Choix du secteur :
Se connecter :
 

Hier soir, le Premier Ministre Gabriel Attal était l’invité du journal télévisé de 20h sur TF1. Parmi les mesures qu’il a annoncées, Gabriel Attal souhaite  Â« des allègements de cotisations Â» pour augmenter « les bas salaires Â». Il veut également une réforme de l’assurance-chômage. Elle interviendra dans l’année. « La réduction de la durée d’indemnisation de plusieurs mois , sans descendre sous les douze mois Â» a été évoquée.

A compter du 2 avril, et jusqu’au 11 avril, dans le cadre du festival « Les Inclusifs Â», les bibliothèques municipales de Besançon organiseront une semaine d’animations autour du handicap afin de partager, reconnaître et accepter les différences visibles ou invisibles de chacun. Il sera notamment proposé des séances de jeux avec l’association des Familles de Traumatisés Crâniens, des lectures d’histoires et de comptines signées, pour apprendre tout en s’amusant la Langue des Signes Française, mais aussi plusieurs ateliers de sensibilisation à la déficience visuelle et à l’initiation du braille, ainsi qu’à la création d’une histoire tactile avec la fabrication d’un objet. Toutes les informations sont à retrouver sur le site https://sortir.besancon.fr/2024/03/13/festival-les-inclusifs-3eme-edition/

Hier, mardi, des syndicats d’enseignants, le SNES-FSU et Sud,  ont appelé à la grève pour le mardi 2 avril. Ils demandent l’abandon des mesures du « choc des savoirs Â», et notamment la mise en place des groupes de niveau au collège. Les syndicats entendent également dénoncer les salaires et les moyens accordés à l’école publique.

Selon des chiffres du diocèse de Besançon, 64 adultes du diocèse seront baptisés dans leurs paroisses lors de la vigile pascale le samedi 30 mars prochain. En 2023, 40 adultes ont reçu le baptême dans le diocèse de Besançon, alors que cette année ils sont 64 à demander ce sacrement. La plupart d’entre eux seront confirmés et communieront pour la première fois à la Pentecôte, le dimanche 19 mai prochain. Ces baptêmes seront célébrés à la Cathédrale Saint-Jean - Saint-Etienne de Besançon, à 20h30.

Ils sont nombreux les Français à vouloir opérer une reconversion professionnelle. Suite au Covid19, l’envie de faire autre chose et d’organiser autrement sa vie professionnelle, et par conséquence sa vie personnelle, est apparue.

Sous certaines conditions, le projet de transition professionnelle concerne tous les salariés du secteur privé. Il leur donne ainsi la possibilité de changer de métier, sans être bloqué par un éventuel problème financier. Ainsi, les partenaires sociaux ont confié le soin à l’association « Transitions Pro BFC Â» d’utiliser les fonds de la formation professionnelle pour accompagner et soutenir au mieux les personnes, qui souhaitent changer de direction et entamer un nouvel avenir. Les conditions sont différentes en fonction du type de contrat dans l’entreprise. La prise en charge va également s’attarder sur le type de formation sollicitée, sur la qualité de l’organisme de formation, …. . Néanmoins, « la personne décide de ce qu’elle veut faire. C’est son projet Â» explique Francis Jérôme, directeur général de Transitions Pro Bourgogne Franche-Comté.

Quelle prise en charge ?

En fonction de l’avancement de son projet professionnel, le bénéficiaire pourra prendre rendez-vous auprès d’un conseiller en évolution professionnelle, avec lequel sera évaluée la solidité, la pertinence et la précision d’une telle entreprise et/ou les points à améliorer. S’en suivra ensuite le dépôt d’un dossier, sur lequel une commission ad-hoc se positionnera. Il est toujours bon de rappeler que la personne n’est pas obligée de démissionner de son poste actuel. « La personne reste salariée de l’entreprise. La société  va continuer de lui verser son salaire durant sa formation. Et nous, nous rembourserons le salaire à l’entreprise Â» explique M. Jérôme.  Précisons également que le salarié ne démissionne pas et, en fonction de l’évolution de son initiative, pourra retrouver son poste.

