Après avoir connu des difficultés dans l’éducation de son berger allemand, Tony Proponnet a décidé de changer de voie et de s’intéresser à cette problématique. C’est en découvrant la technique mise en œuvre par le Montpelliérain Vincent Marchal que le Pontissalien s’est lancé dans cette aventure. Un intérêt qui tombe bien. D’autant plus que de nombreux particuliers sont concernés par ce problème. Il est vrai aussi que les périodes de confinement ont également eu un impact sur la santé et le comportement des animaux.
Ne trouvant pas de réponse en provenance des éducateurs canins, prônant pour certains une méthode classique ( avec collier électrique, collier étrangleur) ou une méthode ultra positive (sans aucune sanction), Tony a cherché une méthode en adéquation avec ses valeurs. Refus catégorique d’agresser ou violenter son animal. Il s’est dirigé vers une méthode plus naturelle. Cette technique d’éducation utilise une loi d’apprentissage, basée sur le conditionnement opérant. Tout comportement associé à quelque chose de désagréable aura tendance à diminuer. A l’inverse, tout comportement associé à quelque chose d’agréable aura tendance à se répéter. Dans la méthode utilisée, ce n’est pas le propriétaire qui sanctionne le comportement de son animal. Au contraire, le maître doit être hypocrite, très sympathique et faire des câlins. Cette méthode a fait ses preuves sur des centaines de chien.
Une technique efficace
Alors que son animal de compagnie adoptait de mauvais comportements, en mordillant, en sautant sur les gens ou encore en courant sur des voitures, des trottinettes, des joggers ou des cyclistes, Tony a appliqué cette nouvelle méthode. « En quelques jours, les premiers résultats se sont fait sentir ». Depuis, fort de ce constat, et des qualités humaines du maître, des personnes ont fait appel à ses services. Les résultats obtenus sont convaincants et très rapides. Si vous aussi, vous souhaitez en savoir davantage, n’hésitez pas à contacter M. Proponnet au 07.77.37.88.24 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Il se déplace sur un rayon de 40 kilomètres autour de Pontarlier.
L'interview de la rédaction
A compter du 1er novembre entre en vigueur l’obligation de disposer d’équipements spécifiques en zones montagneuses. L’objectif est d’améliorer la sécurité des usagers de la route. Néanmoins que l’on ne s’y trompe pas. La nouvelle mesure n’impose pas l’obligation d’équiper son véhicule en pneus neige uniquement, mais de détenir des équipements spécifiques dans le coffre, qui devront bien évidemment être posés en cas de chaussées enneigées. Cela peut-être des chaînes ou d’autres dispositifs antidérapants amovibles équivalents.
Une certaine tolérance ?
Nathalie Linard, responsable du service sécurité routière à la Direction Départementale des Territoires, reconnaît que cette année une certaine tolérance sera accordée par les forces de l’ordre. Ce qui ne sera plus le cas en novembre 2022. Les secteurs concernés sont connus. D’ailleurs, une signalisation zonale a été déployée pour indiquer aux usagers l’entrée dans une zone ou les obligations d’équipements s’appliquent.
Choisir les bons pneus
Quitte à investir. Autant investir judicieusement. C’est ce que conseille la Direction Départementale des Territoires. Effectivement, les pneus installés doivent porter l’appellation « pneus hiver », qui couvrira l’ensemble des pneus identifiés par l’un des marquages « M+S », « M.S » ou « M&S » ou par la présence conjointe du marquage « symbole alpin » et l’un des marquages « M+S », « M.S » ou « M&S ». A partir de 2024, seuls les pneus identifiés par la présence conjointe du marquage « symbole alpin » et l’un des marquages « M+S », « M.S » ou « M&S » seront exigés.
L'interview de la rédaction / Nathalie Linard, responsable du service sécurité routière à la Direction Départementale des Territoires
À quelques semaines du congrès Les Républicains (LR), Jean-Baptiste Gagnoux, maire de Dole et Vice-président du département du Jura, fait savoir qu’il contribuera à la campagne de Valérie Pécresse, candidate à l’élection présidentielle. Rappelons que l’organisation des Présidentielles des 10 et 24 avril prochains passera par la tenue d’un congrès qui le 4 décembre permettra aux militants de choisir le candidat qui défendra les couleurs de la droite républicaine et du centre.
« J’ai fait le choix de soutenir Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France convaincu par certaines de ses propositions telles que la baisse des charges sociales de 10% pour faire augmenter les salaires et ainsi revaloriser le travail ; l’indépendance énergétique ; la nécessité d’avoir une politique claire concernant les flux migratoires aujourd’hui incontrôlés » écrit M. Gagnoux.
Ce mardi, deux adolescents, âgés de 17 et 18 ans, ont été interpellés, conduits au commissariat et placés en garde à vue. Une patrouille a constaté qu’ils étaient en train de fumer du cannabis. A la vue des forces de l’ordre, ils ont tenté de se débarrasser d’un joint. L’un d’eux a remis aux policiers un morceau de cannabis.
Mardi matin, un homme de 61ans a été interpellé et placé en garde à vue après avoir forcé le passage au CHU Minjoz, alors qu’il n’était pas en mesure de présenter un passe sanitaire. Il a dégradé une porte coulissante à l’intérieur de l’hôpital. A la vue des policiers, il a pris la fuite, mais il a rapidement été interpellé. Le sexagénaire a donné des coups de poing aux fonctionnaires et les a insultés.
Ce mardi, en fin de matinée, un jeune homme de 18 ans a été placé en garde à vue. De passage avenue île de France, une patrouille de police a constaté que l’individu prenait la fuite à leur vue. Son interpellation a été mouvementée. Dans sa sacoche, il a été découvert deux morceaux de résine de cannabis. Il a également menacé les policiers dans leur véhicule en lançant : « je vais vous retrouver, je vais vous caillasser ».
Actuellement, et jusqu’à mercredi, l’état-major de la 1ère Division conduit l’exercice de Lattre 21 sur le camp militaire du Valdahon. 750 militaires, venus de Besançon, Agen, la Valbonne, Charleville, Belfort et Mulhouse, sont présents.

