L’affaire a été transmise au parquet de Besançon. Ce samedi, vers 12h15, une explosion et un incendie se sont produits dans une habitation, située rue du Plane à Levier. Lorsqu’il a vu apparaître de la fumée, un voisin, alerté par son fils, s’est vite rendu sur les lieux du sinistre. Il a alors constaté la présence de vêtements qui brûlaient. Selon lui, la chaleur aurait sans doute provoqué l’explosion d’une bouteille de gaz. "Lorsque nous sommes arrivés avec une autre personne, ça pétait et explosait dans tous les sens" explique-t-il.
L'interview de la rédaction
Lorsqu’il est arrivé sur les lieux, l’homme a rapidement sorti la voiture, qui n'avait pas brûlé, mais il s’est très vite aperçu qu’une femme se trouvait à l’intérieur. Lorsqu’il s’est intéressé à la scène, il a constaté que la victime avait été égorgée. C’est alors qu’il décide d’alerter les secours. "Le feu se trouvait à l'étage supérieur, au grenier, avant de descendre à l'étage inférieur" commente l'intervenant.

Un couple en conflit
Pour l’heure, l’enquête déterminera les causes précises de ce drame. La police criminelle s’est rendue sur les lieux. Selon le voisin rencontré, le couple vivait des moments difficiles et la femme s’était confiée à plusieurs reprises sur ses craintes et ses peurs. L’enquête se poursuit. "Je connaissais l'homme depuis quelques temps. Je sais qu'il avait des problèmes avec son ex-femme. Je l'ai présenté à la victime. Je pensais que ça allait bien marché" ajoute le voisin. Et de terminer : "Elle était venue me trouver chez moi pour m'expliquer sa situation et me raconter ses craintes d'être tuée".
Les secours sont intervenus cet après-midi, vers 14h15, à Sainte-Anne, pour une personne qui s’est tordue la cheville sur un chemin de randonnée pédestre. Ne pouvant plus se déplacer, et l’endroit étant inaccessible aux véhicules terrestres, il a été fait appel à Dragon 25 et une équipe du GRIMP pour extraire la personne par hélitreuillage. Elle a ensuite été prise en charge par une ambulance, avant d’être évacuée sur l’hôpital de Pontarlier.
Environ 2000 personnes ont défilé ce samedi après-midi à Besancon pour dénoncer l’extension du passe sanitaire. Ils jugent cette décision gouvernementale contraire aux lois que doit fixer un état dans une démocratie. « Liberté » ont scandé les manifestants.

« Dictature », « le passe ne passe pas », « vaccins ARN = génocide », « résiste, prouve que tu existes », … les slogans ne manquent pas pour exprimer sa colère et son opposition. Dans le cortège, des citoyens, venus en famille, des militants syndicaux et politiques, représentant l’extrême droite et l’extrême gauche ». La presse n’est pas toujours la bienvenue. « Ces journalistes à la botte du pouvoir, qui travestissent la vérité à leur guise ». Pour certains, la crise sanitaire est un leurre et les décès et nombreux malades que comptent la Martinique et la Réunion ne sont que mensonge. Pour d’autres, la France sombre dans une véritable dictature qu’il convient de combattre. Pourtant, une chanteuse est encore capable de prendre le micro en ville pour interpréter ses morceaux contestataires, grâce aux installations électriques de la cité, et la foule peut encore manifester librement, malgré une manifestation non déclarée, dans les rues du centre-ville bisontin.

Vers une reprise du mouvement des Gilets Jaunes ?

A peine commencée, la manifestation s’est brusquement arrêtée. Frédéric Vuillaume, l’un des leaders du mouvement, demandant une exclusion de représentants de l’extrême droite, qui s’en seraient pris à des manifestants. Quelques minutes plus tard, le cortège a poursuivi sa marche, en modifiant un peu son parcours habituel. A travers ces manifestations, la cinquième portant sur le sujet du passe sanitaire, et à sept mois de la présidentielle, certains manifestants espèrent une rentrée encore plus mouvementée. Et pourquoi pas ? un retour à l’automne 2018, où les gilets jaunes avaient fait trembler le gouvernement.

Les sapeurs-pompiers du Doubs interviennent actuellement à Levier, rue du Plane, suite à une explosion, suivie d’un feu dans une habitation. Plus d’info dans les prochaines minutes.
Hier soir, pour son deuxième match de préparation, le Grand Besançon Doubs Handball s’est incliné sur le score de 30 à 29 contre Sélestat. A la mi-temps, le tableau des scores affichait 15 partout. Le prochain match amical se disputera le 21 août prochain. Les Bisontins affronteront Sarrebourg au gymnase des Capucins à Gray.
Suite à la décision prise par la famille d’arrêter les recherches à la Réunion, et afin de témoigner de son soutien, la mairie sera exceptionnellement ouverte ce samedi 14 août jusqu’à 12h00, où un livre d’or est à la disposition du public.
Par ailleurs, la municipalité rappelle « qu’afin d’apporter un soutien financier à la famille pour quelle puisse poursuivre les recherches, l’amicale des Sauterelles a créé une cagnotte. Pour participer, le lien en ligne est le suivant : https://www.leetchi.com/c/solidarite-pour-la-famille-de-brigitte-ligney-aide-aux-recherches
Ligue 2
FC Sochaux Montbéliard 1 – 0 Dunkerque.
National 2
ASM Belfort 2 – 1 Auxerre (2)
Fréjus 1 – 2 Jura Sud
Foot amical
Samedi 14 août
FC Morteau Montlebon (N3) 3 - 3 Roche Novillars (R1).
Meyrin (D4 - Suisse) 4 - 0 Racing Besançon.
Raon-l’Etape 1 - 2 Besançon Football.
CA Pontarlier - Dijon (2). A Paul Robbe. A 16h.
Cette affiche devrait sans doute susciter de nouvelles réactions. Après celle très controversée de Charlie Chaplin, habillé en führer, avec un brassard LREM et slogan « obéis fais toit vacciner », Max Marandet, le garagiste champagnolais, qui pourtant avance une démarche apolitique, met clairement en scène cette fois-ci Emmanuel Macron.
On y voit le Président de la République en Louis XIV. Comparant ici, la France en une monarchie et non plus une république. Cette comparaison est apparue à plusieurs reprises dans le pays après qu’Emmanuel Macron se soit empressé de supprimer l’ISF lors de son arrivée à l’Elysée, tardant ensuite à mettre en application des mesures plus sociales.
« Macon 1er. Ceci n’est pas en montage ». Une affirmation mise en parallèle de la photo précitée. Une nouvelle affiche, qui fait suite aux précédentes, moins polémiques que la dernière : « Don Corleone soutient Sarkzoy », « Marine + Zemour = Zarine » et le Général de Gaulle s’interrogeant sur « ce qu’il a fait au bon dieu ».
La note "affichage apolitique, satirique et patriotique, fait au nom de la liberté d'expression" apparaît également toujours en bas de la publication.