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Naissances

20/02/2024 – Maloé de Isabelle CARREZ, infirmière.

24/02/2024 – Louka de Steven QUENTIN, boulanger et de Laetitia RAVO, sans-emploi.

27/02/2024 – Constance de Paul MAURIN, pharmacien et de Angélique BOLLE, pharmacienne industrielle.

24/02/2024 – Lissandre de Valentin CASPEROT, employé administratif et de Lucile MARGUET, juriste en banque.

24/02/2024 – Aylin de Ilyas ESER, technicien de maintenance et de Kübra ÖLÇER, sans profession.

26/02/2024 – Rose de Anthony FRAICHOT, logisticien et de Estelle GARNACHE-BARTHOD, déclarante en douane.

26/02/2024 – Aloïs de François BRUNEL, ingénieur et de Louise BOURGEOIS, sage-femme.

26/02/2024 – Myra de Benjamin VERNEREY, technicien et de Alicia GROSJEAN, esthéticienne.

27/02/2024 – Raphaël de Geoffrey MUSY, comptable et de Justine FUMEY, infirmière.

28/02/2024 – Adélie de Anthony REGNIER, agriculteur et de Anne HENRIET, assistante de direction.

29/02/2024 – Ela de Faik SACIR, opérateur et de Seren CINI, employée de banque.

27/02/2024 – Louisa de Arnaud DUMONT, électricien et de Charlyne FAIVRE, responsable logistique.

28/02/2024 – Léon de Cyril POULIN, paysagiste et de Anne-Laure SAILLET, gestionnaire de paie.

29/02/2024 – Gabin de Jonathan STADEROLI, horloger et de Anaïs CLEMENT, agent territorial spécialisé des écoles maternelles.

MARIAGE

02/03/2024 – Tony SASSIGNOL, agent territorial et Gaëlle DESCHENAUX, hôtesse de caisse.

PUBLICATION

12/01/2024 – Gözde BUTEV, opératrice en horlogerie et Emre GOKDAG, cariste.

09/11/2023 – Murat GENÇ, gérant de société et Sümbül TEREKEME, conseillère vendeuse.

07/09/2023 – Florian JEANPERRIN, intérimaire et Aurore LAMBERT, intérimaire.

02/02/2024 – Jean-Baptiste PIERROT, professeur d’histoire et géographie et David MARTIN, responsable commerce.

DECES

23/02/2024 – Rafet ÖCAL, 58 ans, sans profession, domicilié à Pontarlier (Doubs).

26/02/2024 – Jocelyne VALLET, 80 ans, ouvrière spécialisée retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), veuve de Raymond MOUGIN.

28/02/2024 – Jeannine DEFRASNE, 88 ans, retraitée, domiciliée à Doubs (Doubs), veuve de Bernard FAIVRE.

29/02/2024 – Hubert CHABOD, 75 ans, artisan menuisier retraité, domicilié à La Chaux (Doubs), veuf de Marie-Odile LONCHAMPT.

01/03/2024 – Andrea GARCIA ORTIZ, 80 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs), épouse de Isidro ALFARO CANO.

Le collectif Velotte Vallières Fibre 2024, qui demande l’installation de la fibre dans le quartier, entend de nouveau se faire entendre. Le 25 janvier dernier, il distribuait des oranges aux élus du Conseil Municipal bisontin. Depuis, une réunion s’est tenue,  le 7 février,  avec des élus de Grand Besançon Métropole. Ils resserviront le couvert ce samedi 9 mars et exprimeront leur colère devant la boutique Orange, 13 Grande Rue, au centre-ville de la cité comtoise.

Que la communication sur la présence d’amiante à l’école Saint-Exupéry de Valdahon est désastreuse. Un parent d’élève nous alerte sur un courrier du 28 février dans lequel,  Sylvie le Hir,  la Maire de la commune, précise que le bâtiment restera fermé, contredisant une information diffusée sur le site internet de la commune, quelques jours auparavant. Finalement, on apprend dans cette missive qu’une nouvelle organisation sera mise en place à la rentrée du 4 mars. En attendant un retour des enfants à l’école, des travaux sont engagés au niveau des sols défectueux.


