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Suite à la démission collective de la majorité municipale, des élections partielles se tiendront en décembre prochain à Métabief. Trois listes s’affronteront. Gaël Marandin,  qui avait battu le maire sortant Gérard Dèque,  en 2020, décide de repartir au combat. Et ce, avec une nouvelle équipe. Gaël Marandin regrette la situation antérieure. Alors que son ancienne équipe semblait être en harmonie avec les idées et le programme défendus. Douché par les évènements, l’édile sortant dit « avoir appris de ses erreurs Â» et poursuit l’aventure « avec envie et détermination Â».  

MARANDIN EQUIPE DD

 

Pour cela, il s’est appuyé sur une équipe de 17 personnes, hommes et femmes, tous originaires de Métabief, et dont l’engagement « pour le bien général passe avant l’intérêt personnel Â». La nouvelle équipe et son chef de fil ne sont pas repartis d’une page complétement vierge pour écrire un nouveau programme, composé de treize points, dont quatre piliers forts : la petite enfance, la santé, le sport et la sécurité routière. L’objectif est d’améliorer le confort de vie des locaux et cela passe notamment par la création d’une micro-crèche, l’accueil de nouveaux médecins généralistes, avec notamment la création de box de radiologie et réservé aux urgences au pied des pistes de la station, de nouveaux équipements indoor, avec la construction d’un nouveau gymnase et d’une piscine,  en partenariat avec un projet associatif, et la sécurisation des infrastructures routières, en ciblant notamment la départementale 9, entre les Hôpitaux Neufs et St Antoine, en y implantant un rond-point. 

D’ici le 5 décembre, et le 1er tour de scrutin, Gaël Marandin et son équipe organiseront trois rencontres publiques : le mardi 23 novembre, le vendredi 26 novembre et le jeudi 2 décembre à leur QG de campagne de 18h à 22h.

L'interview / Gaël Marandin

Dans le cadre de la journée nationale de lutte contre les violences faites aux femmes, le mouvement associatif s’organise et propose un programme d’actions pour sensibiliser le grand public et les pouvoirs publics à cette cause. Ateliers débat, théâtre, marche, projections de films, stage d’autodéfense,… les rendez-vous sont nombreux.

Même si l’on juge que les moyens sont encore insuffisants, les responsables bénévoles de l’association « solidarité femmes Â» reconnaissent qu’une prise de conscience est née. Cependant, plus que jamais, « la lutte est toujours d’actualité Â». Le nombre de places d’hébergement et les moyens humains et financiers pour accompagner les victimes sont insuffisants. L’association aimerait également pouvoir multiplier les actions éducatives auprès des jeunes, mais les finances manquent. Certes, le plan triennal, signé en 2019, a permis quelques avancées, « mais il faut encore aller plus loin Â» explique Christine Perrot de l’association Solidarité Femmes. Le travail en commun mené avec la police et la justice, la signature d’une convention avec le CHU pour permettre aux victimes de pouvoir porter plainte à l’hôpital, la création d’une permanence de l’association bisontine au sein du centre hospitalier, la nomination d’un référent, en l’occurrence une policière, au sein du commissariat bisontin, la mise en place d’un code  couleur au guichet du commissariat pour faciliter la prise en charge et assurer un maximum de confidentialité sont autant d’initiatives qui améliorent la prise en charge.

Des obstacles à surmonter

Néanmoins, la société doit encore progresser. Le monde associatif engagé dans ce combat demande une véritable politique volontariste en la matière, en déployant « un milliard d’euros Â» pour impulser de vrais changements et donner les moyens nécessaires pour lutter davantage contre ces violences. Depuis le début de l’année, 101 féminicides par conjoint ont été recensés en France. En 2019, 65% des victimes avaient saisi la police et la justice. 80% de ces appels à l’aide n’avaient pas donné de suites. Le bilan est alarmant. Le nombre de femmes et d’enfants morts, tués sous les coups de leurs agresseurs, progresse.

Pour les associations, la peur doit changer de camp. Une nouvelle fois encore, la date du 25 novembre permettra de médiatiser davantage ce combat et ses besoins. Il est toujours bon de rappeler l’existence du 39-19. Cette plateforme téléphonique est à la disposition des victimes pour obtenir de l’aide.  

L'interview de la rédaction / Eva Bronnenkant, co-présidente de l'association Solidarité Femmes

Hier, en fin d’après-midi, les pompiers du Doubs ont découvert le corps sans vie d’une femme de 86 ans dans la rivière « la Lizaine Â» à Bethoncourt. La victime était portée disparue depuis le matin même. Des effets avaient été retrouvés au bord de la rivière. Ce qui avait provoqué l’intervention des plongeurs de l’équipe cynotechnique. Les circonstances de la noyade n’étaient pas connues hier soir.

