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En cette rentrée 2021, Nikola, l’artiste bisontin, a une actualité très chargée. En plus de faire la promotion de son premier EP qui sortira en novembre prochain, il annonce sa participation à l’émission « The Artist Â», le nouveau rendez-vous musical de France 2, animé par Nagui. Rencontre avec le jeune homme, âgé de 20 ans, qui a été retenu cette année dans la sélection des Inouïs du printemps de Bourges

Loin des strass et des paillettes de l’émission « The Voice Â» sur TF1, qui semble avoir beaucoup de mal à imposer ses artistes lauréats auprès du grand public, Nikola a choisi le service public pour gagner encore plus en notoriété. Rappelons qu’à travers ce nouveau programme France Télévisions souhaite mettre en valeur la nouvelle génération d’auteurs-compositeurs et interprètes français et récompenser le meilleur. Un jury de professionnels et les téléspectateurs pourront voter ce samedi soir.

Inspiré par Gainsbourg, Ferré, Piaf, Brel

C’est depuis sa plus tendre enfance que Nikola a trouvé sa « voix Â». La poésie et les beaux textes chantés par Gainsbourg, Ferré, Piaf, Brel,… lui ont donné envie de franchir le pas et de s’exposer davantage. Ecrire, composer, interpréter, autant de compétences et de cordes à son arc qui font de Nikola un artiste à part entière. Trois titres ont déjà été partagés sur les plateformes en ligne. Pour Nikola, ses compositions sont un exutoire et une thérapie . « Je fais cette musique pour apprendre à me connaître, me faire du bien et me soigner un peu. J’ai grandi avec des artistes et des chansons qui m’ont fait du bien. J’ai senti le besoin de faire cette musique. J’espère que cela va parler aux gens » conclut-il.

L'interview de la rédaction : Nikola

 

Le Général Guyot a officiellement pris ses fonctions le 3 septembre dernier à Besançon. Le militaire, à la tête de 1800 gendarmes, a accepté de répondre à quelques-unes de nos questions. Il y a une trentaine d’années, le nouveau patron de la gendarmerie de Franche-Comté, exerçait déjà à Besançon. Jeune gendarme, il était alors lieutenant au 19è Régiment du Génie. Une affectation qui a duré trois ans.

Pouvez-vous en quelques mots vous présenter ?

Je suis le Général Guyot. J’ai 56 ans. Cela fait 40 ans que je porte l’uniforme. J’ai servi onze ans dans l’Armée de terre. Depuis 1994, je suis officier de gendarmerie.

Connaissiez-vous la Franche-Comté avant votre prise de fonction ?

Oui. J’ai été affecté à Besançon pendant trois ans. Il y a 30 ans. J’avais alors été affecté  au 19è Régiment du Génie pendant trois ans.

La Ville a-t-elle beaucoup changé ?

Oui. J’ai bien reconnu la Boucle, sauf la place de la Révolution. La Ville a beaucoup changé avec le Tram, mais pas seulement. Il y a tout un tas d’axes qui n’existaient pas comme la voie des Mercureaux. Par contre, cela reste une Ville à la campagne. C’est le souvenir que j’avais gardé de Besançon. Un souvenir très agréable où l’on passe de la ville à la ruralité, sans traverser des zones industrielles immenses comme dans certaines villes.  

Combien d’hommes avez-vous sous votre commandement ?

La gendarmerie en Franche-Comté compte environ 1800 gendarmes, dont 650 dans le Doubs. Au sein de la gendarmerie, on a de multiples métiers qui vont du métier standard de gendarme en brigade territoriale, qui est la cheville ouvrière de la gendarmerie, jusqu’à des compétences beaucoup plu spécialisées de techniciens dans les nouvelles technologies, en identification criminelle, les motocyclistes, les gendarmes qui interviennent en moyenne montagne, … . Ce sont des métiers très différents, souvent méconnus.

Quels sont les moyens que l’on trouve ici au sein de la caserne du Fort des Justices ?

Tout d’abord, je suis commandant de la gendarmerie du Doubs. Je commande également la gendarmerie en  Franche-Comté. Ces  quatre départements ont chacun un commandant de groupement à leur tête. Me concernant, je supervise ce qu’ils font et je leur assure les soutiens RH et logistique. Pour ce qui est du Doubs, je suis responsable au premier chef des missions de sécurité publique générale dans la zone de compétence de la gendarmerie.

Jugez-vous la délinquance en milieu rural, différente de celle qui existe en ville ?

Elle n’est pas fondamentalement différente. On peut trouver des phénomènes de violences urbaines en milieu rural. Nous avons des quartiers dans le pays de Montbéliard qui ont des caractéristiques proches des communes en zone périurbaine. Chaque secteur géographique a des enjeux de sécurité qui sont différents selon la configuration physique et humaine de la circonscription et des installations qui y sont.

