre, vers 23h30, les forces de l’ordre sont intervenues pour un différend de voisinage au chemin des Écoles des Tilleroyes, à Besançon. Lors du contrôle d’identité, les policiers ont découvert qu’une femme de 56 ans faisait l’objet d’une recherche judiciaire émise par le tribunal de Lille, suite à la révocation de son sursis probatoire.
Condamnée à trois mois d’emprisonnement, elle a été placée en rétention judiciaire. La mise en cause a reconnu ne pas avoir informé les autorités de son déménagement, expliquant ainsi la non-réception des convocations du juge d’application des peines. La rétention a pris fin le 12 septembre. Elle est convoquée devant le jeune d’application des peines de Besançon le 20 novembre prochain à 10h.
Le 11 septembre, vers 18h30, à Besançon, la BAC est intervenue après un signalement anonyme. Les policiers ont observé deux transactions de stupéfiants entre un vendeur et des clients, entre les rues Renan et du Cingle. Le suspect a été suivi jusqu’au hall du 2 rue Renan.
Le chien stup marqua une porte. L’appartement était vide mais imprégné d’odeurs. 700 g de cannabis, 3 g d’héroïne et du matériel ont été saisis. Plus tard, la locataire, âgée de 18 an, se présenta aux forces de l’ordre et reconnu héberger un trafiquant contre rémunération. Elle s’expliquera en juin prochain devant la justice.
Le 11 septembre, rue des Causses, à Besançon, un acheteur de 53 ans a été interpellé avec 0,80 g d’héroïne qu’il tentait d’avaler. Le vendeur, 21 ans, repéré plus tard sur le même point, a été interpellé avec 80 € en numéraire. Tous deux ont été placés en garde à vue. L’acheteur a reconnu les faits et sera convoqué le 7 janvier prochain. Le vendeur conteste malgré les éléments de surveillance et son téléphone. Il a été placé en détention provisoire à Besançon jusqu’à aujourd’hui.
À Besançon, la première semaine du procès de Frédéric Péchier, accusé de 30 empoisonnements dont 12 mortels, s’est conclue vendredi dernier devant la cour d’assises du Doubs. L’anesthésiste a nié toute implication. Le témoignage du directeur d’enquête a mis en lumière le rôle de deux seringues contenant des substances incompatibles avec les soins, considérées comme des éléments clés à charge. La défense dénonce une procédure « à charge », tandis que les premiers témoignages de proches de victimes ont plongé la salle dans une atmosphère lourde. Le procès, qui doit se poursuivre ce lundi, doit durer jusqu’en décembre.
Le 10 septembre dernier, vers 20h15, rue de l’Orme de Chamars à Besançon, deux individus ont été interpellés après avoir lancé des projectiles sur les forces de l’ordre lors d’un attroupement de 45 personnes se dirigeant vers l’hôtel de police.
Deux policiers ont été légèrement blessés mais ont poursuivi leur service. Les mis en cause, âgés de 18 et 19 ans, ont reconnu les faits. Ils ont été placés en garde à vue et convoqués devant le délégué du procureur en novembre pour une composition pénale.
Le 10 septembre, vers 17h, rue Fabre à Besançon, une patrouille de police a intercepté un véhicule après des vociférations à leur encontre. Le conducteur, âgé de 62 ans, présentait un taux d’alcoolémie de plus de 1,6 gramme dans le sang et transportait deux couteaux de catégorie D. Placé en garde à vue, il a écopé d’une ordonnance pénale : six mois de suspension de permis, un stage de sensibilisation à la sécurité routière et cinq ans d’interdiction de port d’arme. Il s’expliquera le 6 janvier devant le délégué du procureur.
Le 8 septembre, vers 21h, à Besançon, rue Charles Viancin, une patrouille a repéré un échange suspect entre trois individus. Le contrôle et les perquisitions ont permis la saisie de 407 g de cannabis, 0,66 g de cocaïne et 1 840 euros. Le conducteur a reconnu livrer la drogue pour 200 €/jour. Le passager gérait les ventes, le troisième assurait le ravitaillement. Tous trois ont été placés en garde à vue. Un homme de 43 ans a été déféré au parquet. Les deux autres, dont un mineur, ont reçu des convocations judiciaires.
Le 9 septembre dernier, vers 16h45, un équipage de police est intervenu Place Cassin suite à des signalements de riverains concernant des ventes illicites de cigarettes. Sur place, les agents ont identifié un jeune vendeur dissimulant son marchandise dans le coffre de son véhicule.
Lors de l’interpellation, six cartouches de cigarettes, trois pots de tabac et 415 euros ont été saisis. Âgé de 17 ans, le suspect a reconnu les faits et a été placé en garde à vue. Il est convoqué devant le juge des enfants le 3 octobre prochain et confié aux services de protection de l’enfance.
Le 9 septembre, vers 15h, à Besançon, la Police Municipale a intercepté un conducteur circulant à 115 km/h sur le boulevard Kennedy, limité à 50 km/h. Lors du contrôle, les agents ont constaté une alcoolémie de plus de 1 gramme par litre de sang et un usage de stupéfiants. Âgé de 35 ans, l’individu a été placé en garde à vue, reconnaissant les faits. Il a été remis en liberté dans l’attente des résultats complémentaires d’analyse.