 

L’ESBF termine l’année civile sur une bonne note. A quatre jours de son déplacement en Espagne pour le match retour du 3è tour de la Coupe d’Europe, les Engagées ont vaincu Toulon hier soir, en D1 féminine, au Palais des Sports Ghani Yalouz. Les Bisontines se sont imposées sur le score de 33 à 24.

Aux Républicains, on se frotte les mains. Le congrès qui s’annonce et qui élira le candidat qui représentera la droite à la prochaine présidentielle, en décembre prochain,  suscite de l’intérêt chez les militants. Le nombre des adhésions au parti s’est envolé ces dernières semaines. Dans le département du Doubs, le dernier comptage connu, effectué mercredi matin, enregistrait 1406 adhésions. Soit 600 supplémentaires en quelques semaines seulement. Au niveau national également, la tendance est la même, avec une progression. Entre le 25 septembre et le 17 novembre, 50.000 nouveaux adhérents ont été comptabilisés, passant ainsi de 80.000 à 130.000.

Michel Vienet, le secrétaire départemental des Républicains du Doubs est aux anges. L’engouement souhaité s’est produit, mais surtout, « il a dépassé les espérances Â». Selon l’élu et le responsable doubiste, l’attitude des prétendants, la qualité des débats télévisés et la valeur de ceux qui se présentent expliquent cette dynamique. « C’est encourageant pour l’avenir Â» conclut-il.

L'interview de la rédaction / Michel Vienet, secrétaire départemental des Républicains du Doubs

 

Les faits remontent dans la nuit du 15 au 16 septembre dernier, au cours de laquelle un pavillon a été visité dans le secteur de Palente, par un ou des auteurs. Ce ou ces derniers avai(en)t dérobé deux cartes bleues, deux téléphones portables et les clés d'un véhicule, qui avait été retrouvé le lendemain, au petit matin, calciné, à quelques mètres de l’habitation.

Au terme de minutieuses investigations, un homme, défavorablement connu,  a été identifié. Il s’était évadé quelques jours avant les faits de la maison d’arrêt de Besançon, avant d’être de nouveau interpellé. Ce lundi, il a été extrait de sa cellule pour être auditionné par les policiers. En dépit d’éléments probants, il nie en bloc, excepté les tentatives de retrait de numéraires réalisés avec les cartes bancaires dérobées. Il sera convoqué en mars prochain devant la justice.

A la demande de son éditeur et du libraire, Maître Randall Schwerdorffer a été contraint d’annuler sa séance de dédicaces prévue à Besançon ce vendredi.  L’avocat bisontin, défenseur de Jonathann Daval, devait y présenter son livre « Je voulais qu’elle se taise Â» dans lequel il revient sur l’affaire Daval et apporte un vrai témoignage sur ce qu’il a vécu, en côtoyant au plus près l’homme qui fut sans doute, il y a un an de cela, le plus haï de France.

Randall Schwerdorffer dénonce la pression et l’attitude de l’association « Osez le féminisme Â» qui s’est clairement opposée à cette séance de dédicaces. Pour l’avocat, la décision de l’association militante est contraire aux valeurs qu’elle entend défendre. « Comment prétendre lutter contre la liberté des femmes et mener des actions qui sont contre la liberté d’expression ? » déplore Me Schwerdorffer.

Une démarche « anti-démocratique Â»

Randall Schwerdorffer dénonce une position de posture. Une action militante, « sans connaître réellement l’affaire Â». Il en veut pour preuve, les approximations du communiqué de presse. « Ils n’ont pas à imposer leurs idées. On voit d’ailleurs les limites de ce type d’association Â» ajoute-t-il. Et de compléter : « dans la confrontation et le débat des idées, ils ne me font absolument pas peur Â». L’avocat se dit consterné , lui qui a toujours prôné le débat d’idée. Il explique d’ailleurs qu’il était prêt à échanger avec ses opposants. De tels agissements, émanant du milieu féministe, pour lutter contre les violences faites aux femmes, , ne desservent-ils pas cette cause ? L’avocat en est convaincu. La question est posée.

L'interview de la rédaction

Depuis quelques jours, les sapeurs-pompiers du Doubs vont à la rencontre des habitants à l’occasion de la traditionnelle vente de leur calendrier. Les 71 amicales de sapeurs-pompiers du Doubs se réjouissent de pouvoir à nouveau mener cette opération.

Apparu pour la première fois depuis 1946, le calendrier est un moyen de communication qui contribue à véhiculer l’image des sapeurs-pompiers, de susciter des vocations et de transmettre des messages de prévention.