Dans le Haut-Doubs, à la Cluse-et-Mijoux, les commerçants et professionnels de la santé se mobilisent et viennent de mettre en ligne une pétition pour dénoncer la fermeture de la RN 57, prévue du 2 mai au 17 septembre prochain. Le collectif explique que « la fermeture de cette route aurait des conséquences désastreuses pour leurs activités et leur pérennité Â». Il est demandé aux autorités compétentes « de reconsidérer leur décision et d'explorer des solutions alternatives pour réaliser leurs travaux de canalisation Â».

Pour obtenir de plus amples informations : https://www.change.org/p/non-%C3%A0-la-fermeture-de-la-rn57-du-2-mai-au-17-septembre-au-niveau-de-la-cluse-et-mijoux

Trop c’est trop. A l’initiative de Michel Morel, le Maire de Jougne, et du président de l’Amicale des Frontaliers, une pétition a été mise en ligne pour dénoncer les conditions de circulation sur la nationale 57, entre Jougne et la Suisse. « C’est une situation qui ne peut pas durer. Tous les matins et tous les soirs, vous avez entre 6 et 8 kilomètres de bouchon sur ce secteur, et cela recommence sur Pontarlier Â» dénonce l’édile. Et de poursuivre : « rester dans les bouchons, entre 45 minutes et une heure, tous les jours, pour aller au travail  ce n’est pas respectueux Â».

Des risques d’accidents quotidiens

Michel Morel est très inquiet. Il craint « un drame Â» si aucune décision est prise rapidement. « Pour gagner un peu de temps, les gens n’hésitent pas à traverser les villages de Jougne ou de la Ferrière sans aucun respect de la vitesse et des panneaux Â» explique-t-il. Une situation qui risque encore de s’aggraver. D’autant plus que le Schéma de Cohérence Territoriale prévoit 15.000 habitants de plus dans les dix ans à venir sur le bassin de Pontarlier. « Je pense, que sur la population active, il y aura au moins 50% de frontaliers Â» complète Michel Morel.

Des initiatives à moindre frais dans un premier temps

Michel Morel ne cache pas son agacement. D’autant plus que depuis 1968, il ne voit rien venir. « Cela fait 56 ans que je participe à des réunions et rien ne se fait Â» dénonce-t-il. L’élu du Haut-Doubs regrette que les travaux de réhabilitation de la plateforme douanière n’aient pas pu se faire en leur temps, avec la création d’une file spécifique pour les frontaliers. « Il suffirait de raser un garage, appartenant aux douanes. Avec 30.000 euros aujourd’hui, nous pourrions améliorer la situation Â» précise M. Morel. Même s’il se fait peu d’illusion, le Maire de Jougne espère que les autorités françaises seront en capacité de répondre au partenariat possible avec  les autorités suisses, qui sont prêtes à financer la moitié des 5 millions d’euros prévus,  pour remodeler complètement la plateforme douanière. « J’ai dernièrement appris que ceux qui gèrent le foncier, c’est-à-dire la Direst et les Douanes n’échangent absolument pas sur ce sujet, entre eux,  pour assurer l’avenir et faire un projet cohérent Â» complète le Maire désabusé.

Blocage de la douane

La coupe est pleine. Pour dénoncer cette situation, Michel Morel ne cache pas l’idée de bloquer la douane pour se faire entendre et obtenir un écho médiatique. « Comme nous l’avions fait, il y a quelques années,  pour contester le droit d’option de Marisol Touraine, nous pourrions reproduire cette action,  un samedi matin, pour ne pas gêner les frontaliers Â».