Il semble qu’il est difficile d’exercer le métier de gendarme. Qu’en pensez-vous  ?

C’est un beau métier. C’est un gardien de la paix au sens noble du terme. Je suis très fier de faire ce métier. C’est le discours que je tiens à mes gendarmes. Même quand c’est difficile, il faut être fier de ce que l’on fait. Ce qui est difficile au fil des années, c’est que le gendarme n’a plus le temps de faire d’initiatives, ou très peu, il passe d’une affaire, d’une intervention, d’une enquête à l’autre. C’est une vie assez speed, avec beaucoup de social dans le métier aujourd’hui. C’est parfois assez perturbant pour certains anciens ou jeunes, qui ne se voyaient pas être des assistants sociaux. Moi, qui fut casque bleu en ex-Yougoslavie, je me rends compte que parfois  nous sommes des casques bleus au sein des familles,  pour séparer les conjoints, les parents ou les enfants. Il n’est pas rare que nous menions des opérations de maintien de la paix au quotidien. C’est une charge qui est de plus en plus croissante. On ne supporte plus l’autre. On le voit au sein des familles, au sein du travail. La civilisation, au sens noble du terme, recule un peu. A force d’avoir porté haut les valeurs individuelles, même si je suis un gardien des droits individuels de chacun, on a oublié le collectif. Le collectif, c’est aussi supporté les autres et vivre avec. On ne vit pas dans un monde tout seul. Nous ne sommes pas chacun dans notre bulle. On le voit bien dans la crise du Covid, avec la vaccination et l’application d’un certain nombre de mesures, où il faut penser et jouer collectif. Individuellement, on n’est rien face à un phénomène comme celui-là.

Quelles sont les directions que vous avez envie de donner. Quels sont également vos priorités ?

Je veux présenter l’image d’une gendarmerie moderne, proche de la population et réactive face à toutes les questions de sécurité. Concernant les priorités, nous déclinons celles du gouvernement. Je pense à la lutte contre les stupéfiants, à la lutte contre les violences intrafamiliales, et notamment les violences conjugales, qui a été fait grande cause nationale, contre les atteintes aux biens, et notamment les cambriolages, et les vols liés à l’automobile.

NAISSANCES

26/08/2021 – Lucine de Rémi NICOD, conseiller agricole et de Trecy BROT, assistante sociale.

25/08/2021 – Cléo de Lilyan MARQUES DA ROCHA, technicien méthode et de Julie CUYNET, chargée de projet.

28/08/2021 – Séphora de William CHARLES, manager de rayon et de Sara PARENTE, hôtesse d’accueil.

27/08/2021 – Thyam de Billy RUFENACHT, carrossier et de Gaëlle RENAUD, sans profession.

27/08/2021 – Lisa de Emmanuel GARDOT-PYOT, responsable achat et de Cécile QUINNEZ, opticienne.

27/08/2021 – Théa de Maxime MICHEL, charpentier et de Anaïs CUINET, intérimaire.

30/08/2021 – Léa de Carlos VILELA, cuisinier et de Delphine INDACO, gestionnaire en intendance.

31/08/2021 – Ilyès de Abdelhakim DAHMRI, infirmier et de Amira LACHEHEB, assistante commerciale.

30/08/2021 – Lino de Cédric BAUDURET, ferblantier et de Charlotte DELERUE, responsable accueil.

31/08/2021 – Jules de Paul RAGUIN, boucher et de Sophie PONCET, employée de commerce.

30/08/2021- Auguste de Thomas ROBICHON, dessinateur et de Pauline CASSARD, secrétaire commerciale.

31/08/2021 – Owen de Aloïs MARTIN, mécanicien de précision et de Laura GORNIAK, aide-soignante.

31/08/2021 – Ambre de Jérémy MARESCHAL, entrepreneur et de Clothilde MOUREAUX, assistante de magasin.

01/09/2021 – Ezio de Fabrice HENRIET, agent de maîtrise et de Clémence PATOZ, déléguée aux prestations familiales.

01/09/2021 – Malia de Denis CHOUX, ferblantier et de Lise PHILIPPE, sans profession.

31/08/2021 – Julian de Morgan CART, agriculteur et de Julie CHABROLLE, secrétaire.

31/08/2021 – Arthur de Yann SPAGNOL, responsable supply chain et de Meike PINARD, assistante des ventes.

31/08/2021 – Lukas de Laurent VUITTENEZ, régleur et de Aline BUET, sans profession.

01/09/2021 – Côme de Alexandre MICHAUD, chef de projet et de Léa PELLETIER, professeur des écoles.

01/09/2021 – Roni de Yann BELLOT, chef d’atelier et de Sandra NEVES, coiffeuse.

