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Du 25 juin au 13 juillet, « Ponta’Beach Â», la fête du sport s’installe au Grand Cours pour trois semaines d’animations gratuites, sportives et culturelles. Escrime, basket, canoë-kayak, badminton, beach-wrestling, danse ou encore bal des pompiers et feu d’artifice viendront rythmer  ce début été dans une ambiance conviviale et festive. Petits et grands y trouveront leur bonheur avec jeux en bois, mini-golf, structures gonflables, animations petite enfance, expositions et bien plus encore. Un vrai cocktail d’activités à savourer en famille ou entre amis pour célébrer l’été… et les 10 ans de Ponta’Beach en beauté !

La Grande Boucle à Pontarlier

L’exposition "La Grande Boucle à Pontarlier, plus d’un siècle d’histoire" vous invite à une plongée passionnante dans l’épopée du Tour de France à Pontarlier, de 1911 à 2009. Organisée par les Archives municipales, elle dévoile des photographies inédites et anecdotes marquantes retraçant les passages de la célèbre course cycliste dans la ville. À découvrir tous les jours du 25 juin au 10 juillet à la Ponta’Beach, puis du 11 juillet au 31 août au parc Jeanine Dessay. Une belle occasion de mêler sport, mémoire et patrimoine local !

Grand Besançon Métropole lance un projet solaire innovant sur l’ancien site d’enfouissement de Chalezeule, avec une mise en service prévue début 2026. Baptisée « Les Andiers », la future centrale produira chaque année près de 3 350 Mégas/Wh, soit l’équivalent de la consommation de 1 700 personnes.

Ce projet s’inscrit dans le Plan Climat Air Énergie Territorial, visant 100 % d’énergies renouvelables locales d’ici 2050. Il propose une dimension participative inédite : les habitants peuvent y investir, via une coopérative  ou une plateforme de financement dédiée. Deux réunions d'information sont prévues : en présentiel le 30 juin à la Maison commune de Chalezeule, ou en visioconférence le 3 juillet. Toutes les informations sont à retrouver sur : https://lesandiers-pv.fr/

La section de la RN57, au niveau de la voie des Mercureaux (contournement sud-ouest de Besançon), sera fermée à la circulation dans les deux sens durant les nuits du lundi 23 au vendredi 27 juin 2025, de 21h à 5h. Ces fermetures nocturnes sont nécessaires pour permettre les contrôles réglementaires des équipements de sécurité des tunnels ainsi que l’entretien courant de la chaussée. Des déviations seront mises en place dans les deux sens.

L’ensemble du personnel de l’école élémentaire Saint-Exupéry de Valdahon sera en grève ce mardi 24 juin. En cause, des difficultés persistantes dénoncées depuis plusieurs mois auprès de l’Inspection Académique, notamment 18 signalements inscrits au registre santé et sécurité au travail, 4 accidents déclarés et plusieurs arrêts maladie.

Une rencontre avec l’inspecteur d’académie du Doubs « n’a pas permis d’aboutir à des solutions jugées satisfaisantes Â». L’équipe éducative exprime son profond attachement « Ã  un climat scolaire de qualité, essentiel au bien-être des élèves et des personnels Â». Selon le syndicat SNUipp/FSU à ce jour, les réponses apportées ne répondent pas aux enjeux soulevés, motivant ainsi ce mouvement de grève.

Ce lundi soir, contrairement à ce que nous avions écrit, la Ville de Besançon déploiera le drapeau palestinien, non pas  sur la façade de l’hôtel de ville, mais sur l’esplanade des Droits de l’Homme,  en signe de solidarité avec le peuple palestinien. Une initiative hautement symbolique, mais aussi controversée, alors que la question de la présence de drapeaux étrangers dans le domaine public  divise élus et autorités.

Un geste politique ou un acte de solidarité ?

Si le drapeau palestinien n’apparaîtra pas sur la façade de la mairie, la municipalité bisontine emboîte le pas à d'autres communes françaises, telles que Saint-Denis et Gennevilliers, qui ont récemment affiché le drapeau palestinien sur leur fronton. À l’inverse, la mairie de Nice avait choisi, elle, de hisser le drapeau israélien. Dans tous ces cas, les préfectures locales ont réagi en demandant le retrait des drapeaux, invoquant le principe de neutralité des services publics. Refus catégorique de la part des élus concernés.

