Le 13 avril, vers 22h, rue Léonard de Vinci, dans le quartier Planoise, à Besançon, un individu en infraction de contrôle judiciaire a été repéré par une patrouille de police. Après une poursuite pédestre, il a été interpellé et placé en garde à vue. Le suspect, âgé de 21 ans, a été présenté à la justice le lendemain et incarcéré à la maison d'arrêt de Besançon pour purger une peine de 15 mois de prison.
Lors d'une patrouille ce 14 avril, à 11h40, dans le quartier Planoise, rue Pierre Rubens, à Besançon, la police a interpellé deux individus à bord d'un véhicule où des stupéfiants ont été découverts. Une femme de 47 ans a admis être là pour acheter de l’héroïne, tandis qu’un mineur de 15 ans a reconnu être vendeur. La femme a été libérée en soirée avec une convocation pour composition pénale le 11 juin. Le mineur, libéré le lendemain, devra comparaître devant le Tribunal pour Enfants le 13 mai."
Dans un communiqué de presse, les Jeunes Socialistes de Besançon saluent la nomination Jean-Sébastien Leuba comme tête de liste pour les élections municipales de mars 2026. Le collectif y voit "une victoire du collectif, de la clarté et de l’intégrité". Selon eux, « Jean-Sébastien Leuba, à la tête de la section locale depuis deux ans, incarne une dynamique engagée depuis 18 mois, marquée notamment par des rencontres politiques ouvertes et une alliance active avec Place Publique ». Ils rappellent que ce rapprochement a permis aux forces de gauche « de se hisser en tête lors de la dernière campagne européenne à Besançon, avec un score supérieur de cinq points à la moyenne nationale ».
Les Jeunes Socialistes ne manquant pas de critiquer certaines déclarations internes qu’ils jugent « contraires à l’esprit collectif », visant notamment Nicolas Bodin, qui a publiquement exprimé son ambition personnelle. "Nous ne nous laisserons pas déstabiliser par des méthodes d’un autre temps", écrivent-ils dans leur communiqué, insistant sur leur engagement aux côtés de Jean-Sébastien Leuba pour "porter haut les valeurs de justice sociale, d’écologie populaire et de démocratie locale".
Un parcours artistique et pédagogique
Pensée comme un parcours à la fois historique, artistique et réflexif, l’exposition s’ouvre sur les bases de l’"écriture du mouvement", à commencer par les systèmes de notation développés dès le XVIIe siècle. On y découvre notamment les travaux de Raoul-Auger Feuillet, qui invente le terme même de « chorégraphie » pour désigner une méthode d’écriture de la danse. À l’aide de signes tracés sur un schéma au sol – véritable partition chorégraphique – il devient possible de noter, transmettre, et peut-être même apprendre une danse, seul, à partir d’un livre. Mais, au fil du parcours, le dessin devient plus qu’un simple outil pédagogique. Il se fait trace du corps, instrument de création, voire œuvre d’art à part entière. Certaines partitions apparaissent comme des croquis techniques ou des brouillons, tandis que d’autres révèlent une esthétique si forte qu’elles deviennent pleinement exposables. La danse ne quitte jamais tout à fait la scène : certaines œuvres, notamment contemporaines, intègrent le dessin dans le spectacle même, comme le portrait chorégraphique de Lou Cantor, où la danseuse dessine au sol en dansant.

L'interview de la rédaction : Amandine Royer, conservatrice des arts graphiques au Musée des Beaux-Arts de Besançon.
Entre figuration et abstraction
Une section entière de l’exposition est consacrée à la question de l’abstraction. Car si certaines œuvres représentent clairement des postures ou des corps en mouvement, d’autres ne sont plus que lignes, trajectoires, énergies. Ces dessins, parfois issus de répétitions ou de recherches en studio, reflètent une autre manière de penser la danse : non plus comme une suite de pas codifiés, mais comme une exploration du geste, de l’espace, du rythme.
