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Le 7 septembre, vers 17h10, une patrouille de la BAC a surpris une transaction de stupéfiants en flagrant délit rue de la Famille, à Besançon. L’un des deux individus, porteur d’un sac à dos, a été contrôlé. À l’intérieur, les policiers ont découvert plusieurs sachets conditionnés : 110 g de résine de cannabis, 20 g d’herbe, 22 g d’ecstasy ainsi que 1 190 euros en liquide.

Âgé de 42 ans, l’homme a reconnu revendre pour le compte d’un tiers, en échange d’une rémunération quotidienne et de produits pour sa propre consommation. Une perquisition à son domicile a permis de retrouver un peu plus de 3 g de résine de cannabis et du matériel de conditionnement.

Déféré le 9 septembre, il a été conduit à la maison d’arrêt de Besançon pour purger une peine de huit mois de prison.

Le procès de l’anesthésiste Frédéric Péchier s’est ouvert ce lundi 8 septembre à Besançon. Accusé de 30 empoisonnements  présumés, dont 12 mortels, il a clamé son innocence. La première journée a été consacrée à l’appel des parties et à la lecture des faits. Le procès doit durer jusqu’au 19 décembre. Il reprendra ce mardi, à 9h, avec notamment l’interrogatoire de l’un des enquêteurs.

 

Le 6 septembre, vers minuit, à Besançon, un conducteur de 33 ans a été intercepté boulevard Churchill après avoir franchi un feu rouge. Contrôlé par la police, il s’est avéré que son permis de conduire était annulé judiciairement. Un dépistage a révélé une alcoolémie de plus de 1 gramme par litre de sang. Placé en garde à vue, il devra s’expliquer  devant la justice le 5 mai prochain

Le 5 septembre, vers 16h45, deux individus ont été interpellés rue Pergaud à Besançon alors qu’ils tentaient de lancer des colis par-dessus le mur d’enceinte de la maison d’arrêt. Surpris en flagrant délit par les policiers du GSP, les deux hommes âgés de 18 et 26 ans ont été placés en garde à vue. Les 19 colis jetés contenaient uniquement des sandwiches. Les mis en cause ont reconnu les faits, affirmant avoir été rémunérés 50 euros chacun par un tiers. Ils seront jugés en comparution immédiate ce lundi 8 septembre.

Le procès de Frédéric Péchier, anesthésiste de renom, débute aujourd’hui devant les assises du Doubs. Le prévenu est accusé de trente empoisonnements ayant entraîné douze décès entre 2008 et 2017. Il comparaît libre. La défense dénonce une « erreur judiciaire » et une « construction artificielle d’un coupable idéal ». On lui reproche d’avoir manipulé des poches de perfusion pour provoquer des arrêts cardiaques, pour mieux intervenir en sauveur. Ses victimes sont âgées de 4 à 89 ans. Elles étaient hospitalisées dans deux établissement de la cité comtoise : la clinique Saint-Vincent et la polyclinique de Franche-Comté.

Les expertises psychiatriques n’ont révélé aucun trouble mental, mais une analyse psycho-criminologique évoque des traits de personnalité narcissiques et pervers. il entend prouver son innocence face à plus de 150 parties civiles et une cinquantaine d’avocats.  Le verdict est attendu le 19 décembre prochain.

Ce lundi 8 septembre, s’ouvre devant la cour d’assises du Doubs, au palais de justice de Besançon, le procès de l’ex-anesthésiste bisontin  Frédéric Péchier. Ce dernier est jugé pour avoir prétendument empoisonné 30 patients, dont 12 mortellement, entre 2008 et 2017.