Alors, que dit le droit ?

A Besançon, une nouvelle fois encore, le contexte est différent. En principe, les maires ne sont pas autorisés à faire flotter un drapeau étranger ou à caractère politique sur un bâtiment public, rappelle une jurisprudence du Conseil d’État de 2005. À l'époque, la commune de Sainte-Anne (Martinique) avait pavoisé sa mairie d’un drapeau indépendantiste. Le Conseil d’État avait alors rappelé qu’en dehors du drapeau français, européen ou local, aucun autre emblème ne peut orner les façades des bâtiments publics.

L’affaire Gilles Platret : la justice retoque le retrait d’un drapeau palestinien

À Chalon-sur-Saône, le maire Gilles Platret (LR) avait pris un arrêté interdisant la présence du drapeau palestinien dans l’espace public. Le tribunal administratif de Dijon a annulé sa décision, estimant que ce retrait portait atteinte à la liberté d’expression des personnes  à l’origine de cette initiative. Une jurisprudence qui renforce l’argumentaire des élus favorables à l'affichage du drapeau palestinien, en suggérant que le principe de neutralité ne doit pas conduire à censurer systématiquement les marques de solidarité.

Une jurisprudence fluctuante depuis la guerre en Ukraine

Mais depuis le début du conflit en Ukraine, ce principe connaît une application plus souple. De nombreuses mairies françaises ont hissé le drapeau ukrainien, sans réaction immédiate des préfectures. Le tribunal administratif de Versailles a même validé cette pratique en 2023, estimant qu’il ne s’agissait pas d’un message politique, mais d’un acte de solidarité internationale, donc juridiquement tolérable.

C’est précisément cet argument que les maires de Saint-Denis, Gennevilliers et désormais Besançon, sous une autre forme,  brandissent. Le maire de Gennevilliers a adressé une lettre au préfet, affirmant son refus de retirer le drapeau palestinien et dénonçant un "deux poids, deux mesures" dans l’application de la règle.

Sous une chaleur écrasante, le FC Saint-Claude a arraché sa  place en finale de Fédérale 3 en s’imposant 21 à 20 face à Quillan Limoux ce dimanche après-midi. Soutenus par près de 400 supporters, venus jusqu’au Vaucluse, les Sanclaudiens affronteront  Rodez, en finale, pour décrocher le titre tant convoité.

Le cycliste  bisontin Romain Grégoire a pris la 17è place cet après-midi du classement général de l’édition 2025 du Tour de Suisse. Ce dimanche, il termine en quatorzième position sur la huitième et dernière étape. Le maillot jaune revient au Portugais Joao Almeida, qui passe devant le Français Kevin Vauquelin.

Le groupe d’élues S’Unir pour Besançon, via l’écrit de Karima Rochdi  (Horizons) et Agnès Martin (Renaissance),  exprime son soutien à Benoît Cypriani, adjoint à la sécurité de la Ville de Besançon, agressé physiquement, vendredi soir, lors de la tenue d’un débat public, avec Marine Tondelier, la secrétaire nationale d’Europe Ecologie Les Verts à Besançon. Dans un communiqué, elles dénoncent une atteinte inadmissible à un élu républicain : « Le désaccord se dit, se débat, mais ne doit jamais dégénérer en insulte ou en violence physique. ».

Au-delà des clivages, elles appellent à défendre la démocratie locale et la liberté d’expression, essentielles au vivre-ensemble et au respect du pacte républicain. Néanmoins, les élus locaux et leurs soutiens ne sont-ils pas responsables de ce comportement délétère et gravissime ? Les commentaires qui apparaissent dans sur leurs réseaux sociaux et leur appel au clivage, et parfois à la détestation, sont autant de comportements qui ne facilitent pas l’instauration d’un climat apaisé. Ils ont la responsabilité de ce qu'ils acceptent ou pas.