Après deux ans d’absence, en raison de la crise sanitaire, le grand week-end carnavalesque de Besançon fera son retour en avril prochain. Deux belles journées sont au programme. Cela fait six mois maintenant, malgré les incertitudes que bénévoles et associations se mobilisent pour renouer avec cette ambiance festive collective qui nous a tellement manquée.
Comme ce fut le cas en 2019, le programme se déclinera en deux journées thématiques. Le 16 avril, un temps d’animation est prévu à Granvelle à 13h30. A 20h, place à la soirée Showband, ouverte à tous, avec la possibilité de venir déguiser, à 20h. Enfin dimanche, les festivités débuteront par la course de garçon de café à 13h30. Elle sera suivie par le grand défilé de carnaval à 14h30, avec les traditionnels chars, Guggenmusiks et confettis qui résonneront et seront lancés dans tout le centre-ville.
Pour tout savoir sur cet évènement et s’inscrire (pour les professionnels) à la course de garçon de café, rendez-vous sur la page Facebook de l’événement : https://www.facebook.com/Comit%C3%A9-des-F%C3%AAtes-du-Grand-Besan%C3%A7on-580173109017290
L'interview de la rédaction : Stéphane Iemmolo, secrétaire général du comité des fêtes de la ville de Besançon
En cette année 2022, le Jura célèbre le Bicentenaire de la naissance de Louis Pasteur. Les festivités ont déjà été lancées, avec la publication d’un timbre à son effigie, mais d’autres riches moments sont à venir. Plusieurs acteurs culturels et scientifiques locaux sont engagés dans cette initiative. Associations, collectivités et bien évidement l’établissement public de coopération culturelle « Terre de Louis Pasteur » déclinent un programme qui devrait permettre à tout un chacun de mieux connaître le père de la vaccination, ses travaux et leur répercussion et leur impact dans le contexte sanitaire et environnemental actuel.
Un programme en trois temps
L’établissement public, qui gère la maison de Louis Pasteur à Arbois, la maison natale à Dole et un service pédagogique « les ateliers Pasteur », a prévu un programme en trois temps, avec un contenu associant Pasteur et des problématiques contemporaines. Trois quinzaines ont été pensées. Début avril, seront évoqués les ferments technologiques à Poligny. Ce temps se déroulera sous la forme de colloques, de rencontres, de cafés scientifiques, avec des chercheurs, et d’ateliers. La quinzaine de juin s’attardera sur « les illustres ». Une démarche plus patrimoniale, qui met en lumière ce label, accordé par le ministère de la culture aux deux maisons jurassiennes, mais dont bénéficient également d’autres sites partout en France. A cette occasion, une exposition digitale sur « Pasteur à 20 ans » sera lancée. Enfin, cet automne, le thème des microbes sera abordé. Une réflexion plus scientifique qui mettra en perspective les enjeux sanitaires et environnementaux du moment et les travaux des chercheurs. « La science n’est pas qu’affaire de spécialistes. Nous sommes dans une situation d’urgence. Ce Bicentenaire est également organisé pour donner à chacun de la nourriture intellectuelle pour prendre des décisions personnelles, politiques et citoyennes » conclut Sylvie Morel, directrice de l’établissement public de coopération culturelle « Terre de Louis Pasteur ».
Toutes les informations utiles sont à découvrir sur le site : www.terredelouispasteur.fr
L'interview de la rédaction
Les secours sont intervenus cette nuit, vers 2h30, à Ruffey-le-Château, sur la départementale 67, pour un incendie sur un poids-lourd, transportant 20 tonnes de fourrage. La remorque, contenant 10 tonnes de fourrage, a pu être détachée et préservée par le conducteur avant l’arrivée des secours. Trois lances ont été établies.
Un automobiliste d’une trentaine d’années devra s’expliquer le 2 juin prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Mardi soir, vers 23h, lors d’un contrôle routier, l’homme, qui roulait à vive allure, présentait les signes caractéristiques de l’ivresse. Ce dernier a refusé de se soumettre aux vérifications d’usage. Il a, dans un premier temps, été placé en garde à vue avec notification des droits différés. Après dégrisement, lors de son audition, il a reconnu partiellement les faits.
Un homme, avec un taux de 2,14 grammes d’alcool dans le sang, a été interpellé ce mercredi matin, vers 9h30, à un arrêt de bus, situé rue du Luxembourg, à Besançon. Il est soupçonné d’avoir blessé une femme de 35 ans. La victime, qui présentait une plaie ouverte au cuir chevelu et des traces de coups sur le visage, se trouvait au 2è étage d’un immeuble dans un appartement. A 17h, ce mercredi soir, il présentait encore un taux d’1 gramme d’alcool par litre de sang.
Ce mercredi, vers 10h, un jeune homme d’une vingtaine d’années, connu des urgences psychiatriques du CHU Minjoz à Besançon, a été interpellé et placé en garde à vue différée en raison de son alcoolémie et de son emprise sous produits stupéfiants. Il est soupçonné d’avoir violenté deux personnes, rue Lavoisier à Besançon. Il aurait utilisé un panneau de signalisation.
C’est un événement qu’elles ne manqueraient pour rien au monde. Ophélie Janiault, étudiante en BTS Agricole Production Animale, et Solène Berne, étudiante en BTS Agricole Analyse, Conduite et Stratégie de l’Entreprise Agricole, au lycée de Dannemarie-Sur-Crête, participeront ce samedi 26 février à la finale nationale des ovinpiades qui se déroulera au Salon de l’Agriculture de Paris.
Pour en arriver là , les deux étudiantes ont surclassé une trentaine d’autres candidats lors de la sélection régionale qui s’est tenue à Levier. Les deux compétitrices, motivées par la place parisienne qui était en jeu, ont réussi la dizaine d’ateliers qui étaient proposés. Au menu : reconnaissance des races, parage, appréciation de l’état de santé de l’animal, tri des animaux, … .
Vivre pleinement le salon
Comme tous les jeunes passionnés, Ophélie et Solène trépignent d’impatience. Elles en oublieraient presque le concours qui les attend. La possibilité qui leur est offerte de pouvoir vivre le salon de l’agriculture de l’intérieur est fortement appréciée. Le partage des savoir-faire, la rencontre avec d’autres professionnels, d’autres cultures, la vie collective, … sont autant de situations qu’elles attendent de vivre pleinement. En bonnes franc-comtoises qu’elles sont, elles ne quitteront pas la capitale sans avoir assisté au grand concours de la Montbéliarde, qui se disputera dimanche.
L'interview de la rédaction : Ophélie Janiault
Dans une lettre ouverte, la CGT s’inquiète que la qualité des services publics dans le Jura, et notamment à la Dreets, anciennement l’inspection du travail. Selon le syndicat, cette administration n’assurerait pas sa mission de renseigner les salariés sur leur droit au travail. Il incombe cette situation au non-remplacement de deux agents en charge de ce service. La CGT dénonce ces conditions et demande que « la défense des droits des travailleurs reste la priorité dans cette période marquée par des plans de licenciements de masse ».