Choix du secteur :
Se connecter :
 

Après plus de 14 mois de fonctionnement, le centre de vaccination de la Communauté de Communes du Val de Morteau fermera ses portes ce vendredi soir. Depuis son ouverture, plus de 35 000 vaccinations ont été réalisées. Que les Mortuaciens se rassurent, il est toujours possible de se faire vacciner auprès de sa pharmacie, son médecin ou son cabinet d’infirmier, mais également au sein des centres de vaccination de Pontarlier, Besançon ou Montbéliard qui eux, fermeront le 31 mars. Des rendez-vous restent disponibles à Morteau pour ces derniers jours de vaccination : https://www.doctolib.fr/vaccination-covid-19/morteau

Un feu d’habitation s’est déclaré hier soir, vers 19h30, à Belmont (39). Deux lances ont été établies pour venir éteindre les flammes. Cinq engins et 18 sapeurs-pompiers se sont rendus sur place.

Ce mercredi, le conseil municipal de Besançon va se pencher sur son budget 2022. « une période de maturité de nos politiques Â» explique Anne Vignot, la maire bisontine. Ce nouvel exercice comptable s’élève à 202 millions d’euros (196 millions en 2021). Il sera définitivement voté par les élus le 7 avril prochain.

La Ville de Besançon parle d’un budget répondant aux enjeux sociaux et environnementaux du moment. 145 millions d’euros sont réservés à la section de fonctionnement. L’objectif étant d’apporter le meilleur des services aux plus démunis et aux jeunes. Dans ce contexte, le Centres Communal d’Action Sociale de la ville de Besançon a vu son budget progressé de 1,5%. Soit 10 millions d’euros pour la jeunesse et l’aide alimentaire. La transition écologique est également au cœur des préoccupations. Rappelons que 60 millions d’euros sont prévus sur le mandat pour la rénovation des écoles et des crèches. 17 millions d’euros sont également injectés annuellement pour mener différents chantiers dans ce domaine dans les quartiers de la cité, notamment dans des actions de réhabilitation énergétique des bâtiments communaux.

Des nouveaux projets

Pour cette nouvelle année, plusieurs projets verront le jour : un nouvel équipement sportif, adossé au gymnase Diderot, dans le quartier Planoise, le renforcement des pistes cyclables et des chemins piétons, le lancement d’une nouvelle crèche, la création d’un espace multi-activités à destination des jeunes, fédérant tous les acteurs de la jeunesse, sur le site occupé partiellement par le CRIJ, rue de la République, un nouveau ticket culture pour les familles défavorisées, mais également des études pour la création d’une maison des femmes, des animations sportives dans les quartiers et une politique de santé renforcée, …

L'interview de la rédaction / Anthony Poulin

 

Dans un communiqué de presse, la Dir Est fait savoir que les travaux de réfection de la galerie technique du Tunnel du Bois de Peu, situé sur la voie des Mercureaux, au Sud-Ouest de Besançon,  se poursuivent. Cependant, les conditions de circulation évoluent. Désormais, et jusqu’à la fin du chantier, jusqu’au 7 juillet prochain, le trafic est maintenu sur une seule des deux voies dans le sens Besançon/Pontarlier. En revanche, les deux voies restent ouvertes à la circulation dans le sens inverse.

A Pontarlier, une enquête pour dénonciation d’un délit imaginaire ayant entraîné des recherches de police et de justice inutiles a été ouverte. Un homme a accusé un autre individu de mener un trafic de drogue. Ce que les investigations policières  n’ont pas permis d’établir. Une sombre histoire amoureuse pourrait être à l’origine de cette affaire. Précisons que le mis en cause a été placé en garde à vue. Sur décision du parquet, cette dernière a été levée. Affaire à suivre.

La guerre s’intensifie en Ukraine. L’offensive russe est bien réelle. L’armée accentue ses frappes et progresse. En France, la population n’est pas indifférente à la situation des Ukrainiens. Lundi, le standard de la mairie de Besançon a reçu de nombreux appels émanant de locaux désireux d’apporter leur aide, en offrant par exemple un hébergement.

Pour l’heure, la ville recense toutes les bonnes volontés et les propositions qui en découlent. Les élus, en compagnie d’un collectif, récemment créé, portent une réflexion sur l’organisation que peut prendre ce soutien. Il convient d’organiser l’accueil des réfugiés et la collecte. Se posent notamment les questions de savoir quels types de produit et de matériel sont souhaités et comment l’acheminement pourrait se faire ?

La cité comtoise entend également s’appuyer sur son réseau de villes jumelées pour envisager d’autres actions. Elle envisage de proposer son aide à  la ville de Fribourg qui a décidé de recevoir 300 enfants.

Il y a quelques jours, lorsque la Russie attaquait l’Ukraine, le Président Emmanuel Macron indiquait que cet « acte de guerre Â» aura « des conséquences profondes durables sur nos vies Â». L’agriculture fait partie des secteurs qui seront malheureusement touchés par cette crise internationale. Philippe Monnet, le président de la FDSEA du Doubs, actuellement à Paris, au salon de l’agriculture, a conscience des conséquences à venir. D’autant plus que l’Ukraine et la Russie représentent 1/3 de la production mondiale de blé. Une matière première indispensable pour nourrir le bétail. L’agriculteur s’attend également à une augmentation des prix du gaz. Une énergie largement utilisée par les professionnels de la terre pour produire des engrais

Une augmentation des coûts de production

Cette situation et les conséquences qu’elle engendre vont indéniablement augmenter les coûts de production. Ce qui va produire une hausse des charges dans les exploitations, qui devront répercuter cette hausse sur leur prix de vente. Ce qui aura un impact sur les tarifs appliqués dans les rayons des magasins et donc sur le pouvoir d’achat de la clientèle française. Pour éviter autant que faire se peut cette situation à l’avenir, la FDSEA réfléchit à rendre la production agricole française moins dépendante de l’étranger. Ce sera sans doute l’un des grands enjeux à venir.

Accueillir des réfugiés ukrainiens

Christiane Lambert, la présidente de la FNSEA, s’est dernièrement dit favorable à l’accueil de refugiés ukrainiens. La réflexion est lancée. Localement, Philippe Monnet et ses équipes réfléchissent à cette éventualité. « Nous regardons comment nos territoires peuvent participer à cette action de solidarité Â» termine l’agriculteur.

L'interview de la rédaction / Philippe Monnet, président de la FDSEA du Doubs

Hier soir, les policiers bisontins ont interpellé un homme de 42 ans armé d’une pioche et d’un couteau de cuisine qui déambulait sur la route au niveau de la rue de Savoie. C’est un ami de l’individu qui a donné de l’alerte car il se sentait menacé. Ce dernier a tenté de le désarmer, mais l’agresseur lui aurait porté un coup au niveau de la main droite avant de quitter l’appartement.

Après plusieurs sommations, l’homme a pu être interpellé sans incidents. Plusieurs gouttes de sang ont été constatées sur le manche, la tête de la pioche et le couteau. Alcoolisé, l’individu a été placé en garde à vue avec différemment de ses droits. Il présentait un taux de 1,14 gramme d’alcool par litre de sang.

Quant à la victime, alcoolisée également, elle présentait une plaie saignante d’environ 3 centimètres de long sur le dessus du pouce. Elle a été conduite à l’hôpital, mais en est ressortie avant d’avoir été auscultée par un médecin.