02/09/2021 – Côme de Matthieu BAUDOZ, chef de projet et de Emeline MOURAUX, sans profession.

MARIAGE

04/09/2021 – Maxime FAIVRE, horloger et Marina LOCATELLI, sans profession.

PUBLICATION

13/08/2022 – Adrien MANQUILLET, chauffeur routier et Pauline CORNEVAUX, assistante maternelle.

DECES

28/08/2021 – Rosalba RIGHETTI, 79 ans, retraitée, domiciliée à Pontarlier (Doubs).

29/08/2021 – Lucien BÔLE, 74 ans, retraité, domicilié à Frasne (Doubs) époux de Paulette BAUD.

29/08/2021 – Odette BRESSAND, 97 ans, retraitée, domiciliée à la Rivière Drugeon (Doubs) veuve de César CART.

27/08/2021 – Henri LONCHAMPT, retraité, domicilié à Levier (Doubs) époux de Marie WAUTHY.

02/09/2021 – François CUENOT, 93 ans, domicilié à le Bélieu (Doubs) époux de Anne-Marie ROLAND

02/09/2021 – Jean-Marie FAIVRE, 75 ans, domicilié à Gilley (Doubs) époux de Yvette BOURNEL-BOSSON.

03/09/2021 – Denis CUENOT, 65 ans, domicilié à Pontarlier (Doubs) époux de Claudine DUBOIS.

A l’occasion de la disparition du comédien français Jean-Paul Belmondo, le Centre de Ressources Iconographiques pour le Cinéma va lui rendre hommage à travers une exposition d’affiches de ses films. Celle-ci se déroulera dans le Hall de l’Hôtel de Ville de Pontarlier du 5 au 31 octobre.  

Jean-Paul Belmondo a attiré dans les salles, en cinquante ans de carrière, près de 160 millions de spectateurs ; entre 1969 et 1982, il a joué à quatre reprises dans les films les plus vus de l’année en France : Le Cerveau en 1969, Peur sur la ville en 1975, L’Animal en 1977 et L’As des as en 1982.

Denis Leroux, le président du Pays Horloger, ne cache pas sa satisfaction. Son territoire vient d’obtenir le label « Parc naturel régional du Doubs Horloger Â». Ce secteur est le 57è Parc naturel régional de France. Il compte 94 communes, dont la plus importante est Morteau, pour une superficie de près de 104.000 hectares et une population de presque 60.000 habitants. Il englobe ainsi la haute-vallée du Doubs, la vallée du Dessoubre, le Val de Morteau et les plateaux de Maîche, le Russey et Belleherbe.

 Engagés pour une durée de 15 ans renouvelable, élus et acteurs socioprofessionnels vont pouvoir décliner leur projet qui concourt au dynamisme et à la revitalisation de ce territoire. Ainsi, de nombreuses actions sont prévues. «  C’est une stratégie globale qui sera mise en place Â» explique Mr Leroux. Un million d’euros par année sera apportée pour décliner les opérations envisagées, dans des domaines aussi variés que l’environnement, l’urbanisme, l’aménagement du territoire, le développement économique et social, l’éducation, les mobilités, douces, le tourisme, … .

La Région Bourgogne Franche-Comté est le contributeur le plus important, mais le conseil départemental du Doubs et les communes partenaires apportent également des moyens financiers non négligeables.

L'interview de la rédaction / Denis Leroux

 

Le Service universitaire de médecine préventive et de promotion de la santé (SUMPPS) invite les étudiants à se faire vacciner. Il leur donne rendez-vous les 9 et 10 septembre prochains dans ses locaux (45 C avenue de l’Observatoire). Pour obtenir un rendez-vous, il suffit de composer le 03.81.66.61.30

Depuis ce lundi, la vaccination a débuté dans les établissements scolaires du département du Doubs. Cette offre s’adresse à tous les élève de 12 à 18 ans. Les 12-15 ans ont besoin de l’accord de l’un de leurs parents pour se faire vacciner contre la Covid-19.

Ainsi, en lien avec l’Agence Régionale de Santé, plusieurs collèges et lycées accueillent des équipes mobiles, qui procèdent à des premières ou secondes injections, dans un local aménagé au sein de l’établissement ou dans un camion équipé. Ce lundi, des interventions sont menés au lycée Nelson Mandela d’Audincourt et aux collèges Lumière de Besançon et Malraux de Pontarlier. Demain, une intervention est programmée au collège Paul Langevin à Etupes.

Ce jeudi 9 septembre, à partir de 15h, la CGT salariés-étudiants organise une distribution de fournitures scolaires 11 rue Battant, au centre-ville bisontin. Lors de la dernière année scolaire, le syndicat avait déjà mené des actions identiques dans la cité comtoise.

Publié dans Actualités