L'interview de la rédaction : Michel Morel

A Besançon, suite à un effondrement karstique, la départementale 572 reste fermée à la circulation dans les deux sens dans la rue de Vesoul,  Ã  hauteur de la rue de Chaillot, jusqu’au giratoire Cassard. Et ce, pour une durée indéterminée. Un périmètre de sécurité et des déviations sont mis en place. L’accès des riverains et aux commerces est maintenu. Des investigations sont menées pour connaître les causes de cet incident et ses conséquences sur l’ensemble des réseaux.

Le samedi 9 mars, le club patrimoine de la MJC de Villers-le-Lac organise une grande journée sur le thème des étiages récurrents que connaît le Doubs sur ce territoire. Chaque été et automne, par manque d’eau, la rivière disparaît. Pour essayer de comprendre ce phénomène, obtenir des réponses aux nombreuses interrogations que se pose la population, l’organisateur fait intervenir quatre experts, qui apporteront leurs réponses à ce phénomène qui semble devenu inéluctable.

Entre 14h30 et 18h30, le public pourra écouter et entendre les explications du climatologue Daniel Joly, du géologue Vincent Bichet, de l’hydrogéologue Pierre-Yves Jeannin et de la spécialiste environnement Céline Barrelet. « On s’est dit qu’il était bon d’informer la population. Nous avons contacté des scientifiques qui nous ont répondu favorablement Â» explique Thierry Munier, l’organisateur de cette journée. Et de poursuivre : « des grandes sécheresses, il y en a eu des célèbres en 1893 et 1906, mais ce qui est affolant,  maintenant, c’est que cela revient tous les deux ans, voire même plus. On sait très bien que cela ne va pas s’arranger dans le futur. Y-a-t-il des solutions ? Est-ce inéluctable ?  D’où cela vient ? Â» s’interroge M. Munier, désireux de donner l’information la plus précise possible aux habitants du territoire.

Expositions et ateliers pour la famille

Sur place, à la salle des fêtes de Villers-le-Lac, avant la parole scientifique, l’association proposera plusieurs ateliers ludiques à destination de la famille. Au programme : des animations,  une exposition thématique sur les sécheresses et la constitution des bassins du Doubs, et photographique, avec des clichés, réalisées durant les étiages. Le rendez-vous est fixé à partir de 10h.

 L'interview de la rédaction : Thierry Munier

 

En raison d’un effondrement sous la route de Vesoul, la Ville de Besançon a procédé, pour la sécurité des usagers, à la fermeture de la circulation dans les deux sens. Anne Vignot, la Maire de Besançon indique que «  de gros travaux vont être menées Â». Dès qu’ils en ont eu connaissance, les services concernés de la Ville de Besançon (eau, assainissement, électricité, numérique,…) se sont mobilisés pour mener les diagnostics d’usage.

En raison d’un effondrement sous la route de Vesoul, la Ville de Besançon a procédé, pour la sécurité des usagers, à la fermeture de la circulation dans les deux sens. Nous n’avons pas davantage d’information pour le moment.

Des travaux de végétalisation des stations de bus et tramway du réseau Ginko sont en cours à Besançon. L’objectif est d’améliorer le confort thermique des usagers en créant des zones ombragées grâce à la plantation d’arbres. Après le site du centre hospitalier Jean Minjoz, une douzaine de stations sont actuellement concernées par ces aménagements. D’autres suivront lors des prochaines années.

Pour cette première salve, Grand Besançon Métropole a ciblé les stations des Orchamps, Micropolis, AFPA, Palais des Sports, Crous, Voirin, Gibelotte, …. . Neuf essences d’arbre ont été choisies. Au total, ce sont une cinquantaine d’arbres qui seront plantés. Pour mener à bien cette opération, et pour qu’elle s’inscrive dans une certaine pérennité, les élus et les services de la collectivité des espèces résistantes aux aléas climatiques du territoire et qui ne consomme pas trop d’eau. Le coût de cette opération, englobant également l’intervention au CHU s’élève à environ 250.000 euros. Une telle somme qui variera, chaque année, en fonction des chantiers ciblés.

L'interview de la rédaction / Anne Vignot