Le Grand Besançon Doubs Handball n’est pas parvenu à enchaîner une deuxième victoire consécutive. Hier soir, dans le cadre d’une nouvelle journée de championnat en ProLigue, le groupe de Benoît Guillaume s’est incliné à Nancy sur le score de 29 à 35.
Ce jeudi, les policiers pontissaliens sont partis à la recherche d’une personne qui avait disparu des radars des services de soin de la ville. L’individu se trouvait entre l’hôpital et son domicile lorsqu’il a été identifié. C’est lors de transfert à l’hôpital par le SMUR que la situation a dégénéré. Ce grand gaillard a voulu s’échapper du véhicule. Il a fait usage de sa force. Les policiers ont utilisé leur taser pour le maîtriser. Il a été conduit à l’hôpital psychiatrique du Grandvallier.
Les vacances d’automne se préparent à Pontarlier. Durant trois jours, les 26, 27 et 28 octobre prochains, les collégiens et lycéens du secteur sont invités à participer au projet cultures urbaines que leur propose le collectif ParlonCap.
Ainsi, dans le cadre de la mission éducative qu’ils se sont fixés, Eric Louvrier, le coordinateur de cette structure, qui regroupe les quatre établissements sociaux de la cité du Haut-Doubs ( la Maison de Quartier des Pareuses, la Maison Pour Tous des Longs Traits, la MJC des Capucins et le Centre Social Berlioz), et les directeurs permanents veulent intéresser les adolescents à tous les domaines artistiques. Rien de mieux que d’aborder ce milieu, parfois éloigné des jeunes, par le prisme des cultures urbaines. Pour Eric Louvrier, « la culture doit s’adresser au plus grand nombre et ne pas être réservée qu’à une élite ». Autrement dit, savoir casser les codes et les barrières pour susciter de l’intérêt et se découvrir des talents et des compétences.
Des professionnels avec la jeunesse
Pour cette nouvelle édition, les organisateurs ont associé le Musée de Pontarlier, qui accueillera des participants. Les cinq ateliers seront animés par des artistes et des professionnels, désireux de partager leur savoir faire et leur passion. Les jeunes s’investiront sur un même domaine durant trois jours. Au programme : hip-hop, beatbox/rap/dj, customisation sur baskets et casquette, graff sur planche de skate et dessin de son autoportrait.
Une exposition finale, programmée le 28 octobre, mettra en lumière les travaux réalisés. Quelques places sont encore disponibles. Pour obtenir de plus amples renseignements, n’hésitez à contacter l’une des quatre structures organisatrices.
L'interview de la rédaction / Eric Louvrier
Premier opposant d’Anne Vignot, l’élu bisontin LR Ludovic Fagaut a fait sa rentrée politique ce mardi 4 octobre. Il avait donné rendez-vous aux membres du groupe « Besançon Maintenant » et ses soutiens à la salle Courbet. Une centaine de personnes avait fait le déplacement.
Pour l’occasion, il avait invité le co-fondateur de la société bisontine Hyvilo pour échanger sur la thématique « ville de demain, ville intelligente » et aborder les sujets de la mobilité, de l’adaptation climatique et de la smart city. « Aujourd’hui, la ville connectée, la ville intelligente a tout son rôle à jouer en matière de sécurité, d’adaptation au changement climatique, de gestion des flux de circulation et des places de stationnement » explique M. Fagaut.
Une autre politique à mener
A mi-mandat, Ludovic Fagaut est plus que jamais très critique sur la politique menée par l’écologiste Anne Vignot et la majorité municipale de gauche au conseil municipal de Besançon. « Être Maire d’une commune, ce n’est pas être Maire d’une franche de la population » commente-t-il. Et de poursuivre : « C’est être maire de tout un ensemble, de tous les quartiers. Il faut répondre à toutes les problématiques, à tous les enjeux ». L’élu de droite dénonce également « un déni de démocratie » de la part de la Maire, qui « s’obstine à ne pas prendre en compte les propositions » formulées par son opposition. « On a l’impression que l’on a les sachants d’un côté et les ignares de l’autre. On ne lâchera pas notre engagement. Nous sommes convaincus que le territoire bisontin peut-être tout autre que ce que l’on nous propose, avec cette décroissance en cours » poursuit-il.