Informations pratiques

Pour obtenir de plus amples informations : https://www.transitionspro-bfc.fr/ . Les personnes qui souhaitent être accompagnées dans l’élaboration de leur projet peuvent se rendre sur le site https://mon-cep.org/ pour prendre rendez-vous auprès d’un conseiller en évolution professionnelle. N’hésitez pas à vous connecter sur le site internet de l’organisme financeur et créer votre espace personnel afin de pouvoir échanger avec des interlocuteurs et obtenir des réponses le plus précises possibles à vos interrogations.

L'interview de la rédaction / Francis Jérôme, directeur général de Transitions Pro Bourgogne Franche-Comté.

En 2023, l’Urssaf Franche-Comté a redressé 4,63 millions d’euros de cotisations au titre de la lutte contre le travail dissimulé (1,2 milliard au niveau national). En 10 ans, le réseau des Urssaf a triplé le montant annuel des redressements réalisés, pour dépasser pour la première année le milliard d’euros en 2023 (contre 321 millions en 2013). En Franche-Comté, près de 30 millions d’euros ont été redressés sur les 5 dernières années.

La finale régionale 2024 de « Ma Thèse en 180 secondes Â» a couronné ses doctorants. Dix candidats étaient en lice hier soir à Besançon. Ils avaient trois minutes pour convaincre jury et public avec une présentation de leurs travaux de recherche. Trois d’entre eux ont été récompensés. Deux défendront les couleurs de la région en demi-finale, à Paris, du 28 au 30 mars prochain. Bertrand Kaczmarek a remporté le prix du jury pour son sujet de recherche en philosophie. Chloé Mercier a remporté le prix du public avec son travail de réflexion consacré à la biochimie et biologie moléculaire.

Le nombre de personnes qui a perdu la vie sur les routes de France est en hausse. En février, 224 personnes sont mortes. Soit une augmentation de 3% par rapport à l’an dernier à pareille époque. Selon les chiffres de l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière, le nombre de blessés graves est équivalent à celui de février 2023, avec 973 victimes enregistrées.

L’info suscite un véritable émoi. A Ouvans, près de Besançon, quatre poneys ont été retrouvés dans un état déplorable par des enquêteurs de la SPA, hier, dans une maison insalubre.Ces animaux sont ceux qui évoluaient dans le parc Micaud à Besançon. Selon la SPA, une des bêtes « gisait au sol Â», dans un état de décomposition avancée. L’intervention de la gendarmerie a permis d’approfondir les recherches. Trois crânes de poneys, un crâne de chien et des crânes de moutons ont été retrouvés également. Les animaux vivant, quatre chiens et quatre poneys, ont été confiés à une autre association. Ils devaient être vus par un vétérinaire.

Dans le cadre des actions qu’elle mène dans le domaine des violences intrafamiliales, l’association France Victimes  Doubs/ Besançon vient d’être dotée de 28 boutons sécurité « MonShérif Â». Un dispositif, financé par le Lions Club, et qui a permis à la structure jumelle de Montbéliard d’en obtenir également.  L’association, spécialisée dans l’accompagnement des victimes d’infractions pénales, gère déjà, sous la responsabilité du tribunal judiciaire de Besançon, les téléphones grave danger et les bracelets anti-rapprochement.

L’organisation, qui encadre ces alarmes, est un peu différente, mais l’objectif reste le même. Les détenteurs enregistrent une liste de cinq proches, qui peuvent être contactés rapidement, via leur smartphone, s’ils se jugent en danger. Le bouton, de petite taille, est connecté au système Bluetooth du téléphone portable. En un ou deux clics, les contacts sont prévenus. « Un clic correspond à un message préalablement enregistré, qui sera diffusé aux proches référencés. Le double clic est un message d’alerte, qui est reçu par voie de SMS, message vocal ou mail, qui demande à prévenir les forces de l’ordre. Le double clic permet également de géolocaliser la victime Â» explique Cécile Chaffanjon, la directrice de l’association.

Les personnes qui souhaitent contacter la structure pour être accompagnées ou qui désirent bénéficier de ce dispositif peuvent  contacter l’association en composant le 03.81.83.03.19 pour le secteur bisontin et le Haut-Doubs.  

L'interview de la rédaction : Céline Chaffanjon