Une mémoire dessinée de danses en voie d’oubli
Enfin, l’exposition interroge la dimension mémorielle du dessin. Car lorsqu’une danse ne se transmet plus par le corps, il reste parfois des traces graphiques : carnets, schémas, notations. Ces vestiges visuels deviennent alors les derniers témoins de danses disparues ou en voie de disparition.

Aline Chassagne, l'élue en charge de la Culture de la Ville de Besançon. Amandine Royer, conservatrice des arts graphiques au Musée des Beaux-Arts de Besançon. Pauline Chevalier, conseillère scientifique à l'institut de l'histoire de l'art et maîtresse de conférences à l'université de Franche-Comté.
Un dialogue entre passé et présent
Tout au long du parcours, l’exposition joue sur les échos entre les époques : les gestes de la danse baroque côtoient les recherches graphiques de chorégraphes contemporains comme Dominique Bagouet ou Anne Teresa De Keersmaeker. Car malgré les siècles qui les séparent, une même question persiste : comment traduire le mouvement dans l’espace fixe du papier ? En confrontant croquis d’ateliers, partitions chorégraphiques, œuvres d’art et vidéos de performances, Chorégraphie dessiner, danser ne donne pas une réponse unique – mais ouvre un champ de réflexion et d’émotion, où l’œil et le corps se rencontrent.
L'interview de la rédaction : Pauline Chevalier, conseillère scientifique à l'institut de l'histoire de l'art et maîtresse de conférences à l'université de Franche-Comté.
Cette exposition est à découvrir du 19 avril au 21 septembre au Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Besançon ; Spectacles, visites guidées, ateliers et performances artistiques seront proposés également. Pour de plus amples informations : //www.mbaa@besançcon.fr">www.mbaa@besançcon.fr
Le 13 avril dernier, vers 6h, rue de Belfort, à Besançon, un équipage de police secours est intervenu pour un individu qui avait menacé deux jeunes filles avec un couteau devant une agence bancaire. Un homme de 24 ans a été interpellé. En possession d’un couteau de 20 centimètres, il correspondait au signalement effectué.
Les victimes, âgées de 27 et 18 ans, indiquaient que l’individu, mécontent de la perte de ses lunettes, survenue plus tôt en discothèque, avait exigé un remboursement en se présentant au domicile de l’une d’elles. Il aurait alors menacé une des deux victimes en lui plaçant un couteau sous la gorge, contraignant la seconde à retirer 80 euros. Interpellé, le mis en cause présentait un taux de 2,34 grammes d’alcool dans le sang. En garde à vue, il a reconnu partiellement les faits. Il fait l’objet d’une procédure, avec convocation par officier de police judiciaire. La qualification d’arme n’a pas été retenue.
Ce mercredi, le Crous Bourgogne Franche-Comté célèbre le 70è anniversaire des Crous. Ce jour, de 11h30 à 13h30, l’organisme invite les étudiants à replonger dans l’ambiance gourmande et chaleureuse des années 50. Ainsi, Le Resto’U Lumière leur propose un menu spécial inspiré de cette époque mythique. Au programme : recettes vintage, ambiance festive, exposition sur les 70 ans du Crous, animations photo à destination des étudiants et un brin de nostalgie dans l’assiette…
Mission accomplie pour le BesAC. Les basketteurs bisontins ont décroché leur maintien en nationale 1 masculine de basket. Hier soir, ils ont vaincu Angers, sur le score de 89 à 76, au Palais des Sports Ghani Yalouz. Le collectif est attendu vendredi soir à Lorient pour une opposition sans enjeu pour le clan franc-comtois.
La 6ᵉ édition du Trail Trait Morbier se tiendra le 11 mai 2025 au Frasnois, au cœur du Jura. Cet événement sportif et convivial invite trailers, randonneurs et familles à découvrir les paysages spectaculaires du massif jurassien. Avec près de 800 participants l’an dernier, le Trail Trait Morbier s’impose comme un incontournable du printemps pour les amateurs de plein air… et de Morbier ! Plusieurs parcours sont proposés pour tous les niveaux. En parallèle des courses, animations, dégustations et festivités animeront le village départ tout au long de la journée. Réservations sur www.trailtraitmorbier.fr