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Le concours « Talent des cités » est lancé. Il récompense chaque année une trentaine d’entrepreneurs issus des quartiers prioritaires de la politique de la ville dans le but de valoriser l’initiative entrepreneuriale. Tout entrepreneur résidant en quartier prioritaire de la Politique de la Ville, ayant son entreprise installée sur ces territoires ou étant sur le point de s’installer peut concourir. A Besançon, les quartiers prioritaires sont : Battant, Clairs-Soleils, Hauts de Saint-Claude, Montrapon, Orchamps-Palente et Planoise. L’inscription est possible jusqu’au 14 juillet sur le site : https://talents-des-cites.wiin.io/fr/ . Pour de plus amples informations : 03.81.87.84.10

Ce samedi 22 juin, les syndicats CFDT, CGT et FSU-SNUipp appellent de nouveau à un rassemblement pour « le progrès social et la démocratie » à Pontarlier. A travers cette mobilisation, l’intersyndicale compte sur « un sursaut démocratique et social » et exprimer son refus de voir le Rassemblement National accéder au pouvoir en France. Le rendez-vous est fixé, à 11h, sur la place d’Arçon.

A l’occasion des 160 ans de la Croix Rouge Française, l’Unité Locale de Champagnole organise une journée de découverte de ses activités le samedi 22 juin de 9h à 17h. Au menu : les formations dispensées, les actions sociales, l’urgence et le secourisme. Le rendez-vous se tiendra sur la place de la maire de Champagnole.

Une mobilisation est prévue ce jeudi 20 juin, de 8h à 17h30 sur le campus de Mamirolle, près de Besançon. Les représentants des personnels de l’ENILEA Campus  veulent protester « contre la politique globale que mène le Conseil Régional Bourgogne Franche-Comté à propos du devenir de certains bâtiments de l’établissement ».

Ils refusent la vente des bâtiments et appellent à « un vrai projet immobilier durable sur le campus de Mamirolle », alors que la structure « est au maximum des ses capacités de logement et que ses filières professionnelles sont en plein développement en termes d’emploi ».

L’info est relatée par nos confrères du journal « Le Progrès ». 35 emplois, sur les 45 que comptent les deux sites jurassiens, implantés à Ney et Champagnole, seraient menacés à l’imprimerie Gresset. Le quotidien jurassien explique que « la direction prévoit de transférer la production et l’unité logistique sur ces autres sites en France, dans l’Indre, la Nièvre et l’Aveyron ».

La Ville de Besançon se félicite de la signature du protocole d’accord, survenu hier, portant sur la prime exceptionnelle, accordée aux agents de la fonction publique de la ville, de Grand Besançon Métropole et du Centre Communal d’Action Sociale. Il a été signé « avec la majorité des organisations syndicales ». Cette décision contribue à une augmentation de 850 à 950 € par an des rémunérations des personnels de la catégorie C. Localement, ce sont plus de 2400 agents qui bénéficieront dès le mois de juillet 2024 d’une augmentation de revenus.

La Maison Pour Tous des Longs Traits prépare sa fête de quartier. Elle se déroulera le 8 juin prochain à Pontarlier, 11 rue de Vuillecin. Au programme : maquillage, structure gonflable, jeux sportifs, jeux en bois, … . Les enfants et leurs familles  sont attendus de 14h à 17h pour participer à la kermesse. De 17h à 18h, un spectacle sera proposé. Il sera suivi d’un repas dansant.

L’intersyndicale SUD/FO  des Musées du centre-ville de Besançon appelle de nouveau à la mobilisation ce vendredi 31 mai. Un rassemblement est prévu de 11 heures à midi sur la place de la Révolution. Le collectif  juge que la dernière rencontre, en avril dernier, avec deux élues bisontines, Elise Aebischer et Aline Chassagne, n’a rien donné. « La souffrance au travail » perdurerait. Selon les syndicats, « elle s’aggraverait ». Le management de l’actuelle directrice est clairement dénoncé. L’intersyndicale dénonce l’inaction de la majorité municipale et sa proposition, peu convaincante, de coaching collectif.

La mobilisation promet d’être très suivie. La fédération des pharmaciens d’officines (FSPF) et l’Union de syndicats de pharmaciens d’officine appellent ces professionnels à la fermeture de leurs officines et à des rassemblements sur le territoire ce jeudi. Ils demandent des revalorisations financières. A Besançon, un rassemblement est prévu à 10h sur la place de la Révolution. Le cortège a prévu de se rendre devant la préfecture.

Ce mardi, à l’occasion de la journée internationale d’action pour la santé des femmes, qui a permis à plusieurs associations de présenter leur action, les futurs acteurs de la maison des femmes pour l’égalité ont présenté les avancées du projet. L’association de préfiguration a pu prouver que le projet avance et qu’il pourrait voire concrètement le jour durant le 2è semestre 2025. Rappelons que cette initiative portée par le CIDFF ( Centre d’Information sur les droits des femmes et des familles) du Doubs et Solidarité femmes s’installera rue Jean Wyrsch, dans les  locaux de l’ancienne résidence Henri Huot.

Rappelons que cette structure sera un lieu d’accueil unique, pluridisciplinaire et inclusif pour toutes les femmes et leurs enfants, en demande d’information, de prévention, d’orientation et d’accompagnement. « L’objectif est de faciliter la réponse apportée et d’avoir un lieu unique  qui répondra à toutes les interrogations » explique Inès Gros, chargée de projet au sein de la structure bisontine. Les différents acteurs veulent également décliner un lieu vivant et participatif, qui permettra la construction d’un réseau partenarial départemental au profit de l’égalité et de la lutte contre les violences faites aux femmes et aux minorités de genre. « La coordination existe déjà entre les associations, mais nous voulons la renforcer » explique Inès Gros. Et de continuer : « le fait de travailler ensemble va enrichir la collaboration des associations et va laisser place à de nouveaux projets. Donc, à une réponse encore plus complète  pour les femmes ».

L'interview de la rédaction : Inès Gros et Aurélie Bottex

Un lieu ressource de prévention et d’information

Cette initiative va permettre une prise en charge encore plus efficace. « Nous rencontrons parfois des femmes qui ont un petit laps de temps pour pouvoir venir nous rencontrer. Elles sont contrôlées par leur conjoint ou leur ex-conjoint parce qu’elles sont seules pour gérer le quotidien et qu’elles n’ont pas la disponibilité possible pour s’occuper d’elles. Rassembler au même endroit différents partenaires peut permettre à ces femmes d’avoir une réponse complète  à leurs problématiques » termine Aurélie Bottex, travailleuse sociale à solidarité femmes