« Pas d’écologie punitive »
Il n’y pas de doute, ce sont bien deux politiques différentes qui s’affrontent à Besançon. A ce sujet, Ludovic Fagaut pointe « la politique écologique punitive » mise en place depuis l’arrivée aux responsabilités d’Anne Vignot et de son équipe. « On est en train de déstructurer Besançon et d’en faire un bunker vert. Nous ne laisserons pas faire ».
La sécurité
La sécurité reste également plus que jamais au cœur des débats. « On a en face de nous des élus qui sont dans le laisser-faire, dans un véritable laxisme et déni du quotidien» assure-t-il. L’élu bisontin rappelle les mesures qu’il préconise ; le recrutement, la formation et l’armement des policiers municipaux ou encore le déploiement de la vidéoprotection ». « Besançon Maintenant » estime qu’il faut également développer une politique s’appuyant sur le milieu associatif local et les bailleurs sociaux.
En conclusion, Ludovic Fagaut rappelle que « Besançon Maintenant » a formulé 150 propositions depuis cette nouvelle mandature et qu’aucune n’a été reprise. Sécurité, pouvoir d’achat, écologie, social,… autant de sujets que l’opposition veut défendre et faire savoir auprès de ses concitoyens. En attendant 2026….
L'interview de la rédaction / Ludovic Fagaut
On connaît les dates du procès en appel de Nicolas Zepeda. Il se déroulera du 21 février au 10 mars au palais de justice de Vesoul. Rappelons qu’en première instance, le Chilien a été condamné à 28 ans de réclusion criminelle pour l’assassinat de l’étudiante japonaise Narumi Kurosaki, à Besançon, en décembre 2016.
Il y a du handball ce jeudi soir. Dans le cadre de la 5è journée de championnat en ProLigue, le Grand Besançon Doubs Handball (11è) se déplace à Nancy (14è). Les Bisontins restent sur une belle victoire, la semaine dernière, à Cherbourg, la première de la saison. Il faudra confirmer ce bon résultat ce soir en Lorraine. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h30.
Thibaut Pinot a pris la décision de mettre un terme à sa saison sportive en ce début de mois d’octobre. Il ne participera pas au Tour de Lombardie qui s’élancera ce samedi. Une compétition qu’il avait brillamment remportée en 2018. Le coureur de la FDJ, qui avait contracté le Covid-19 juste après le Tour de France, a laissé tomber la compétition depuis la Vuelta. Précisons, qu’avec 84 jours de course cette saison, Pinot est l’un des cyclistes qui a le plus porté le dossard sur le circuit international.
Ce jeudi 6 octobre se déroule, à partir de 9h, l’opération « Du Stade vers l’emploi » au complexe Léo Lagrange à Besançon. Cet événement est à l’initiative du Comité Olympique Paris 2024, de l’Agence Nationale du Sport, de la Fédération Française d’Athlétisme et de Pôle Emploi. Son objectif est « de permettre aux entreprises de recruter autrement, sans CV, mais en se concentrant dans un premier temps sur les savoir-être des candidats, mis en valeur par la pratique collective de l’athlétisme et sans notion de compétition » nous indique-t-on.
Une vingtaine d’entreprises seront présentes. Les organisateurs y voient « une belle occasion de mettre en valeur les compétences personnelles et collectives des demandeurs d’emplois et des recruteurs autour du partage d’une activité sportive ». Un moyen, selon eux, « de faire que les recruteurs et les candidats se découvrent autrement, sans le filtre formel de l’entretien professionnel ». En cette période si compliquée ne serait-il pas plus judicieux d’aborder les vraies questions sur le salaire et l’évolution de carrière ? La recherche d'un travail est loin d'être un jeu.