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Un individu a été présenté à un magistrat ce jeudi à Besançon. Interpellé, à Pontarlier, le 7 février, cet automobiliste a multiplié les infractions. Il a tout d’abord été constaté qu’il conduisait sous l’effet de produits stupéfiants. Les investigations policières ont également permis d’établir qu’il était au volant malgré une annulation de son permis de conduire. Répondant à une convocation, il a été placé en garde à vue le 13 février dernier. Au cours de cette dernière, il a reconnu les faits

Un individu de 26 ans, originaire de Besançon, a été interpellé, à Pontarlier, ce mardi. Il était en possession de quelques grammes d’herbe et de résine de cannabis, 1240 euros en numéraire et 340 francs suisses. Il possédait également deux cartes d’identités et  une carte bancaire volées. Il a expliqué aux policiers qu’il venait de trouver tout cela et qu’il s’apprêtait à les confier aux objets trouvés. Ce qui n’a pas convaincu les forces de l’ordre.

Il est également apparu qu’il était sous le coup d’une peine de 7 mois d’emprisonnement. Au cours de son audition, il a reconnu que la drogue lui appartenait, pour sa consommation personnelle. Il n’a pas pu justifier la provenance de l’argent. Précisons qu’il a refusé de transmettre les codes de son téléphone portable. Il s’expliquera en avril prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon.

A Besançon, un individu a été condamné à neuf mois de prison, dont six avec sursis. Il s’est débarrassé d’un sac, contenant de la drogue, le 11 février dernier. A la vue des policiers, le mis en cause a pris la fuite, alors qu’il se trouvait, dans des garages, sur un point de deal connu, rue Dürer, dans le quartier Planoise.

Le sac contenait près de 240 grammes de résine de cannabis, 10 grammes d’herbe de cannabis et 9 grammes de cocaïne. Interpellé dans un immeuble de la rue Léonard de Vinci, il était également en possession de 200 euros en numéraire. Au cours de son audition, le suspect a reconnu participer à un réseau de vente de stupéfiants. La perquisition, menée à son domicile, n’a rien donné.

Le bureau local de la Confédération Nationale du Logement de Besançon s’indigne. Pour la deuxième fois, le bailleur social Loge.GBM a demandé un report d’audience. Le 13 février, la structure avait été assignée devant la justice par l’association pour s’expliquer sur les conditions de vie des locataires de l’immeuble de la rue de Champagne, dans le quartier Planoise. Le collectif bisontin dénonce cette situation qui retarde un retour à des conditions de vie dignes pour ces personnes.

Une femme, domiciliée à Pontarlier, devra s’expliquer en juin prochain devant le tribunal judiciaire de Pontarlier. A deux reprises, elle a refusé de remettre  leur enfant à son père, pour lequel ils ont une garde partagée. Au cours de son audition, elle a reconnu les faits.  

Assigné par l’Union Locale CNL de Besançon, Loge.GBM comparaît devant la justice ce mardi 13 février, 9h30, à Besançon. L’association explique que cette démarche résulte «  de l’impossibilité de se faire entendre par le bailleur ». Le collectif demande que la justice insigne à ce dernier « de tout mettre en œuvre pour que les locataires de l’immeuble de la rue de Champagne, dans le quartier Planoise, retrouvent des conditions de vie dignes ». L’insécurité y règne.

Jeudi dernier, dans le cadre de l’opération « place nette », les forces de l’ordre bisontines ont procédé à l’expulsion de 33 squatteurs. de la drogue et des armes lourdes ont été découvertes. Rappelons que l’immeuble en question est amené à être détruit dans le cadre de la réhabilitation du quartier Planoise. Michel Boutonnet de la CNL est au micro de la rédaction.

 

L'interview de la rédaction : Michel Boutonnet

 

Les policiers bisontins sont intervenus ce dimanche rue Berlioz  à Besançon pour des violences sur conjoint en état d’ivresse. L’homme a poussé sa conjointe, qui présentait des blessures au bras gauche. L’individu avait un taux de 1,20 gramme d’alcool par litre de sang. La victime n’a pas souhaité la présence des sapeurs-pompiers, mais se laissait la possibilité de porter plainte. L’homme est âgé de 28 ans. Sa compagne a 25 ans.

Un homme de 38 ans sera présenté ce dimanche au procureur de la République pour des violences conjugales. Sa compagne est venue déposer plainte vendredi, en fin d’après-midi au commissariat de police de Pontarlier. Elle est venue dénoncer les faits d’espionnage, de dénigrement et d’outrage. L’enquête de voisinage et sur le lieu de travail de la dame a permis de corroborer les faits. L’agresseur présumé a été placé en garde à vue.

Un homme de 23 ans devra s’expliquer en mai prochain devant la justice. Il a été interpellé par les policiers pontissaliens, après avoir pris la fuite, pour avoir importuné son ex-conjointe. Ce dernier aurait contacté à 87 reprises sa victime durant la nuit du 9 février dernier.

Pour se venger, il a également fracturé la vitre de la porte d’entrée de l’immeuble où elle réside. Durant sa garde à vue, il a reconnu les faits. Cette dernière a été levée ce samedi matin. Précisons que le syndic a également porté plainte pour les dégâts occasionnés.

Un individu de 28 ans devra s’expliquer en juin prochain devant la justice. Ce jeune homme, qui s’est fait renvoyer de son travail et de l’association, pour laquelle il s’était engagé, à Pontarlier, a tenté de se venger. Il est parvenu à récupérer l’identité d’une dizaine de victimes et a créé de faux comptes, pour leur envoyer ensuite des articles qu’ils n’avaient pas demandés.

C’est ainsi que certains ont reçu des dizaines de pizzas ou encore des sex-toys, qu’ils ont refusé de payer à chaque fois. Malgré le blocage de l’adresse IP de son ordinateur, les policiers ont réussi à l’identifier. Lors de sa garde à vue, le mis en cause a reconnu les faits qui lui étaient reprochés.