Déroulement de l’audience

Les portes du tribunal s’ouvriront à 8 h. Entre 400 et 500 personnes, parmi lesquelles victimes, familles et associations sont attendus au palais de justice de la cité comtoise. Selon les accusations, Péchier aurait contaminé des poches de perfusion dans des blocs opératoires — notamment à la clinique Saint-Vincent et à la Polyclinique de Franche-Comté — provoquant des arrêts cardiaques ou complications graves, puis en intervenant comme « Sauveur Â». L’affaire a débuté après la révélation de 70 événements indésirables graves (EIG), dont 30 sont aujourd’hui retenus contre lui. Ce que pointe les enquêteurs :  une structure répétée des incidents, la manipulation de perfusions (notamment avec des doses massives de potassium) et l'intervention systématique de Péchier, suspecté de vouloir impressionner ses pairs. L’un des éléments clés est l’affaire de Sandra Simard, victime d’un arrêt cardiaque durant une opération, suivie de séquelles cérébrales, et où un dosage de potassium cent fois supérieur à la norme avait été retrouvé.

Défense et accusation

Elle conteste. Péchier affirme que ces incidents ne sont pas avérés, qu’il s’agirait d’une « fausse affaire », voire d’un complot. L’accusation, quant à elle,  le présente comme  Â« Le plus grand tueur en série du XXIᵉ siècle ». Le procès devrait durer jusqu’au 19 décembre prochain, dans la salle historique du Palais de justice  de Besançon, qui a été entièrement réaménagée pour les besoins de la procédure.

Ce lundi 1er septembre, vers 13h30, à Besançon, un homme de 30 ans a menacé et insulté un passant avec une arme de poing devant une supérette de la rue Battant. La victime s’est réfugiée quelques minutes dans un commerce avant d’alerter la police municipale.

L’auteur a été interpellé et placé en garde à vue. L’arme, un pistolet de type airsoft, a été saisie. Il a été convoqué en composition pénale le 28 novembre et devra suivre un stage de citoyenneté ainsi qu’une injonction thérapeutique.

Le 1er septembre, un jeune homme de 19 ans a été condamné par le tribunal judiciaire de Besançon à six mois de prison avec sursis et à 14 heures de travaux d’intérêt général pour trafic de stupéfiants.

Cette décision fait suite à son interpellation la veille, le 31 août, rue Île-de-France, dans le quartier de Planoise à Besançon. Lors d’une opération de sécurisation, les policiers, agissant sous réquisition du procureur, ont repéré l’individu dissimulé derrière un pilier à proximité d’un point de vente connu.

Contrôlé, il était en possession de 43 grammes de résine de cannabis, 6 grammes de cocaïne, une balance de précision et 120 euros en espèces. Placé en garde à vue, il a reconnu vendre des stupéfiants pour le compte de tiers.

Le 29 août, vers 19h30, , les policiers municipaux bisontins sont intervenus au 1 Grande Rue, alertés par un commerçant,  signalant un individu perturbateur. Ce dernier, mécontent, a proféré des injures en langue arabe et lancé une chaise en direction du commerçant. Lors de son interpellation, il s’est opposé par la force aux agents.

L’individu, âgé de 25 ans, a été placé en garde à vue. L’exploitation des caméras a confirmé le jet de chaise sans dégâts. Il a ensuite tenté de frapper un agent avec sa ceinture, sans succès, avant d’être maîtrisé par un passant et menotté.

Lors des auditions, le mis en cause a reconnu avoir lancé la chaise, tout en niant les faits de violence et de rébellion. Sa situation administrative restait à clarifier. Il a été remis en liberté le 31 août, avec une convocation fixée au 5 mars prochain.

Le 30 août, vers 11h30, boulevard du président John Fitzgerald Kennedy à Besançon, le gérant de l’épicerie « A Casa » a surpris via les caméras de surveillance un individu en train de dérober des billets dans la caisse. L’auteur, âgé de 55 ans, a reconnu les faits et restitué la somme volée, soit 240 euros. Interpellé sans incident, il a expliqué avoir profité de l’absence de personnel pour agir. À l’issue de sa garde à vue, il a été convoqué dans le cadre d’une procédure de comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) fixée au 5 mars.