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Un homme de 48 ans devra répondre de ses délits et manquements devant la justice. Le 24 février, à 9h, une patrouille a constaté une infraction à hauteur de la rue de Salins à Pontarlier.  Il a été interpellé à Houtaud. Lors des vérifications d’usage, il est apparu qu’il était en possession de 7 grammes de résine de cannabis. Les résultats du test salivaire sont en attente. Il devra donc s’expliquer pour détention et conduite sous stupéfiants. Son permis de conduire étranger n’était pas en règle. En France, depuis plus d’un an, il aurait dû procéder à son changement.

Il est désormais possible de porter plainte en visio à compter de ce lundi 26 févier. Cela concerne les violences, vol ou escroquerie notamment. Ce dispositif, qui a été expérimenté, est désormais généralisé. Cette démarche n’est pas obligatoire. Par ailleurs, selon la nature de l’affaire, une audition en présentiel pourra être demandée. En particulier, si elles concernent des agressions ou atteintes sexuelles.

L’info est donnée par l’Est Républicain et le Parisien. Il est expliqué que le juge chargé de l’affaire Frédéric Péchier a notifié, ce vendredi, la fin de l’instruction aux parties. Il a signé l’ordonnance mettant fin à l’instruction du dossier. Rappelons que l’ex-anesthésiste bisontin de 51 ans est mis en examen pour 30 empoisonnements volontaires de patients, dont 12 sont mortels. Le quotidien régional évoque un probable procès « en 2025 Â».

Un homme d’une vingtaine d’années, domicilié dans la circonscription de Pontarlier, a été incarcéré. Il a dû répondre à une convocation du commissariat de police pour ne pas avoir fourni de justificatifs d’adresse dans le cadre d’un suivi judiciaire.  Le jeune homme a été placé en garde à vue.  Les investigations policières ont permis d’établir qu’il faisait également l’objet d’un mandat d’arrêt. Il devra s’expliquer devant la justice pour les premiers faits. Le second l’a conduit en détention.

Un individu a été déféré ce jeudi après-midi à Besançon. Il est soupçonné d’avoir insulté et agressé un autre homme, qui se trouvait dans un café, à Pontarlier, avec sa famille. Il aurait brandi une arme blanche. Ce sont deux connaissances des protagonistes qui ont désarmé l’agresseur. Une plainte a été déposée par la victime.

Un homme de 43 ans devra s’expliquer, en juillet prochain, devant le tribunal judiciaire de Besançon. Le 20 février dernier, il a été interpellé à l’issue d’un vol commis au préjudice d’un magasin spécialisé, situé rue des Granges, au centre-ville de Besançon. Le montant du préjudice s’élève à près de 54 euros. Les investigations policières ont permis d’établir qu’il faisait l’objet de 17 mentions  pour des faits de vol.

L’info est parue ce lundi. Jonathann Daval, actuellement incarcéré pour le meurtre de son épouse Alexia, a porté plainte en diffamation contre la mère et la sœur d'Alexia. Son avocat Maître Randall Schwerdorffer a expliqué que cette plainte vise des propos tenus par la famille dans une série télévisée, diffusée sur Canal +, et consacrée à ce drame. Rappelons que Daval purge actuellement une peine de 25 ans de réclusion.

Justice. La cour d’appel à Besançon a prononcé la relaxe d’un policier, qui avait été condamné, en première instance, pour avoir donné un coup de matraque à un gilet jaune, lors d’un rassemblement qui s’est tenu à Besançon, en 2019. L’avocat de la victime bisontine a fait savoir dans la foulée qu’il allait saisir la Cour européenne des droits de l’homme.

La police de Pontarlier appelle de nouveau la population à la prudence. Les cambriolages augmentent dans le département du Doubs, notamment en zone gendarmerie. Le Commandant Trousseau  a mis en alerte les citoyens vigilants de son territoire. Il est rappelé que la population locale doit être sur ses gardes et appliquer les bons comportements pour se protéger. Les habitants du territoire pontissalien sont invités à composer le 17 lorsqu’ils se sentent menacés ou constatent des situations intrigantes.

Les salariés des 26 magasins Galeries Lafayette, dont ceux de Besançon et Belfort, propriétés du sulfureux milliardaire Michel Ohayon, restent dans l’expectative, après le renvoi au 21 février prochain, par le tribunal de commerce de Bordeaux,  de l’audience concernant l’examen final du plan de sauvegarde de ces différents  sites français.  Un millier de salariés sont concernés et s’inquiètent pour leur avenir.