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Ce mardi matin, les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus au sein de l’entreprise Kuba, à Miserey-Salines, pour une importante inondation. Une rupture de canalisation d’eau chaude s’est produite suite à des travaux de plomberie. L’eau s’est répandue sur 800 m2. 70 personnes sur 120 employés ont été impactés. Dix collaborateurs ont été placées en chômage technique pour une durée indéterminée. Une société privée a été missionnée pour procéder à l’assèchement des locaux.

Le grand rendez-vous approche à grand pas. Ce samedi sera donné le coup d’envoi  du salon de l’agriculture. L’évènement se tiendra jusqu’au 5 mars à Paris, Porte de Versailles. Dans les exploitations du Doubs, les agriculteurs sélectionnés et leurs animaux feront le voyage ensemble cette année encore. Le départ est prévu ce jeudi, à 14h, de Vercel.

Obade du GAEC Gagelin à Montperreux et ses propriétaires se préparent pour ce long déplacement. Ce séjour à la capitale est le troisième pour cette exploitation agricole du Haut-Doubs. Une récompense ne serait pas la première. En 2019, Michel Gagelin avait remporté le challenge racial.  Personne ne prend cette participation à la légère. A 48 heures du départ, l’objectif, en plus des autres travaux de la ferme,  est porté sur le bien-être de l’animal, qui devra supporter ces six jours en terre parisienne.

Un véritable savoir faire

Une nouvelle fois encore, cette participation est la récompense de tout un travail. Certes un focus médiatique est donné chaque année, à pareille époque, à l’agriculture française, mais il ne doit pas occulter l’investissement et la passion qui se cachent derrière une sélection à Paris. Ces animaux ont été repérés et primés pour leur morphologie lors d’autres concours. Dans le Haut-Doubs, « les valises sont prêtes Â».  C’est une véritable fierté que de pouvoir diffusés les valeurs, les compétences, l’ambiance et le folklore du monde rural à Paris.

L'interview de la rédaction / Michel Gagelin

Un feu de végétation s’est déclaré cet après-midi, vers 14h30, à Saint-Hymetière-sur-Valouse, dans le Jura. Il s’est propagé sur une surface de 5000 m2. A cette heure, le sinistre a été fixé par les sapeurs-pompiers.

Tout au long de cette période hivernale, Apach'Evasion accueille de nombreuses personnes en situation de handicap à la station de Métabief. Grâce à du matériel spécifique, l’association et ses accompagnateurs font découvrir les sports de glisse à leurs visiteurs. En fonction du handicap, la pratique s’effectue avec plus au moins d’autonomie. La rédaction a rencontré Céline et Arthur.

 Â« Ce n’est pas parce que l’on est en situation de handicap que l’on ne peut pas faire comme tout le monde Â» explique Céline. Pour atteindre cet objectif, la structure bénéficie de matériels, type dual, tandem piloté, uniski et kart-ski. Elle forme des bénévoles à l’utilisation de ces engins adaptés. Arthur en fait partie. Dans le cadre d’un stage, qu’il doit mener avec son école de commerce, sur le thème de l’humanitaire, le jeune homme encadre des sorties. Ce lundi après-midi, il doit assurer une activité en kart-ski. « Cela m’apprend énormément de choses. Cela me permet d’avoir une ouverture d’esprit, de mieux comprendre les personnes en situation de handicap et développer une meilleure empathie Â» explique l’étudiant. Et de continuer : « La pratique du kart-ski s’adresse aux personnes qui ont une mobilité au niveau du corps. Elles sont plus autonomes que les autres. Je me déplace derrière. Elles m’indiquent la direction qu’elles souhaitent prendre. Je dirige ensuite la sortie grâce à une ligne de vie Â».

Partager une activité

En plus de leurs compétences techniques, les pilotes d’Apache Evasion doivent savoir développer de bonnes relations humaines avec leur public, instaurer de la confiance et rassurer. Ils doivent constamment s’adapter en fonction du handicap présent. « Nous devons se mettre à leur place et essayer d’apprécier ce qu’elles ressentent. Il faut beaucoup communiquer. Même si la personne ne peut pas le faire à son tour. C’est important de lui expliquer comment les choses vont se dérouler pour qu’elle puisse être en confiance et à l’aise pour la descente Â» conclut Céline.

L'interview de la rédaction / Arthur et Céline

 

 

Publié dans Actualités

Un jeune homme de 22 ans a été placé en rétention judiciaire. Le 19 février dernier, vers 22h30, il a  Ã©té interpellé à Besançon, rue du Luxembourg. Il circulait à vive allure. Lors du contrôle, il est apparu qu’il faisait l’objet d’une fiche de recherche, suite à une mesure de contrôle judiciaire, lui interdisant de s’absenter de son domicile de 18h à 9h.

Un feu d’habitation s’est déclaré hier soir, vers 20h, à Uxelles (39). Les sapeurs-pompiers sont parvenus à éviter la propagation des flammes à une habitation mitoyenne. Deux lances, dont une sur échelle, ont été déployées par les secours. Aucune victime n’est à déplorer. Sept engins et 19 secouristes se sont rendus sur place.

Un homme a été percuté par un poids-lourd hier soir, vers 21h45, à Chatillon-Guyotte sur l'A36. Il n’a pas survécu à ses blessures. Les circonstances de ce drame restent à établir. Le chauffeur du camion, choqué, a été examiné par les sapeurs-pompeurs et pris en charge par les gendarmes. Une voie de l’autoroute est restée fermée à la circulation pour les besoins de l’enquête.

La mobilisation pour aider les sinistrés touchés par les tremblements de terre survenus en Turquie se poursuit dans le Val de Morteau. Après l’envoi de deux camions, chargés de produits de première nécessité, partis le 10 février dernier pour Saint-Louis, lieu central de collecte en France, avant leur acheminement en Turquie, l’association Amitié et Jeunesse organise un petit déjeuner, à destination de la population locale, pour récolter des fonds. Il se tiendra ce dimanche 26 février, de 9h à 13h, à la salle des fêtes de Morteau.

Le prix est de 10 euros pour les adultes et 5 euros pour les enfants, jusqu’à 10 ans. Toutes les personnes sont les bienvenues. Dans cette même générosité, la Ville de Morteau et son maire ont prêté un endroit pour stocker d’autres marchandises. Vu la quantité récoltée, un troisième camion pourrait être affrété, mais la logistique n’est pas au rendez-vous.