Sous le commandement du Général Emmanuel Gaulin, à la tête de la 1ère division, les militaire parfont leurs gammes. Tel un film de guerre, un scénario a été pensé et s’adapte aux réalités du terrain et des combats. L’objectif pour les forces en présence étant de reprendre le contrôle d’une zone qui fait sécession dans un pays. C’est une équipe pluridisciplinaire qui se mobilise pour le bon déroulement de cette opération. Chacun à des postes bien définis et agit au sein du collectif pour trouver une issue favorable et victorieuse à cette situation de crise. L’objectif est de « remécaniser » les procédures pour être irréprochable et efficace le jour d’une opération en extérieur et faire toujours est encore évoluer la formation de chacun.

Une logistique impressionnante

51 containers, 400 ordinateurs, 50 véhicules, 15 centrales énergie, … . Les moyens déployés pour cette opération militaire sont impressionnants. Chaque processus , décision et les conséquences qui en découlent sont scrutées pour en tirer les enseignements nécessaires. C’est ainsi une véritable bulle d’opération qui a été créée. Parmi les lieux les plus stratégiques que l’armée a ouvert à la presse, il y a le centre des opérations tactiques. Sous la responsabilité du lieutenant-colonel Philippe, ce centre enregistre toutes les informations émanant des moyens humains et matériels déployés sur le terrain. Ces informations capitales permettent d’adapter les dispositifs, de mettre en œuvre la meilleure stratégie et tactique et d’aider à la prise de décision. Prochainement, le programme Scorpion sera mis en place et améliorera encore les missions opérationnelles de l’armée de terre.
L'interview de la rérdaction / le commandement du Général Emmanuel Gaulin